fondé en 19
Tél.
Une vue d'ensem |
sera présentée pour la première fois cet été
PARIS -— Pour la première
fois au 4ème
Congrès international de la
Presse catholique qui se tien-
dra à Paris du 3 au 6 mai, une
vue d'ensemble sur la presse
catholique dans le monde,
Combien y a-t-il de journaux?
Queile force représentent-ils?
Quelles sont leurs préoccupa-
sera presente
La ‘Fondation Pie XI” facilitera
201 453
rue Marion,
Normeod. Man
| 2178
la pre
2
£ 4"
A 5 af
tions? Quelles améliorations | sables d'agences pourront échan-
| sont possibles” Toutes ces aues- | £*7 leurs idées... et confronter
PE Re 4 QUES- | leurs productions: pendant tout
tions seront étudiées et discutées
| pendant trois jours
| De nombreux exposés brefs et
1P sont prévus sur le tnerme |
de la- lutte contre l'amateurisme: |
| des journalistes des pays les plus
le congrès, en effet, afflueront
de partout les journaux :catholi-
ques, quotidiens, hebdomadaires,
magazines, journaux de toutes
sortes. Ce sera une occasion uni-
que de voir et consulter toute la
récis
e
| divers raconteront les expérien-| presse catholique, et d'en empor-
ces les plus intéressantes, celles | ter les exemplaires
| qui ont permis d'améliorer la ré-| Un pélerinage aura lieù au cé-
action, l'information, la propa-|jèbre sanctuaire de Notre-Dame
gande ou la vente de Chartres. Par ailleurs, de nom-
| Directeurs, rédacteurs, respon-| breuses réceptions sont au pro-
le développement de l'apostolat laïc
ROME Le Souverain
Pontife daignait ériger, il y a
quelques semaines, la ‘“Fonda-
tion Pie XII”, dont le but est
soutenir activités de
l'apostolat des laïques sur le
plan international. Déja plu-
sieurs articles ont paru dans
de les
divers pays sur cette fonda-|
tion, qui est accueillie partout
sympathie, L'Osservatore!
Romano, puis La Croix de Paris,
mt publié à ce sujet d'intéres-
ants commentaires
L'Osservatore Romano, après a-
rappelé que, dès le début
Pontificat, Pie XII avait
son paternel intérêt aux
aiques groupées sous le
om d'Action catholique, fait
server que ces associations ont
lteint à peu prés partout un
iéveloppement qui dépasse les li-
tes distinctes des diocèses et
débordent même au delà du ter-
ritoire de chaque nation. Le Saint-
Père, rappelle-t-il, a également
souligné à plusieurs reprises que
es problèmes se posent désormais
non seulement sur le plan local,
ae
à rdé
1rces
"
mais aussi sur une échelle mon-
diale. Aussi les questions relati-
ves à l'apostolat doivent égale-
ment étre considérées du point
de vue international
Collaboration intensifiée
En réponse aux exhortations
avisées du Souverain Pontife, les
diverses associations internationa-
les catholiques ont intensifié leurs
rapports de collaboration réci
que. Des centres communs Fee:
tion furent créés et des contacts
| Siège. À la suite du mémorable | bienfaiteurs, mais le développe-
congrès mondial pour l'apostolat | ment de l'action à l'échelle inter-
des laïques, qui se tint à Rome | nationale nécessitait d’autres
en octobre 1951, le mouvement | moyens
Idée d'une fondation
C'est aiors que vint l'idée d'u-
ne fondation, à l'exemple d’au-
tres institutions existant déjà,
précisa son aspect et son orienta- |
tion pour arriver, selon les paro-
mémes du Souverain Pontife,
“pratiquement à une pleine et ef-
Î
: 1
les |
l
1
ficace collaboration dans la cha-|telles que les fondations Rocke-
rité universelle”. | felier, Carnégie, Ford, etc. qui
Institution d'un comité |se proposent de contribuer au
C'est ainsi que, quelques mois | bien-être et au progrès de la so-
plus tard, pour que résolu- | ciété humaine dans des domaines
|tions du congrès fussent fécondes | divers.
let durables, le Pape institua le] La
les
“Fondation Pie XII pour
| internationaux pour l'apostolat | tinée à faire vivre, à soutenir et
| des laïques”, Ce comité est assisté | à orienter cette bienfaisante ini-
d'une commission ecclésiastique, | tiative en lui permettant d’'éten-
| présidée par S. E. le cardinal | dre son rayonnement. Aussi L'Os-
Pizzardo |servatore Romano conclut-il son
Sur le plan paroissial, diocésain | article en écrivant: ‘Les catho-
et national, l'organisation de l'a-|liques se réjouissent de cette réa-
postolat laïque est soutenue par | lisation et se préparent à collabo-
le zèle et la générosité des pas-|rer, selon les modalités voulues,
| teurs, des adhérents et d'autres |à sa pleine vitalité”,
|
|
L'Inde songerait à expulser
des missionnaires étrangers
NOUVELLE-DELHI — Le
gouvernement de l'Inde pren-
drait des mesures en vue d'ex-;
| puiser deux missionnaires ca-
| tholiques d'Italie qui travail-
Le décret signifie en pratique
que les missionnaires devront
quitter l'Inde à l'expiration de
leurs visas actuels, qui périme-
ront en fevrier et en avril res-
pectivement,
L'ordonnance qu'aurait for-
0
|*Comité permanent des Congrès |l'apostolat des laïques” est des-|
FE
e à
| 7"
| gramme, ainsi qu'une excursion
| aux châteaux de la Loire illumi-
| nés. Le château de Chambord
| présentera spécialement, pour les
| participants, son spectacle de son
|et de iumière.
Grandes lignes
du programme
Quoique le programme du con-
| grès ne soit pas encore établi
définitivement, on en communi-
| que les grandes lignes: le lundi 3
| mai, le congrès s'ouvrira par une
messe pontificale célébrée par S.
| Exc, Mgr Marella, nonce aposto-
lique à Paris. A la séance du ma-
| tin, qui se déroulera sous la pré-
| sidence du comte Dalla Torre, ré:
dacteur en chef de L'Osservatore
Romano, la bienvenue sera sou-
haitée aux congressistes par le
|R. P. Gabel, rédacteur en chef
| de La Croix de Paris, puis M. Du-
bois-Dumée, secrétaire de l'U-
nion internationale de la Presse
catholique, présentera un rapport
d'activité sur les années 1950-
11954, L'après-midi, le congrès
traitera le thème: ‘La presse ca-
tholique dans le monde’, Le soir,
les congressistes seront reçus au
ministère des Affaires étrangè-
res de France.
Le mardi 4 mai, le thème des
discussions sera: “La mission de
la presse catholique”: puis les
différents groupes traiteront les
problèmes suivants: l'information
religieuse, la création d'un jour-
|nal catholique, les techniques
commerciales et publicitaires, etc.
Le soir, les autorités de la Ville
| de Paris recevront les congres-
sistes,
La journée du mercredi 5 mai
sera consacrée à des réunions sé-
parées pour les éditeurs, les jour-
nalistes et les agences de presse,
Le jeudi 6 mai, un pèlerinage à
Chartres sera organisé dans le
cadre de l'Année mariale,
Un pasteur presbytérien
est frappé d'interdiction
DETROIT — Une commission
spéciale de la secte presbytérien-
ne a interdit à un pasteur, accu-
sé de “professer une hérésie et de
propager la doctrine communis-
te”, l'exercice du culte et l’a pri-
vé de ses privilèges de ministre
du culte.
Le pasteur, Claude Williams,
est âgé de 59 ans. Il avait été ac-
TE: PATRIOTE
SEE El
JWINNIPEG, VENDREDI 26 FEVRIER 1954
au cours de cette année qui lui est consacrée tout particulièrement,
Cette photo frappante fut prise au cours de l'une de ces cérémonies |
imposantes qui se déroulait en l’église de la Dormition, sur le mont
Sion, que l’on croit être l'endroit où la mère de Jésus mourut. Au|
centre apparaît Dom Leo Rudloff, O.S.B., abbé de l'abbaye de la!
Dormition. (NCWC)
Les parlementaires toucheront
des augmentations appréciables
OTTAWA — Voici la liste
des montants que recevront
au
PRIX: SEPT CENTS
| sécution religieuse en Polo-
| gne “populaire”, est une indi-
| gnité, selon l'exécutif du Con-
seil catholique de la Presse
canadienne.
L'exécutif a décidé, lors d'une
réunion tenue à Montréal, de pro- |
tester corrtre la diffusion de cet
album et d'attirer l'attention du |
ministère des Affaires extérieu- |
res “sur l'incorrection dont se sont |
| rendus coupables le Gouverne-
| ment polonais et son représen-
tant à Ottawa, en se transformant
| en agent de propagande avec les
| ressources et sous le couvert de
l'immunité diplomatique”.
On a fait remarquer à la réu-
nion que la distribution de cette
propagande est faite avec les res-|
sources financières illimitées dont
dispose la puissance totalitaire du |
» HONG-KONG -——- Les RR. |
PP. Maurice Garneau, Edou-
ard LaFlèche et Fernand Fau-
cher, jésuites canadiens, qu’on
croyait détenus en Chine il y
a quelque temps, sont relati-
| vement libres de leurs mou-
vements, selon une dépêche
reçue du correspondant du
Service d'information de la
Conférence catholique cana-
| dienne, à Hong-kong.
Missionnaires mentionnés
Selon la nouvelle en question,
parue dans les journaux cana-
diens, on avait identifié 5 Cana-
diens qui feraient partie d’un
groupe arrêté en Chine commu-
niste sans avoir été trouvés cou-
pables d'aucun crime. Les 5 mis-
sionnaires mentionnés sont: Mgr
Gustave Prévost, de la Société des
Missions Etrangères de Pont-
d'indemnité et même allocation.)
Président des Communes: $23,-
000, soit $8,000 d'indemnité, $9,-
Ministère relativeme
de deux Jésuites à Suchow
IL EST PLUS FACILE DE
PAYER SELON NOTRE PLAN
À cntonr
COMPTANT
1TED
271, AVENUE PORTAGE
(Un essai de propagande
du Ministre de Polo
gn
|
|
MONTREAL — L'album | système communiste e ps ET
: 5 et que les journalistes catholi-
| luxueux que le ministre de >. qui doivent ! à là és
| Pologne au Canada répand} rité sur la persécu religieuse,
1 2 : d |”? ont pas des moyens Aanaios L
| dans le Québec et qui preten | pour atteindre le public de façon
| prouver qu'il n'y a pas de per- | permanente et stable en plaçant
{ P q . P P des livres aussi hement édités
sur rayons des bibliothèques
publiques
L'exécutif
les
du Conseil catholi-
que de la Presse canadienne voit
aussi dans cette propagande un
démenti odieux fl de façon
sournoise au Gouve nent ca-
nadien et autres » sur la
persécution religieuse en Polo-
gne a en effet été reconnue par
l'hon. L. B. Pearson, par les Com-
Mmunes de Grande-Br gne, par
le Président Eisenhower
d'innombrables personn
toute religion, lors de l'arrest
| tation de S. E. le cardinal Wys
zynski
“Ce dumping te enfin l'exé-
| cutif, nuit considérablement, non
seulement à la vérité et à l'hon-
nêteté, mais même à la simple
concurrence commerc! 1le a la-
quelle la vérité a droit pour com
battre le mensonge."
ivem nt libre
Hong-kong affirme que le Père
Faucher n'est pas détenu à do-
micile, mais libre de ses mouve-
ments; il peut sortir en ville, etc.
mais restreint lui-même son ac-
tivité pour ne donner prise à au-
cun soupçon ou prétexte, Il est
à Shanghai, professeur dans un
séminaire; il ne semble pas in-
quiété par les autorités civiles ou
la police.
Quant au Père Proulx, il est
en prison, mais il est sur la liste
des sujets américains, bien qu'il
fasse partie de la province cana-
dienne-française des Jésuites en
Chine; il est emprisonné à Shan-
ghaï depuis deux ans déjà.
Le R. P. Garneau est originaire
de Québec; le R. P, LaFlèche,
de Winnipeg: le R. P, Beauregard,
de Marieville; le R. P. Faucher,
de Montréal; le R. P. Proulx, de
Ste-Agathe de Lotbinière; Mgr
Prévost, de St-Eustache, et
Lo Venadam, de Poniquet,
+E,
Vs
Le chemin de fer de
| lent dans le diocèse de Cochin.
Selon une nouvelle parue à
| Nouvelle-Delhi, le gouverne-
| tres en cause qu’on ne renou-
mulée le gouvernement serait la | cusé de sympathies communistes
première initiative du genre im-| par une commission parlementai-
pliquant des missionnaires ca-|re d'enquête sur les agissements
tholiques dans l'laide; elle 2 se-|antiaméricains. Fa Ry
| mé la consternation et la détres-| M. Claude Williams n'est “pa
les parlementaires fédéraux | ms de À à en ça $1,000 d'’allo-
après le 1er avril 1954. Entre | p}e 2 (oo yn0eie non imposa-
ble, 2,000 d'allocation imposable
parenthèses, les mortants!et allocation domicilaire de $3,-
000. (516.000, soit $4,000 d’indem-
Viau; M. l'abbé Arthur Venadam,
de la Société des Missions Etran-
gères de Scarboro: les RR. PP.
Georges Beauregard, Maurice
Garneau et Edouard LaFlèche, jé:
l'Ungava est t .rminé
QUEBEC — L'hon. M. Dupless ,
sis a annoncé en Chambre que
le chemin de fer de 360 milles re
pays.
On apprend toutefois que les
établis avec les organismes offi-| vellerait pas leurs visas pour | missionnaires ont interjete appel
ciels par la Conférence des Or-
ganisations internationales catho-
liques, approuvée par le Saint-
Résultats troublants
d'une enquête dans les
écoles aux Etats-Unis
NEW-YORK Une vaste en-
quéte menée par l'Université Co-
lumbia a démontré que 10 p. 100
des écoliers aux Etats-Unis ont
une émotivité anormale et au-
raient besoin d'une orientation
psvehique,
De plus, une étude poursuivie
pendant trois ans par le service
de psychiatrie de l'université a
ndiqué q'ie rares sont les écoles
où dispose du personnel et
ion
des moyens pour remédier à cet-|
te situation,
Le Dr David Abrahamsen, psy-
chiatre d'origine norvégienne, a
dirigé une équipe de quatre hom-
mes qui se sont occupés de cette
enquête, Par le truchement de
questionnaires et d'entrevues,
enquête a porté sur 2,540,888 |
enfants de 350 institutions scolai-
res représentant les 48 Etats.
Le Dr
server qu'à moins que les parents,
enfants et les instituteurs n’ap-
prennent à se mieux comprendre, |
e problème du déséquilibre men- |
tal et de la criminalité juvénile |
va s'aggraver,
La beaute féerique des chutes Niagara s'est transformée, au cours d’une vague de froid in-
tense, en un spectacle hivernal peu usuel — du côté américain, les rochers furent recouverts d'une
couche de glace miroitante et cristalline. De nombreux touristes furent témoins de ce Denne.
{ }
Abrahamsen a fait ob-|
| une autre période.
(Suite à la deuxième page)
ro- | ment a prévenu les deux pré-|se parmi les catholiques. de ce | exclu de la secte. Il /a déclaré
qu'il ferait appel de la décision
qui le frappe auprès des plus hau:
tes autorités religieuses de la
secte presbytérienne.
Une première dépense américaine
de 136 millions prévue en Espagne
| WASHINGTON
|sous-commission des crédits | tion de dépenser $136 millions |
| de la Chambre des représen-
|tants a révélé que l'armée de
| Mt Épiremensnsn
161,000 Allemands ont
émigré au cours de 1953
BONN Les services fédé-
raux des statistiques annoncent
qu'au cours de l’année 1953, 61,-
000 Allemands ont émigré de la
république fédérale dont 47,000
| personnes adultes et 14,000 en-
fants. Trente-quatre p. 100 étaient
des réfugiés des territoires occu-
pés depuis 1945 par la Pologne
et quatre p. 100 des réfugiés po-
litiques venant de ia zone d'’oc-
cupation soviétique, Le principal
pays d'immigration a été le Ca-
nada, 53 p. 100, suivi des Etats-
100, de l'Union Sud-Africaine,
p. 100 et du Brésil, 2 p. 100,
Unis, 25 p. 100, de l'Australie, 13 |
| pour la réalisation de la pre-
|mière phase du programme
| de construction d'un réseau
de bases aériennes en Espa-
gne.
| Selon cette sous-commission,
| des plans ont été élaborés pour
|
la seconde phase de ce program-
| me. La sous-commission n'a don-
né toutefois aucune indication
| quant à l'importance des dépen-
ses qui seront nécessaires pour la
| construction de l'ensemble du ré-
|seau de défense. prévu par l'ac-
| cord militaire conclu l'an dernier
lentre les gouvernements de Wash-
ington et a Madrid.
| gramme prévoit la construction
‘ de bases aériennes à Torrejon,
La première phase de ce pro-|
Une! l'air des Etats-Unis a l’inten-! El Copero, Moron et Zaragoza,
ainsi que la mise en place d'un
système de communication et
| d'un pipe-line.
Première dépense
La sous-commission des cons-
tructions militaires de la Cham-
bre des représentants a recom-
|mandé à la sous-commission des
crédits d'autoriser une première
| dépense de $40.2 millions pour
permettre le edémarrage de la
première phase du programme:
|ces dépenses seront financées,
grâce aux crédits — dont le mon-
tant est secret — que le congrès
a déjà approuvés au titre des dé-
penses militaires en Espagne.
Toujours selon la sous-commis-
sion des crédits, la deuxième pha-
|se du programme comporterait
la construction d’autres bases aé-
| riennes et navales en Espagne.
La sous-commission a donné à
| entendre que le congrès surveil-
lera de très près l'emploi des
crédits demandés pour la cons-
truction des bases américaines en
qu'ils retoivent présentement. |
P er ministre: total de
$37,000, soit $8,000 d’indem-
nité, $25,000 de traitement,
$2,000 d'allocation imposable
et $2,000 d'allocation non impo-
sable. ($23,000, soit $4,000 d'in-
demnité, $15,000 de traitement,
$2,000 d'allocation imposabie et
Lo d'allocation non imposa-
Ministres du cabinet et chef de
l'opposition: Total de $27,000, soit
$8,000 d’indemnité, $15,000 de
traitement, $2,000 d'allocation im-
posable et $2,000 d'allocation non
imposable. ($18,000, soit $4,000
d'indemnité, $10,000 de traitement
et mêmes allocations.)
Députés: $10,000, soit $8,000
d'indemnité et $2,000 d'allocation
non imposable. ($6,000, soit $4,000
d'indemnité et $2,000 d'allocation
non imposable.)
Sénateurs: $10,000, soit $8,000
d'indemnité et $2,000 d'allocation
imposable, ($6,000, soit $4,000
Le R. P. G. Bellemare, 0.M.L., cél
son 60ème anniversaire d’ordination
LEBRET — Le KR. P, G.
Bellemare, O.M.I,, a célébré
ici, le mercredi 17 février, le
60ème anniversaire de son or-
|
|
mes allocations.)
soit $4,000 d'indemnité, $4,000 de
| de traitement et mêmes alloca-
nité, $6,000 de traitement et mé-
.
Vice-président des Communes: |
$17,500, soit $8,000 d'indemnité,
$6,000 de traitement, $1,500 d’'al-
location de logement et 5$2,000
d'allocation imposable, ($11,500,
suites.
Le correspondant de la CCC.
à Hong-kong confirme que Mgr
Prévost est en prison à’ Shanghaï,
M. l'abbé Venadam, en prison
on ne sait où, et le Père Beaure-
gard, en prison à Shanghaï, Ce-
pendant, il ajoute que les RR,
PP, M. Garneau et E., LaFlèche
ne sont pas en prison et ne l'ont
jamais été; les deux sont encore
à Suchow et relativement libres
de leurs mouvements. Ils peu-
vent, par exemple, sortir en ville,
aller dire la messe chez les reli-
gieuses; ils sont restreints dans
leurs mouvements en ce sens
qu'ils ne considèrent pas pru-
dent de visiter les familles, etc.
à qui cela causerait des embête-
ments, La mission Suchow est
confiée aux Jésuites canadiens-
français.
traitement et mêmes allocations.)
Président du sénat: $23,000, soit
$8,000 d’indemnité, $9,000 de trai-
ternent, $1,000 d'allocation d'auto-
mobile non imposable, $2,000
d'allocation imposable et $3,000
d'allocation domiciliaire, ($16,000,
soit $4,000 d'indemnité, $6,000
tions.)
Leader ministériel au sénat:
$20,000, soit $8,000 d'indemnité,
$10,000 de traitement, $2,000 d'’al-
location imposable, ($13,000, soit
$4,000 d'indemnité, $7,000 de trai-
tement et même allocation.)
Leader de l'opposition au sé-
nat: $16,000, soit $8,000 d’indem-
nité, $6,000 de traitement et $2,-
000 d'allocation imposable. ($10,-
000 de traitement et mêmes al-
locations.)
La nouvelle
La nouvelle publiée au Canada
ajoutait, d'après une source non
officielle, que les RR. PP, Ar-
mand Proulx et Fernand Fau-
cher étaient détenus à domicile
à Shanghaï, Le correspondant de
èbre
décembre 1893, mais la célé-! Pères de la communauté ct d'u-
À d 10) À ne vingtaine de confrères du ju-
bration du jubilé de diamant | bilaire, venus à Lebret pour cet-
a été retardée pour coïncider
; ‘ | te occasion.
avec le 128e anniversaire de l’ap- | Messe d'actions de grâces
liant Sept-lles, sur la côte nord
du St-Laurent, à Knob Lake, est
maintenant terminé. Knob Lake
est au coeur des grandes entre-
prises d'exploitation de minerai
de fer de l'Ungava.
La construction de ce chemin
de fer avait commencé il y a
deux ans. Il s'agit d’une entre-
prise de $125,000,000.
Nouveau président de la
Chambre de Commerce
de St-Boniface
M. Albert Ford, le nouveau
Espagne.
PSS
ibres du clergé tant régulier |
| que séculier, S. E. le cardinal | offenses.
|
| Notre-Dame de Grâce. |
|mé par le défunt dans son testa-
| ment, aucune oraison funèbre n'a
| êté prononcée. S. E. l'archevêque
| de Montréal
| Albert,
On sait à ce propos que le con-| dination sacerdotale. De fait, |
grès avait vivement critiqué la
| prat,
il fut élevé à la prétrise à Ot-|
tawa par feu S. Exc. Mgr Jo-|
manière dont avaient été em-
ployés certains des fonds votés
pour la construction de bases au
| seph-Thomas Duhamel, le 23
Maroc.
1
tions et Règles des Oblats de Ma-
rie Immaculée, le 17 février. S.
Exc. Mgr M. O'Neill, archevêque
de Régina, vint prendre part à la
| probation papale des Constitu-|
fête qui eut lieu au Scolasticat |
du Sacré-Coeur, au milieu des
L'ancien évêque de Prince-Albert
ne voulait aucune oraison funèbre
MONTREAL — En présen- | ee tps ne soit prononcée, dé-
2 2 {clarait vouloir mourir dans l'E-
ce de plusieurs évêques et|,jise catholique romaine et ren- |
d'un grand nombre de mem-|dait grâces au Seigneur de tous |
|les bienfaits qu'il lui avait accor-
dés et demandait pardon de ses |
: 2 a “Nous ne pouvons pas garder le |
Paul-Emile Léger, archevé- silence et oublier tout ce qu'il a|
que de Montréal, a chanté le | fait, a dit le cardinal en parlant |
service de S. Exe. Mgr Régi- du défunt. S'il nous défend de!
5 ture parler de lui, il ne nous défend |
nald Duprat, O.P., à l'église | pas de parler de nous. Profitons |
| donc de cette occasion pour inter- |
roger la mort et lui demander ses |
secrets, considérons que nous vi- |
vons pour mourir et que nous|
mourrons comme nous avons |
vécu. |
“Mgr Duprat a suivi la voca- |
tion que Dieu lui avait tracée,
celle d'un religieux. Dieu alla
Conformément au désir expri-
a toutefuis lu une
partie du testament de Mgr Du-
ancien évêque de Prince-
Vierge, l'Eglise et l'ordre domi-
nicain soient présents devant le
tribunal de Dieu pour que son
serviteur soit admis à la cour
céleste pour chanter les louanges
de Dieu.”
S. E. le cardinal P.-E. Léger
était assisté par Mgr Paul-Emile
(Suite à la deuxième page)
Le Canada émettra 4
nouveaux timbres en avril
| la cérémonie liturgique.
OTTAWA — Le ministère des
Postes a annoncé qu'un nouveau |
timbre de cinq cents, à l'effigie
de la reine, sera émis le ler avril.
Trois autres nouveaux timbres,
montrant un castor, un morse et
un fou de Bassan, seront émis à
la même date, Le nouveau tim-
Î
|
|
|
|
|
{ A 2
carrière et les vertus éminentes, |
| qu'il prononça pour la première |
| fois en 1888. Le R. P, Bellemare |
président de la Chambre de Com-
PT A Psy | merce de St-Boniface, gradué en
| P. Paul Blché provingiale + L. | génie civil de l'Université du Ma-
| nérable jubilaire se présenta a | nitoba (1930), est aussi président
vec les autres prêtres pour re- FA la DOPROTE RAP EN ane
> religion | Stamping Co. Ltd”, de la “For
nouveler les voeux de religion Teas and Cotfée CD T4" st de
la “Canadian Amateur Swimming
chanta ensuite une grand-messe | Association”. Il a détenu les
d'actions de grâces, assisté des | hampionnats et records manito-
RR. PP. H. Gagné et À. Gervais, | bains pour les épreuves de nata-
comme diacre et sous-diacre, res- | tion de 50 verges à 3 milles et
pectivement, S. Exec. Mgr l'ar.| Plusieurs championnats canadiens
chevêque prit place au trône, as- | POUT les courses de 200 à 500 ver-
sisté des RR, PP, E. Maurice et | 85
O. Robidoux, comme chapelains,| Il annonçait à la première as-
et du R. P. G. Nogue, supérieur | semblée de l'exécutif qu'ii fallait
du Scolasticat, comme prétre-as- | coûte que coûte donner plus de
sistant. publieité à St-Boniface pour que
La chorale du Scolasticat ren-| le Canada tout entier sache qu'il
dit une messe en parties par Piel. | existe une ville du nom de St-
Le sermon de circonstance fut| Boniface, au Manitoba. A cette
donné par le R. P. M. Lavigne, | fin, y aura une brochure de
ancien provincial et supérieur du | Publiée d'ici quelques semaines,
R. P. Bellemare, dont il traça la | des cartes de la ville seront dis-
| tribuées aux touristes et la Chame
In vibra ” ina | bre de Commerce dépensera beau-
Un vibrant “Te Deum” termina | © Pompe vittrh FRONT, PEER
| coup de ses énergies pour intéres-
| À la messe de communauté |
On remarquait, parmi l'assis-| 5€r les industriels de tout le pays,
tance, des représentantes des|°t même de l'étranger, à venir
Soeurs Grises, des Missionnaires | #’installer chez nous. ©
Oblates et des religieuses de No-| À cette première réunion, les
comités étaient choi et ils sont
tre-Dame des Missions, ainsi que
les Associées de Marie-lmmacu-
lée
comme suit: M, Clément Benja-
min et Eddie Lowe auront char-
ge du comité de l'industrie et
du logement; MM. R. Peterson et
G. Otterholm, du comité de re-
crutement et M. Lorne Thomson,
Diner
A midi, plus de 80 convives |
prirent part au diner de fête!
décédé le, samedi 12 fé-
| vrier au couvent des RR. PP. Do-
| minicains, à Notre-Dame de Grà-
ce, où il s'était retiré après avoir
| démissionné comme évêque, au
| mois d'août 1952.
| Mgr Duprat, dans son testa-
i ment, demañdzit qu'aucune orai-
le chercher pour en faire un évé- | bre de la reine a été gravé en se
que, mais le laissa revenir quei-
ques mois à sa famille religieuse | Dorothy Wilding, de Londres. E-
avant de mourir. Il attend main-| ventuellement, on changera éga-
tenant son jugement qui sera plus | lement la photo de la souveraine
conforme à la benté et à la misé-| sur les timbres de deux,
trois! et la légende, ‘’Sacerdos Alter |;ou
| dans le réfectoire spécialement | du comité de finances, Le comité
{servant d'une photo fournie par | décoré pour l'occasion. En face | des affaires civiques et municipa-
de la table principale se dressait | es à été confié à MM. Harry
une grande croix dorée sur la-| DeLeeuw et Jean Gautron, celui
quelle on avait dessiné un calice | de la cireulation et des grand-
tes à M. Léc Hervo et celui
ricorde du Seigneur si nous in-! et quatre cents, faite d'après une | Christus . Deux gâteaux, confec- | de la publicité à M. Roland Cou-
tervenons par la prière. Que la! photo de Yousuf Karsh, d'Ottawa.
(Suite à la deuxième page) Îture,
PAGE DEUX
Le R. P. G. Bellemare, O.M.I., célèbre
son 60ème anniversaire de prétrise
ns mon diocèse nais dans tout
” ‘18 te D ie première page) Lord canadien”,
tlonnés les M onnaires O- Le BR, P. Bellemare
blates, « quement décorés En réponse à ces voeux, le
: £os vertus religieu-! RM. P. Bellermare exprima sa re-
: | connaissance envers sa famille
religieuse et insista sur la gran-
deur du sacerdoce du Christ qui
prolonge sur la terre par l'é-|
piscopat, et, en dépendance de!
épiscopat par la prétrise. Il se |
ti pret at ler encore quin-}
t | demanda à sea supé-
se
mar nd r des servi ces, au moins |
jusqu'à son centenaire , .
Au cours de l'aprés-midi, le
jubila présida le salut du S
Sacrement, à la romaine”,
Seance
soir, il fut
partageant à
honneurs avec M.
re
l'objet d'une!
cette occa-|
et!
Mme N ir, qui marquaient |
eur 50e anniversaire au service |
de l'Ecole Indienne du village, |
8. Enc. à À ppp En réponse aux hommages réi-|
P français, au nom | térés du R. P Provincial, le R. P.
1 dioce S. EXC. | Bellemare rappela les humbles
cor e R. P.| origines de sa vie pour faire res- |
m« de psortir les grâces dont la Provi-
aiment Gédéon,? 4ence l'a comblé. Le ‘’Magnifi-
L V- “ À cat conclut la fête
; tégine ait Diverses obédiences |
nnantes: “Jel, Durant ses 60 ans de prêtrise, |
A Oblats | 1e R. P, Bellemare a exercé son
+ sue dei zèle dans une grande variété |
+ d'oeuvres, dans les provinces de |
o | Québec, d'Ontario, du Manitoba
let de la Saskatchewan, soit de|
NOTICE TO CREDITORS | 1893 à 1898 à Mattawa; de 1898 |
N THE MATT à 1903 à Hull; de 1903 à 1912 à |
w YSLAW Maniwaki; de 1912 à 1918 com-|
at me aumônier des Soeurs Grises |
n à Ottawa; de 1918 à 1920, à Té-|
|miscamingue Nord; de 1920 à
| 1922 comme économe vicarial et |
curé de la cathédrale au Pas; |
| de 1922 à 1925, comme curé à |
| Lebret; de 1925 à 1927, comme |
curé à St-Laurent; de 1927 à
1933, comme aumônier des!
DENISET | Soeurs Oblates à St-Boniface; de
11933 à 1946, comme supérieur |
et maître des novices à St-Lau-
rent. 11 exerça son ministère, par
la suite, soit au noviciat de St-
Norbert, soit dans des écoles in-|
diennes.
Il est actuellement chapelain
de la Ferme St-Louis, en dépen-
:| dance du Scolasticat du Sacré-
, | Coeur, Malgré ses 86 ans, il jouit
d'une excellente santé, ce qui
lui permit de prendre une part
très active et très appréciée au|
| programme du jubile, et qui lui!
fait envisager encore “un autre
petit bout de vie’ utile à sa fa-
mille religieuse et à son évêque,
1954
DATED
at the city of Winnipeg, in
fanitoba, t} 2nd
1 day of February
A, D. 1954
MONNIN, GRAFTOR
& DO YWHLA À Y
Solicitors y the Administratrix.
TO CREDITORS
IN THE MATTER of the Estate
FREDERIC INVILLE, late
Village of tot er, in Manitoba
tired Farmer, deceased
ALL CLAI 7
estate must be r
MONNIN
DOWHA
Man
Apr
t 1
NOTICE
of |
of the
Re-
toba
1954
of Mani
ruary, À. D
GRAFTON, DENISET
&DOWHAN,
Solicitors for Norbert
and Je sept Jubir
YNIN
Jubinville
executors
\ville,
Western Savings
and Loan Association
*
Bureau-chef
WINNIPEG
— L'inde songereit RE
| tions faites au Parlement de l'In-
| ment de l'Inde à l'égard des ter-
| ritoires portugais du pays.
expulser des . ..
SR nn
7 (Suite de la première page) |
auprès du premier ministre Ja-
waharlal Nehru, contre le dé-
cret édicté au nom du ministre
de l'Intérieur,
Les missionnaires, qui sont des
Bénedictins sylvestrins, ont éte
mentionnés dans des interpréta-
de, en septembre dernier, quand
les législateurs communistes les
ont accusés ‘‘d'agissements défa- |
vorables à l'Inde”; on alléguait |
en particulier que les prêtres en |
cause avaient publié des articies
| dans la presse étrangère, pour
attaquer l'attitude du gouverne-
Par la suite, on apprit que la! ” res
“presse etrangère' dont par-| Tommy Burlington, centre des
laient les légisiateurs communis-| Owen Sound Mercurys, qui n’é-
tes était tout simplement une pe-| tait plus qu'à 4 points du record
tite publication polycopiée, des-| de 112 points réalisé dans la ligue
tinée à des particu'iers du mo-|OHA senior A par Mickey Roth
nastère de St-Sylvestre, Detroit, | (en 1951-52), se voit immobilisé
Mich. Le R. P. Boda Barcatta, | bar une fracture à la jambe souf-
l'un des deux prêtres, avait pu-|ferte au cours d’une joute contre
blié deux articles dans ce pério-| Niagara Falls, (CPC)
dique pour décrire son voyage
d'Italie à Cochin et exposer
l'oeuvre accomplie dans le dio-
cèse la première année, Dans ces
deux articles, l’auteur ne soui-
flait mot de la région portugai-
se de l'Inde ou de la politique de
ce pays.
| que, le ministre de l'Intérieur a
répondu: “Ils le savent très
bien”.
Le ministre de l'Intérieur avait
déclaré, en avril 1953, que le
gouvernement indien désapprou-
vait le proselytisme des mission-
naires étrangers, qui devraient
confiner leur activité aux do-
maines éducatif et social. L'in-
] ternonce papal a affirmé par la
cemment que l'Inde refusait des | suite qu'il recommanderait le
visas d'entrée à des missionnai-| rapatriement des prêtres qui
res hollandais. Ainsi, au cours | s'étaient mêlés de politique.
de 1953, les missionnaires de dédie énmepénters
Mil-Hill n'ont pu +nvoyer aucun | emmm#> |’ : 1 À
prêtre hollandais dans les dio- | à L'ancien eveque de
|cèses qu'ils dirigent dans l'In-| Prince-Albert ne . . .
de. De même les Franciscains et | =
les Prémontrés de Hollande se (Suite de la première page)
à ni. LUTTE _ permission | Coursol, P.D. curé de la paroisse
entrer dans l'Inde. , » P.D,
Dans les cercles catholiques Mior, PAS mpériur du Orand
de Hollande, on craint que le Séminaire, agissait comme diacre
gouvernement de la Nouvelle- d'honneur, & À D. Sylvain
Delhi ne cherche à laisser dépé- vicaire général dominicain à Fa-
ni oÂoue pt 8 2 mer ds br tima, Portugal, agissait comme
emen e la déclaration de ,
l'ambassade indienne à La Haye, |“ UE Gioffice éiait M. l'ab-
porsens que le pays possède suf-|; Lucien Svlvestre, et le sous-
fisamment de prêtres indigènes diacre, M. l'abbé Syivio Morin
et que les nouveaux missionnai- is de S. E Mer Ai 4
A t pas dé- représentant de xc. Mgr Ai-
res eirAngers De peuvenr p {mé Decosse, évêque de Gravel-
montrer suffisamment que leur rh
présence dans l'Inde est néces- | POUTE:
saire à l'intérêt du pays.
D'après une communication
d'un évêque de l'Inde, ce pays
compte 4,000 prêtres indigenes
Visas d'entrée refuses
Par ailleurs, une dépêche de
La Haye, Hollande, signalait ré-
Evéques présents
On remarquait dans le choeur:
L1, EE. NN. SS. Conrad Chau-
mont, évéque auxiliaire de Mont-
réal, Georges Cabana, archevé-
pour 4 millions et demi de ca-| que’ de Sherbrooke; Lawrence
tholiques, de même que 1,000 |{Yhcjan, évêque auxiliaire de
missionnaires étrangers, 1,600 Montréal: Léo Blais, évêque de
séminaristes; par ailleurs, la ma-
jorité est indigène. Prince-Albert; M.-J. Lemieux.
O.P. archevêque d'Ottawa; E-
douard Jetté, évêque auxiliaire
de Joliette; Martin Lajeunesse,
O.MI, vicaire apostolique du
Keew atin, et Maxime Tessier, é-
vêque de Timmins,
Déclaration du
gouvernement de l'Inde
En regard des informations
précitées, il importe de rappeler
qu'en décembre dernier, le mi-
nistre de l'Intérieur de l’Inde a | Une statue de Marie
donné l'assurance des organisa- |
à rh )
tions missionnaires étrangères | QUI Q déjà pleuré
qui se trouvent déjà en Inde,
aussi longtemps qu'elles agi-
raient de façon paisible et trré-
prochable,
Comme un membre de la
Chambre demandait si les mis-
sionnaires étrangers recevaient
du gouvernement des instruc-
tions selon lesquelles il: ne de-
| Yaent pas s'occuper de politi-
saigne maintenant
ROME -— La Vierge de Porto
Empedocle, en Sicile, qui pleu-
rait comme celle de yracuse,
dont elle est une reproduction, ne
pleure plus. Elle s’est mise à sai-
gner. On a remarqué, en effet,
que deux doigts de la Vierge qui
sont posés sur son coeur sont ta-
chés de sang frais.
est plus facile à obten
Lavable
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minutes,
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avec les Ballet ‘540’, Visitez votre marchand bien-
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Faites le choix d'une teinte, puis, apportez chez
vous un échantillon de cette teinte, pour voir si
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LA LIBERTE ET LE PATRIOTE
Exclusit à ‘’Lo Liberté et le Potriote"*
per Jacques
Nous ignorons quels joueurs
les Cardinaux de St-Louis ont
l'intention de donner aux Gold-
eyes de Winnipeg, membres de
la ligue Northern, mais s'il faut
en juger par la nomination de|
l'instructeur Mickey O'Neill, il!
ne fait aucun doute que le ciub |
de Winnipeg fera parler de lui. |
I1 fut un temps où les Cardi-|
naux de St-Louis avaient le meil.|
leur système de clubs-école de]
tout le baseball majeur. A cette |
époque, Branch Rickey dirigeait |
les destinées des Cardinaux et |
ces derniers remportèrent le
championnat de la ligue Natio-|
nale et la série mondiale, grâce
aux joueurs obtenus des cluts-|
école. Puis, Branch Rickey quit-
ta St-Louis pour passer des rives |
du Mississipi à celles de la Go-
wamus et la situation |
rapidement. Les Dodgers organi
sèrent à leur tour une série de
clubs-école qui leur ont apporté |
les résultats que l'on connaît.
Le secret de Rickey a toujours
été de nommer d'excellents ins-|
tructeurs à la tête de ses clubs]
des ligues mineures. La nomina-
tion de Mickey O'Neill est dans
la tradition 1.ickey.
O'Neill a connu une longue et |
fructueuse carrière dans les li-|
gues majeures, jouant dans la li- |
gue Nationale et dans la ligue|
Américaine, Il a été le contem-|
porain de figures légendaires |
dans le monde du baseball et il
n’a cessé de s'intéresser à ce
sport, même après sa retraite
comme joueur actif. O'Neill vient
à Winnipeg avec des connaissan-
ces acquises au cours de 32 sai-
sons dans le baseball organisé.
I1 connaît tous les trucs du mé-
tier et saura les enseigner à ses
protégés qui seront probable-
ment, pour la grande majorité,
de jeunes joueurs anxieux de fai-
re leur marque dans le baseball
organise. Qui sait si l'on ne dé-
couvrira pas, au sein de cette
équipe, une future étoile des li-
gues majeures? La chose se pro-
duit ailleurs, chaque saison,
po serait-elle impossible à
innipeg?
Surveillez les Russes!
Parce que les démocraties
croient en la libre entreprise et
qu'en dépit de toutes leurs fau-
tes, le sport amateur, sous cer-
mercialisation rencontrée par-
tout ailleurs, les athlètes des
ays démocratiques font face au-
ourd'hui à un fort contingent
d'athlètes professionnels venus
de la Russie. Pour la Russie, une
victoire dans les concours inter-
nationaux équivaut à un grant
triomphe dans le monde diplo-
matique et c'est pour cela que
les athlètes du Kremlin ont mis
LEMOYNE
de bonnes chances de compter
au moins 40 buts cet hiver, un
exploit assez remarqi Te pour
un joueur qui ne devait pas du
rer une saison ‘après que la li
gue aura reformé ses rangs,
lendemain de la guerre”.
On a préféré Gordie Howe à
Maurice Richard à deux repri-
ses, dans le passé, pour le poste
d'aile droite, mais il semble bien |
rédacteurs
que cette saison les
sportifs n'auront pas trop à hé
siter et qu'ils donneront au
Rocket le poste qui lui revient,
la première place.
Lumières vs télévision
M. Philip K. Wrigley, le roi
> la gomme à mâcher, a annon-
= que cette année encore Les
Cubs de Chicago ne disputeraient
pas de joutes de baseball sous la
lumière artificielle. Et M. Wrig-
| ley, qui est un homme d'affaires
très averti, a expliqué au repré-
sentant du Sporting News qu'il
prenait cette décision à cause de
la télévision. L'argument de M.
Wrigley nous semble plein de
bon sens et il mérite qu'on s'y
arrête. Le jeune propriétaire des
Cubs de Chicago affirme que les
clubs des ligues mineures ont
besoin du baseball du soir pour
survivre car il n'y a pas assez
de touristes qui visitent ces vil-
les pour permettre le baseball
de l'aprèsmidi, Mais, dans les
grands centres comme Chicago,
par exemple, il y a assez de per-
sonnes qui sont libres l'après-mi-
di, même sur semaine, pour que
le baseball sous le soleil soit pro-
fitable, Et M. Wrigley cite des
chiffres pour prouver qu'à l'ex-
ception de l'an dernier, alors
qu'ils avaient un club pitoyable,
les Cubs ont toujours attiré plus
d'un million de spectateurs avec
du baseball de jour seulement.
M. Wrigley affirme que la té-
lévision, dont nous connaîtrons
les bienfaits et les méfaits à Win-
nipeg à l'automne, nuit au base-
ball du soir car les programmes
pour toute la famille sont trop
nombreux et plaisent à trop de
gens. Quant à l’idée de certaines
gens qui voudraient faire payer
les détenteurs d'appareils un'cer-
tain montant pour qu'ils puissent
voir des attractions sportives de
premier ordre sur la télévision,
M. Wrigley croit que le baseball
s'en tirerait encore très mal, car
à part du père de famille, toute
la maisonnée serait plus intéres-
sée à payer pour voir un film de
première qualité. Si les Cubs ont
une bonne équipe, cette année,
nous verrons si M. Wrigley avait
raison quand il a fait sa décla-
ration.
au
ns | dE
tant de temps à accepter les rom-
breuses invitations qui leur ont
geo de participer à des con-
ours internationaux. Mais main-
tenant qu'ils ont accepté, on peut
demeurer assuré qu'ils sont
prêts et que leurs chances de ga-
gner seront excellentes. Partout
où ils n’auront pas de chance de
gagner, les Russes verront à ne
pas inscrire d'équipes. Dans ce|
pays-là, on ne connaît que ce
qu'on appelle en langage de cour-
ses ‘‘a sure thing’, comme le tré-
pas ou le camp de concentration
si on dévie de la ligne du parti.
Les athlètes russes ne sont pas
plus des amateurs que les jou-
eurs de la ligue Nationale de
hockey le sont. Cependant, à
cause de leur interprétation des
règlements, ces athlètes subven-|
tionnés continuellement par l'E-
tat sont considérés comme des
amateurs par une fédération in-
ternationale incapable de se te-
nir Arena devant les Russes
et de leur dire leur fait. C'est
ainsi que l’équipe de hockey en-
voyée par la Russie pour parti-
ciper aux joutes pour le cham-
pionnat du monde est composée
uniquement de professionnels,
car nous ne voyons pas très bien
la différence entre un profes-
sionnel payé par l’entreprise pri.
vée et un professionnel payé par
l'Etat. A moins que les fonction-
naires soient considérés comme
des amateurs, ce qui ne fera pas
plaisir à tout le monde, Nous a-
vons toujours cru que dans le
monde du hockey les Canadiens
de Montréal étaient les cham-
pions professionnels de 1952-53
et non une équipe russe traves-
tie en ‘amateurs’ pour fins de
propagande. |
Encore Richard!
Les lecteurs de cette chroni-|
que nous excuseront de revenir
de nouveau à la charge aujour-
d’hui pour leur parler de Mauri-
ce Richard. Mais en parcourant
un grand journal de Toronto,
nous avons relevé un petit item
qui nous a fait plaisir et qui nous
a aussi rappelé bien des souve-
nirs. Le rédacteur sportif de cet-
te feuille demandait à ses lec-
teurs s'ils se souvenaient de tel
ou tel événement et, tout à coup,
il écrit à peu près ceci: ‘Où se
cachent les personnes qui, du-
rant la guerre, dénigraient Mau-
rice Richard et prédisaient qu'il
n'était qu’un joueur de temps de
guerre, un produit synthétique?”
Ceci nous a ramené à la, mé-
moire certains articles très vi-
trioliques dédiés à Richard par
une certaine presse du pays qui
refusait de reconnaître en lui le
meilleur joueur de hockey des
temps modernes.
Pourtant, après la guerre, Ri-
chard a marqué des buts avec
une régularité déconcertante, dé-
passant deux fois les 40 buts au
cours d'une même saison. Il est
vrai que le Rocket n'est jamais
parvenu à terminer en tête de
la liste des compteurs de la ligue
Nationale, mais il a toujours
trouvé le tour de compter plus
de buts que la majorité des au-
tres joueurs de la ligue et, mé-
me au cours de ses plus mauvai-
ses saisons, il dépassait régulié- |
rement les 25 buts! Cette année, |
le Rocket semble inspiré par un |
élixir secret et tandis que Gor-
die Howe accumule des passes, |
Richard vise encore les 40 buts|
et plus et nous croyons qu'il a|
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8C La Liberté et Le Patriote ABC
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Il Association des Fabéomodores de lorçque ©
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| Toute € pondonce corcernont la Ou journal doit nous porvenir Qu plus tord
| le mercredi motir 30, et étre adressée au
| Redecteur, Le Liberté et 1e Potriote, 619, avenue baril: Winnipeg, Man.
{1 Autorisé comme envoi postal de Ze classe, Ministère des Postes, Ottawa.
Il
L'affaire des prêtres-ouvriers agite l'Eglise de France
respor dont
sa machine-outil qui broie feroce-
igues barres d'acier offerte
l'ouvrier du département des.4 CV.
Renault marqué un temps
semble quelqu'un a touche
lui a dit a l'oreille
Ta
Devant
ment es
ite
isines
. I lui
et qu
place n est p
101
vorat
ä
que
une VOIX
aux
1 arret
on epauie
as 1C1 m1ss10n
( pas cette usine ou tu partages les
es et les peines de tes compagnons de
ravail, mais où tu ri ue aussi de perdre
le ue ! object if essentiel de ta vie celui que
j as choisi naguëre, lor sque tu as répondu
a l'appel de Dieu qui t'a fait pretre
Car cet homme en vetements mäcules
d'hu + de graisse, cet ouvrier qui réfléchit
jouioureusement SUTI sa machine est un
prètre de Jésus-Christ, un de ceux qui, re-
pondant à l'appel du cardinal Suhard, sont
allés dans les usines et sur les chantiers
vivre la vie âpre et dure de la multitude labo-
rieuse, afin, pensaient-ils, de lui mieux porter
le Message évangélique
En créant, voici dix ans, la Mission de
Paris, le cardinal Suhard avait voulu tenter
une expérience absolument nouvelle en ma-
tière d'apostolat ouvrier. Profondément emu
par l'immense detresse religieuse du monde
prolétarien, angoissé par les souffrances im-
méritées de tant d'hommes, de femmes et
d'enfants victimes d'une intolerable injustice
ciale, l'archevêque de Paris avait decide
d'envoyer à ce peuple des prétres qui, vivant
avec lui et comme lui, seraient mieux placés
que quiconque pour en pénétrer la psycholo-
gie et y adapter des méthodes nouvelles
d'apostolat
L'expérience s'est poursuivie, avec
réussites et ses échecs. En faisant lever une
immense espérance dans la classe ouvrière,
dont ils partageaient désormais la dure con-
dition, les prétres-ouvriers ont témoigné
d'une générosité a laquelle maints homma-
ges ont été rendus, Malheureusement, à l'ob-
jectif initial fixé par le fondateur de la Mis-
sion de Paris, c'est-à-dire la rédemption du
ouvrier, s'en est peu à peu substi-
ses
monde
tue un autre, la libération de la classe ou-
vriere, Emprisonnés dans leur nouveau mi-
lieu de vie, certains prétres-ouvriers én |
étaient arrivés à la conclusion que le retour |
Dieu de la classe ouvrière ne pourrait se
faire sans un renversement de l'ordre social
établi, Ainsi, peu à peu, l'action de:ces
prêtres a-t-elle glissé sur le plan temporel,
dans les comites, les conseils et les syndicats
domines par les communistes,
Aussi bien, la forme de cette action po-
sait-elle des problèmes nouveaux à l'Eglise,
engagée sur des chemins qui ne sont pas les
Et l'on s'émut, en France comme
Rome, à la nouvelle de l'arrestation de deux
prétres-ouvriers au milieu d'une violente
manifestation communiste dirigee contre la
politique étrangère du gouvernement fran-
Cais
siens a
Au
avoir
mois de novembre dernier, après
examine la situation avec leurs colle-
gues de l'Episcopat, les cardinaux Lienart,
Gerlier et Feltin se rendaient auprès du
Saint-Père pour lui soumettre des proposi-
tions de réforme de l’apostolat ouvrier. Quel- |
ques semaines plus tard, le 20 janvier E Epis-
copat français publiait une declara ion rap-
pelant l'incompatibilité entre la condition
de prêtre et celle d'ouvrier, et invitant les
pretres-ouvriers à observer certaines regles
temps de travail limite (trois heures par jour
au plus), interdiction de tout engagement
temporel, rattachement à une communauté
sacerdotale ou à une paroisse.
furent diversement inter-
pretees en France, D'aucuns voulurent leur
rouver des mobiles purement politiques.
D'autres, plus préoccupes du sens de l'Eglise
et du bien des âmes, déplorèrent la fin d'une
experience qui risquait d'apparaitre comme
renoncement de l'Eglise à évangeliser les
masses proletariennes. Elles posaient en tout
aux prétres-ouvriers eux-mêmes des cas
Ces décisions
u1
cas
de conscience redoutables et angoissants.
Pendant que les controverses allaient
on train, on apprenait soudain que le
l, R, P. Suarez, Maître Général des Frères
Prècheurs, venait de prendre des mesures
jugees fort sévères a l’egard de Pères domi-
ins francais défenseurs des thèses favo-
rables aux prèétres-ouvriers. Les trois pro-
iaux de France, les RR. PP. Avril (Paris\,
las (Toulouse) et Belleau Lyon) étaient
remplaces, tandis que les RR. PP. Chenu,
Congar, Boisselot et Féret, animateurs d'un
certain nombre de publications (Vie Intel-
lectuelle, Actualité catholique, Quinzaine),
voyaient invites à quitter Paris
Jusqu'à ce moment, les discussions rela-
ves aux nouvelles méthodes de l’apostolat
ouvrier, auxquelles les prêtres-ouvriers doi-
soumettre avant le ler mars,
e de sanctions graves, se situaient à peu
exclusivement sur le terrain religieux,
tant aux prises theologiens et moralistes,
discutaient avec plus ou moins de viva-
ur les problèmes du sacerdoce, de
apostolat populaire et de l'obéissance à
Eglise. .
Les décisions du T.R.
1dir le débat jusque sur la place publi-
+, Le même jour, on enregi: t en effet
faits caractere différent, mais
symptomatiques de li de la com-
se
vent se sous
pet
pres
met
qu
cite sur
À P. Suarez ont fait
reboi!
"al
)is de
itensite €
plexite du drame qui agite en ce moment
l'Eglise en France
Tout d'abord, M. François Mauriac pu- |
er 105 mesures
Maurice HERR
bliait dans Le Figaro un article où, de sa
plume frémissante et généreuse, il analysait
les
de Paris,
couragés par les directives venues de Rome.
Emporte par son élan, M. Mauriac en arrivait
a reclamer la conclusion d’un nouveau con-
cordat entre la Répub:ique française et le
Saint-Siège, afin que l'Etat puisse prendre
sous sa protection, dans certaines circons-
tances, les catholiques, les prêtres et les re-
ligieux soumis sans restriction à l'autorite
des Curies romaines.
Second fait caractéristique, l'initiative
prise par M. Edmond Michelei, sénateur de
’aris, ancien ministre du général de Gaulle.
Ce parlementaire, connu pour ses sentiments
profondément catholiques, a demandé au
ministre des Affaires Etrangères, par la voie
d'une question écrite, ‘d'attirer l'attention du
Sant-Sieye sur les conséquences regrettables qui
squent d'atteindre, à travers l'Eglise de France
le prestige et le rayonnement de notre pays dans
le monde, à la suite des circonstances qui ont
ré les décisions frappant des prêtres et
eux français”
Enfin, troisieme fait, la demarche de M.
Deixonne, député socialiste, qui s'est eleve
auprès du gouvernement contre le rôle joue
dans l'affaire des prétres-ouvriers par le
Nonce apostolique en France, S. Exc. Mgr
Marella. M. Deixonne, qui s'est fait au Parle-
ment le champion d'un anticléricalisme fre-
nétique, reproche au représentant du Saint-
Siege d'avoir effectué des démarches auprès
des membres de l'Episcopat pour que soit
aes
mis fin a l'expérience des prétres-ouvriers.,
Il affirme que le Nonce, qui remplit en;
France les fonctions d'ambassadeur, ne peut
entretenir de communications officielles
qu'avec le gouvernement. Par ailleurs, M.
Deixonne réclame également la conclusion
d'un concordat, qui définirait les droits de
Rome et préserverait ceux de l'Etat français
dans tous les domaines où ces droits s'exer-
cent conjointement.
A la suite de ces initiatives, l'affaire des
prétres-ouvriers va-t-elle glisser sur le plan
politique et faire l'objet de débats devant le
Parlement? C'est bien peu probable. En
effet, depuis la loi de Séparation de l'Eglise
et de l'Etat, votée en 1904, les affaires reli-
gieuses de la France relèvent uniquement de!
l'Eglise, donc de la Hiérarchie et du Saint-
Siège. Les questions posées au gouverne-
ment par des parlementaires sont sans objet,
meme en ce qui concerne l’activité du Nonce
apostolique,
Le droit canon prévoit en effet que le
Nonce entretient les relations diplomatiques
avec les pays où il est accrédite et que, dans
le territoire aui lui est assigné, il veille à
l'état des Eglises et informe le Pontife ro-
main à ce sujet. S'il lui faut voyager pour
s'informer de la situation ou informer la hié-
rarchie des directives pontificales, il fait
son metier de Nonce
Cependant, ainsi engagée sur le terrain
politique, la discussion risque de devenir
fâcheusement bruyante, et de se développer
en pleine confusion. Outre qu'elle tend à
réveiller certaines tendances gallicanes de
l'Eglise de France, en dressant les catholi-
ques français contre les directives venues
de Rome, elle risque de troubler gravement
les âmes, et de conduire certains hommes
dans des impasses. Précisément, le 27 février
prochain mârque le centenaire de la mort
de Lamennais, ce prêtre qui, pour défendre
a propos de la démocratie des idées assez
voisines de celles qui sont au centre du débat
actuel, a été conduit à se révolter contre
l'Eglise et a se séparer d'elle. La crise d’au-
jourd'hui n'est donc pas nouvelle, et d'au-
cuns devraient en connaitre les redoutables
conséquences.
Au surplus, il est curieux de noter que
des hommes comme M. Mauriac ou M. Dei-
xonne en arrivent pratiquement à réclamer
une intrusion de l'Etat dans les affaires de
l'Eglise, alors que l’un et l’autre réprouvent,
pour des motifs différents sans doute, mais
de la même façon, le concordat conclu en
1953 entre le Saint-Siège et l'Eglise.
Ces diverses initiatives ont d'ailleurs fait
l'objet d'une pertinente mise au point de
La Croix. Dans son commentaire, le KR. P.
Gabel, redacteur en chef du quotidien catho-
lique, dénonce le confusionisme des uns et
des autres, fixe un certain nombre de points
de repère pour juger objectivement de ces
choses d’Eglise. Et il conclut:
C'est au moment où des tendances diverses
tent que la mission de l'autorité devient
plus délica lus nécessaire, et l'obéissance des
fidèles plus libre et plus surnaturelle
‘Le chre
peut
1"
tee
n peut dire qu'il souffre et ob
qu'une porte se ferme et cher:
à en ouvrir d'autres: 1l peut demeurer convaincu
ue dans le domaine pratique, ses solutions sont
lus efficaces que celles préconisées par l'autorité
llaborer activement à mettre en oeuvre les
néthodes: :l peut même dire qu'il
Î pas grand'chose et vouloir demeurer
nbre vivant de la communauté catholique
Sa communauté, mas de La
2er
ne
com
et spécialement les catho
ditront toujours ten-
les écartèle dans la liberté et l'obeissance
(æ tradition, l'initiative personnelle
d'autorité. Les choses ne sont pas
simples, et l'attitude des chrétiens non plus. , &*
Les catholiques
franças
Jui
reation el
conn cette
troubles et les angoisses des catholiques |
français, surpris, désorientés, et parfois dé-|
L'hon. Louis St-Laurent dévo
du soldat inconnu, à Ron
arrêt de la tournée
tombe
trièem
Billet du vendredi
mondis
se de fleurs sur la
e couronne
La capitale itslienne fut le qua-
aie du premier ministre canadien.
(CW)
Un demi-siècle après: l'abbé
Henri-Raymond Casgrain
Spécial à ‘’La Liberté et le Patriote
Les urnaux rappellent le ; tout, où il mit le meilleur de lui-
prix Raymond-Casgrain, décerné | même. Un livre où il y a du bril-
chaque printemps. Il honore l'ab-lant et d2 l'allant, consacré à
ri mond Casgrain, his- périod> héroïque. Récit de
torien, qui rut il y a déjà d'armes, qui est aussi une
un demi-siècl cinquant étude d: moeurs et une reconsti-
re de sa disparition donnera tution d'époque
à diverses manifestations qui se Voulant continuer l'oeuvre de
!t dérouleront à Québec, où l'abbé | Garneau :t de Ferland, deux pré-
grande
n
! Casgrain la plus
partie d I] fut,
temps où la méthode historique
laissait souvent désirer, l'un
de nos meilleurs écrivains d'his-
Aussi, malgre le recul,
lisent-elles encore et
pas d'autori-
, compensés par
passa
sa vie un
à
toire. ses
ouvres $s
ne manquent-elles
te.Il a ses défauts
d'incontestables
Enthousiaste
qualites
imaginatif, ar-
il se cm-
l'occasion par son goût
ou ses sympatisies
accorde Deéau-
aux dernières
tiste et sensible, laisse
porter
du draimatiqu:
personnelles. S'il
coup d'attention
années du régime français au
Canada, il penche pouf Mont-
calm, plutôt que Lévis, dans son
| appréciation des hommes et des
{faits Un peu trop même, au
point qu'on l'accuse de
le stcond au premier. Il ne
appartic trancher 1:
bat
L'abbe
a
nous
nt pas de de-
sujet.
Casgrain travailla sans
des let-
a ce
renalissanc
à la
se lasse]
ranç
temps qu u-
iine d'autres, parmi
in-Lajoie, Joseph-
, Hubert LaRue. Il
bons ouvriers,
tres can
pres 1860. En m
ne demi-douz
lesquels Ger
Charles Tache
de
époque où ils se comptaient
s doi la main.
, TR CO |
l'une dx
a 1
xm >
reste 1 un nos
a un
gts d
sur 1€
s plus
anciennes familles du pays, im-
plantée chez nous depuis 1748.
Elle et originaire des Deux-
Sèvres, en Vendée, Ancien
1-François Casgrain pas-
dat, Jear
sa en Nouvelle-France, y épousa
15 juin
Il appartenait
sol-
Geneviève Duchesne 1e
1750, à Québec. Cette première
femme décédée sans lui donner
d'enfants, il convola de nouveau,
lcette fois Marguerit: Ca
sault, qui est l'aïeule de la lignée
L'abbé Casgrain na-
la Rivière-Ou:lle
> l'honorable Char-
les-Euseb Casgrain ur
Devenu prêtre, après des
à Ste-Anne-de-la-Pocatière, il fut
d'abord prof:sseur à Alma
Mater, p ministère parois-
fut aumônier du couvent du
> Quebec, d2 1861
se re alors du mi-
pour se consacrer
d’historien, Il n°
ins de garder son ap-
avec
canadienne.
quit lui-n
n 1831, fils de
1eme a
ses etu
son
1SSa au
Slai,
Bon-Pasteur d
1870, irant
stere
a
a sa
conti-
n
tâche
nua pas mo
partement du Bon-Pasteur jus-
qu'a sa mort, survenue le 10 fe-
vrier 1904. I1 sa vie durant,
afflige d rible épr:uve:
des yeux ilades, qu'il usait
chaque jour peu plus à l’etu-
de des textes. Dès 1869 se
ve force de suspendr2 son
activite, intellectuelle et sacer-
dotale, pour nfermer dans une
chambre © ire au manoir fa
milial d'Airvault, Quand il ecri-
vit son Histoire de l'Hôtel-Dieu,
il souffrait d presque
complète et devait irir à ur
secrétaire pour connais-
sance des docun interpre-
ter. 1 ] jusqu'à la
fin, devenu t it aveugle.
Les « rages de l'abbe Cas-
gra buérent besucoup à
faire connaître tre pays er
France, en un t:mps où la mère-
patrie lui accordait peu d'atten-
| ‘ion, Son Monicalm et Levis sur
sacrifier |
-, dépassera pas les
decesseurs qu'il admirait avec
raison, il commença par ecrire |
des légendes et autr:s récits lit-|
téraires, Comme pour se faire la
main. il n'aborda l'histoire qu'en
1864, avec une biographie de Mè-
re Marie de l'Incarnation.
Histoire de l'Hôtel-Dieu de Que-
bec date de 1878, son Montcalm
et Lévis, de 1891,
On remarque, dans la
clature de s
graphie de
l'historien
sait que,ce
coup à l’histoire
se confond avec celle
s oeuvres,
Francis
américain
Parkman,
(1872), On
lui-ci s'interessa b:au-
du Canada, qui
des Etats-
a
Unis. Car, au t:mps de Montcalm;
et de Lévis, les Anglais contre
l:squels on guerroyait venaient
du sud, ce qui est logique, bien
| plus que de l'Angleterre. Si on
le disait un peu plus dans les
collèges, les élèves compren-
draient mieux une histoire qui!
souvent leur parait obscure.
L'abbé Casgrain connaissait bien |
Parkman, avec lequel il garda
de longu:s relations. On possède
à Québec une abondante corres- |
pondance entre les deux hommes,
qui mériterait d'être publiée,
L'ILLETTRE.
Conseil internetionel |
de ‘‘’Pax Christi‘’
Dernièrement s'est tenu à Cla-
mart le Conseil International du
Mouvem:nt ‘‘Pax Christi”, sous
la présidence du cardinal Feltin,
présidsnt international, et en
presence de plusieurs evêques
étrangers: S. Exc. Mgr Rusch,
evéque d'Innsbruck, S. Exc. Mgr
de
| Suenecns, évêque auxiliaire
Malines, S, Exc. Mgr Rossi,
que de Biella,
rière, évêque de Fribourg, et de
délégués ecclésiastiques et laï-
ques d'Allemagne, Autriche, Bel-
ev
gique, France, Holland:, Italie,
Lux:mbourg, Sarre et Suisse.
Le Conseil a prévu, pour l'an-
ne un pélerinage à Einsie-
del sse, ainsi que d:s ‘“‘Rou- |
s de la paix”, à St-Jacques de
Composte Notre-Dame du
Puy, et Cantorbéery, M. cha-
1oine Lalande, s:crétaire de S.
E. le cardinal Feltin, éte con-
firme dans fonctions de
e general du mouvement.
est fait à tous les pays
adhere au
s'y joi-
le
a
s2-
ler
Un
qui n'ont
mouvem
gnent
appel
pas encore
pour
tarder
nt qu'ils
sans
La vraie coopération
ecole agricole moyenne
po Europeens et Arabes vient
de s'ouvrir à Tamara prés de
Rab Cett catholi-}
que est né car les
3lancs sont generalement catho-
iques et les Marocains sont mu-
sulmans. L'école est un internat
dirige par des Jésuites français.
L: système scolaire est complé-
tement neuf et débarrasse de
toutes les normes existantes. Les |
udients sont
< de
choisiss:nt pers
chef. C'est ainsi que seul Ma-
n est à la tête d'un de ces
groupes. Le nombre d'élèves ne
150,
ét E s8 Se en grou-
1diants, qui
innelle ment leur |
pes m1
:
LL <e
rocai
Son |
nomen- |
une bio-|
S. Exc. Mgr Char-|
La Chronique
.…. internationale
Liberté et le Patriote
de ‘Lo
Corr
espondant speco
por Andre LAFLECHE
La présence de la Chine communiste à Genève constitue
une reconnaissance de fait de ce pays.
Le monde est entre dans la mand, car Dieu sait que la Fran-
période des conférences int:rna- ce a des raisons de nous en vou-
| tionales. C'est un malaise cycli- loir, C'est toujours elle qui a
que. Fatiguees de s> rencontrer trinqué au cours des dernières
et d'étaler à la vue de tous qu':l- guerres et ce n'est assurement
les ne peuvent s'entendre sur au-! pas d'elle que nous attendions les
cune question importante, il paroles conciliantes entendues
rive souvent aux Grand:s Puis- hier .,."” — ‘Je crois, disait un
sances de se bouder les unes les autre, que ce serait une bonne
autres, de refuser toute rencon- chose si les Français, de leur co-
tre «<t tout entretien (les débats te, acceptaient sans arrière-pen-
ar-
à l'O.N.U. indiquent assez que sée la Communauté de defense
|les désaccords sont permanents). européenne (l'armée d'Europe
Puis, elles changent d'attitude. Herr Gottl le vieux ‘Fritz (Fré
Elles consentent à $e rencontr.r déric de Prusse), qui n'est plus
à échanger des shake-hands, com- dans sa tombe de l'eglise de la
me on dit à Paris, à exposer des garnison à Potsdam, n'avait pas
vues dejà connues et d'ailleurs tort d'admirer la France: il au-
irréconciliabl:s, à donner des re- rait dû le faire davantage, car
ceptions somptueusts, avec cock- ce qu'elle entreprend aujourd'hui
tails, volka, etc., receptions ou il a tout de même de la classe."
y a toujours des photographes De tels éloges, qui xpri
qui ne sont pas invites et qui re-! ment pes nécessairement les vu:s
ussissent à prendre des photos officielles, sont à retenir. Il faut
inédites des grands d>: ce mond£!| dire toutefois que l:s propos de
La conférence des Quatre s'est! M. Georges Bidault ne représen
{ouverte à Berlin le 25 janvier.!taient pas les vues de tous les
Elle s'est terminée le 18 fevrier.! Français. La France a des rai-
Elle a fini par un accord total: sons (que les Etats-Unis ne com-
celui de tenir une autre confé- prennent pas assez) de craindr
rence! Cette fois, elle aura li:u!le réarmemeént et la puissance
à Genève et elle commencera le militaire de l'Allemagne
l:s pro-
26 avril. Elle portera sur 1:
blèmes asiatiques, et tout parti-
culiérement sur ceux de la Corée
Le’ problème de l'Indochine
I1 parait que les deux partici-
Ù ; x pants qui aient quelque raison |
et de l’'Indochine. Seize nations! , a Bet Po Fe |
ci is de se montrer satisfaits de la con-|
y participeront, dont 1: Canada | _
et la Chine communiste. On!
prend la peine de préciser cepen-
dant que la présence de la Chine
communiste à la conférence ne
signifie pas qu'on la reconnait
officiellement , C'est jouer
sur les mots. La presence de la
Chine communiste à Genève im-
pliquera néc:ssairement une re-
connaissance de fait.
Les deux Allemagnes
La conférence de Berlin n'au-|
ra donc pas fait avancer le règle-
ment des d:ux problèmes euro-
péens les plus épineux: ceux de
l'Autfiche et de l'Allemagne, La
malheureuse petit: Autriche, pri-
vée de sa liberté depuis Hitler,
| demeure encore occupée par les
quatre puissances. Pourquoi tant |
lésiner sur une affaire de ce gen-
re? L'Autriche occupe-t<lle en
Europe une position si strategi-
que que p+rsonne ne veut en par-
tir? Il est difficile de l'admettre,
Quant à l'Allemagne, on n'est ar-|
rivé à aucune solution d'unifica-| Même des députés conserva-
tion. Durant les derniers jours | teurs admettent que la plupart
de la conférence de Berlin, on a! des membres du gouvernement
organisé des démonstrations po-| actuel pourraient gagner davan-
pulaires dans les deux Allema-|tage s'ils occupaient quelques
gnes. Dans l'Allemagne de|Postis analogues dans l'adminis
| l'Ouest, elles étaient destinées à | tration de leurs propres affaires
| protester contre lé refus de Molo-| ou celles de sociétés privées.
| tov de permettre la tenue d'élec-| Toutefois, l'opposition offi
tions libres; dans l'Allemagne de | Cielle aurait voulu que ce rajus-
|l'Est, les manifestants ont pro- | tement nécessaire: dans le traite-
testé contre les propositions de | ment des ministres ait éte précé-
la France, d2 l'Angleterre et des | d'une enquête faite soit par
| Etats-Unis. Il y a eu des bagarres, | Un Comité parlementaire ou soit
| Le tout finira par entrer dans|Päar ue commission royale
l'ordre, Mais il se peut que les | tituée spécialiment à cette fin,
| positions du chancelier Konrad Le salaire actuel des ministres
| Adenauer soi:nt plus solides que | a ête fixe en 1920. C'est là pré-
celles du gouvernement de l'Est, | Cisémcnt l'argument le plus fort
Correspondant spécial de
OTTAWA — L'augmentation
des traitements aux ministres du
| gouvernement n'a en somme pro-
| voqué que très peu d'opposition
aux Communes. Tous ou à peu
pres tous les députés/ont reconnu
| que 1: salaire de ceux qui sont
|
appeles à diriger le pays doit au
moins étre semblable aux rétri
reçoivent les admi-
de sociétes impor-
butions qu
| nistrateurs
tantes,
| et correspondent mieux aux aspi- | favorisant une augmentation. 1]
| rations profondes dy peuple al-|Y a peu de Canadiens qui s2 con-
| lemand. Il «st tout probable que | tentent aujour'hui d'un salaire
! dont le maximum a été fixé il y
à 34 ans.
Salaires comparables
Comparé aux salaires d'admi-
l'Allemagne de l'Est, qui com-
| prend la Prusse mijitariste, au-
toritaire et traditionnaliste, fini-
[ra par faire de sérieux <fforts
pour secouer l2 joug soviétique. nistrateurs de compagnie, le trai-
| Je crains le jour où l'Allemagne |tem:nt des ministres demeure
{se retournera contre les Russes. encore inférieur à ceux de la
| Ce sera terrible,
| Georges Bidault et
l'Allemagne
D'après un reportage d'un cor-
| respondant du Figaro de Paris
(3 février), M. Georges Bidault,
ministre des Affaires étrangères
de France, serait, à l'h:ure ac-
tuclle, l'homme le plus populai-
re en Allemagne. Voici quelques,
| propos recueillis par le journa-|
| jist > français, propos tenus par;
l'homme de la rue: coiffeur, pa-|
tron, etc.: ‘Cet homme:-là est un! inféricur à celui de M. Gordon,
bon politicien, disait un Alle-| président du Canadien National,
d— | qui reçoit un traitement de 850,
000 par année,
L'augmentation des traite-
ments des ministres est de $5,000
par année, Ce rajustement por-
tera à 837,000 par année le sa
| Jaire du premizr ministre du Ca-
Quant à ses collègues du
plupart d'entre ceux. Le rajuste-
ment qu'on y apporte corrige
[une anomalie sans la fair: dis-
paraitre totalement. Le salaire
du premier ministre du Canada,
par exemple, restera encor: en
viron cinq fois moins élevée que
celui que reçoit le president des
Etats-Unis,
Malgré le présent rajust:ment
dans les salaires des membres
du gouvernement, celui du pre-
mier ministre demeurcsra encore
l
|
Un beau geste
d'un Persan mazdéiste
Un beau geste de générosité
vient d'être accompli par un
riche Persan de religion mazdeis-
te, en faveur des Missions catho-|
nada.
A la Chambre
des Communes
‘La Liberté et le Patriote’
par Denys PARE
PAGE TROIS
ference so IM. Molotc t Bt
dault. M. Molotov a { vussi
à faire admettre, en fait sinon
d'une faço fficiel a Chine
communiste à conference in-
ternationale, t Genéve
st a € por-
Au pe a ; eq
ec $ Cni
» po ll ar sa
IX I ss ce,
jans s ff s lu &
Quand on sait l'e lie d fus
que les Etats-Unis « ir
adoptée à l'égard de pre
entation d 1iC ram s
te aux coniere s a puissan
ces, of peut te a
cor ss t nsen
Q M. Bi-
1} li de se
»J C f de Ber-
lin, parce q à Conférence de
Gene convoquée p 26
avril, étudiera probien de
la paix en Asie, et tout partier
liérement celui d à paix en Co
rée et en Indox Î
voilà la plaie béante par
coule 1: meilleur sang
Déjà, d'ailleurs, Paris
ré un el
s à £
S K
m t à l 1 vo
ter S1.( { à l'Ind afir
d'appuye plus l
armes françaises, et d voyetr
là-bas ur | de puis
Ê diet du vpt
B-26, et quelque 250 technicien
de l'aviation, D'a s appareils
suivront
tard, 1:8 Etats-Unis
entraines à
Tôt ou
vaient etre partici-
per à la guerre indochir
puisque la Chine
la Russie y partic
soutenant les force
101sC,
communiste et
ipent dejà, en
s du Viet
na
La hausse des salaires des membres du Parlement
semble justifiable,
comité ou une commission roya-
le,
Pour plusieurs ministres, le
fait d'avoir acctpté de diriger
un ministère signifie des
crifices d'argent, On songe en-
tre autr:s à M. C, D. Howe,
dont les revenus avant de deve-
nir ministre étaient de beaucoup
supéri:urs salaire actuel,
Le cas s'applique aussi pour le
ministre dés Finances. C'est vrai
que M. Abbott dirige le ministé-
re le plus important du goyver-
sa-
à son
nement, mais il ne fait aucun
| doute que M, Abbott aurait dou-
blé son s:laire en acceptant Ja
| présidenc
ins-
de quelque compa
gnie de finance, On sait qu'il a
déjà refusé pareille offre.
Quant au premi:r ministre lui.
même, tout le monde sait qu'il
a accepté d'entrer dans le gou-
vernement de M. King pour fai-
re ‘‘son effort de guerre’, com-
me il a souvent dit luiméême,
Ble et traitements
Avant que loi relative
l'augmentation des traitem:nts
des ministres ne soit adop dé-
finitivement aux Communes, 1<
ia à
tee
premier ministre intérimaire a
rappelé l:s paroles de l'ancien
chef conservateur, M. R. B. Ben-
nett, Il s'agissait d'une citation
d'un discours prononcé en 1931,
alors que le blé se vendait 20
cents le boisseau. M. Howe a te.
nu à signaler ce fait car plusieurs
députés voulaient faire la com-
paraison avec le salaire du Ca
nadien moyen avec celui de ceux
qui administrent le pays.
M. Bennett a alors declare
dans son discours: “Mais il est
injuste de demander à dts hom-
mes de quittir foyers et
leurs professions, bien des
cas d'abandonner spéran-
ces d'avenir, pour venir £
leurs
dans
leurs
‘établir
à Ottawa, y garder le rang que
leurs post:s leur imposent, puis
se trouver ruinés irrémédiable-
ment à l'expiration de leur ter:
me d'office, C'est déjà arrive
| dans cette ville, Au cours des
d'rnières années, l'un des prin
cipaux ministres de 14 couronne
s'est trouvé dans cette situation
et sa succession ne l'a que trop
| prouvé aprés sa mort,
Quelle ffanchise!
Les paroles de l'anci n chef
conservateur datent de plus de 30
ans. Déjà, à cette époque, on réa-
lisait que l'écart entre le salal-
liques: M. Abdullah Manavi a|Cabinet, ils recevront dorena-
fait don à l'Internonciature de! vant (après l'assentiment royal!
| Perse de 10,000 mètres carrés de | du bill) $27,000 par année.
Honneur et sacrifices
La plupart des ministres
terrain dans un faubourg Nord
de Téhéran, pour y construir
ac- |
un hôpital catholique de 150 lits tuels gagn-raient probablement
qu'il entend également subven-; davantage s'ils étaient dans la
|tionner. Le même bienfaiteur a | vie privée, s'occupant de leurs
donné aux Soeurs armenjennes | propres bureaux ou de leurs in-
| d> l'Immaculée Conception 5,000 | dustries. Même ceux qui s'oppo- |
à Te-
a
sent à l'augmentation des traite-
ments sont les premiers à recon-
naître cela.
pose à la majoration des traite-
ments d:s ministres, parce que
dans ce cas comme dans celui de
la hausse des indemnites parlc-
mentaires, l'opposition aurait
préféré que l'augmentation soit
metres carrés, également
héran, et y a fait construire,
ses frais, une grande école mo-
| derne, auprès de laquelle on]
| construirs également une église.
M. Abdullah Manavi a voulu
| ainsi exprimer son admiration |
pour les oeuvres de charité et
d'enseignement des Missions ca-
| tholiques en P:rse,
Seulement on s'op-|
précédée d'une enquéte par un)
re.des ministres était trop grand
par comparaison avec le traite-
ment payé aux administrateurs
de compagnies, bien que la res-
ponsabilite
core plus
plusieurs trouvent
faille aujourd'hui, ss
l'opposition officielle, ins
une enquête sur cette question,
Tous ceux qui envisagent la
question sans parti pris recon-
naissent qu'il est temps qu'on ra-
juste le traitement des ministres.
M. Gillis, député cécefist re-
connaît ce fait. 11 a été le seul
député de son parti à voter pour
la mesure.
des premiers
considerab]}
étonnant
1
10n :
ituer
PAGE QUATR E_
Une cérémonie touchante et réconfortante
à la Maison Chapelle, le 18 février dernier
ST-BONIFACE Palpi-
tante circonstance que celle
que voyaient se dérouler dans |
l'humble chapelle des Soeurs
Missionnaires Oblates, le 18
février au matin, ceux qui eu-
rent le bonheur d'étre pre-
sents à un moment bien s0-
lennel de la vie de quelques
jeunes filles généreuses. Tout |
portait à la joie, maigre sacri-
fire volontaire qui allait s'ope-
rer L'autel débordait de roses
et de tuli pes rouges symboles
de l'immolatio
Voir des jeun-+ filles de ngt
ans, ayant de vant elles, dans Île
monde. si elles y étaient demeu-
rées, un avenir prospere et mé-
me prometteur :bandonner
soudainement et totalement pour
devenir religieusts-missionnai-
res, à de quoi faire réfléchir
Pour ces attirantes jeunes filles
passer d'abord deux ans dans un
noviciat à l'apprentissage de leur
formation religieuse et à r a-
daptation aux 1 ail
de la vie cor c
début, a de th
siasmer, nous ‘. qi
nous étions consacrés à Dieu
beaucoup d'années avant la nais
sance de ces admirables jeunes
filles
Mgr l'archevéque coadjuteur
La présence si sympathique de
notre bien-aimé archevêque co-
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les coeurs une réalite de fête, et
toutes les religieuses comme tous
les parents ont ressenti agréable.
ment cette délicatesse de celui
qui se fait, depuis son arrivee
parmi nous tout à tous
Mar l'archevêque coadjuteur,
présidait avec tant de digni-
té cette cérémonie et je pourrais
ajouter avec trés grande convic-
tion dans l'examen des postulan-
tes comme aux 1.ouvelles profes-
ses, fit preuve également d'une
touchante pate rnité dans les mo-
itions qu'il adressa aux heureu-
es élues. La voix grave de Son
Excellence, unie aux reponses
des chères immolées, se répan-
dant sur toute l'assemblée, avait
de quoi mettre l'auditoire au dia-
pason de l'auguste céremonie.
S. Exc. Mgr M. Baudoux, dans
une instructi on appropriée et
caphivante à la portee de tous les
assistants, nous dit que Dieu est
Amour, Dieu s'aime Lui4mème
et par la grâce, nous devons ar-
river à ux posséder l'amour
de Dieu. Cet amour de Dieu, nous
le possédons par la grâce sanc-
tifiante et celui qui a perdu cet-
te grâce sanctifiante par le pe-
ché n'est pas l'ami de Dieu et
aussi longtemps qu'il reste dans
cet état, il est ennemi de l'Amour
par essence qui est Dieu
La sainteté pour tous
Tous nous sommes appelés À
la sainteté . et on peut dire
qu'il y a trois modes de sancti-
fication. Dans le Sermon sur la
Montagne, Nctre-Seigneur l'a dit
et répété: ‘’Soyez parfaits com-
me votre Père céleste est par-
fait”, et ceux qui marchent dans
cette première voie peuvent être
parfaits à condition de bien vi-
vre leur vie chrétienne. Notre-
Seigneur désire aussi une union
plus intime avec d'autres âmes
L'exemple donne, c'est l'appel du
mi
jeune riche que les sacrifices de-
mandés n'ont pas intéressé et}
qui a refusé l'appel du Maître. |
C'est la voie des Conseils évangé-
liques. Pour appartenir parfaite-
ment à Dieu dans ce saint état,
il faut se détacher de ces mille
riens qui nous attachent à cette
terre de péché. D'abord, c'est la
t de quoi jeter dans | chasteté, doit abandoner les joies
légitimes du mariage pour s'at-
tacher à Dieu, son divin Epoux,
et, en troisième lieu. ce qui est
le voeu le plus pénible à faire,
c'est bien le voeu d'obéissance
qui consiste à abandonner sa pro-
pre volonté aux mains ou aux dé-
cisions de ses supérieurs. Enfin,
un autre moyen de sanctifica-
tion, pas à la portée de tous, c'est
bien A p
les heureux élus participants au
ministère du Christ En termi-
nant, Son Excellence a encoura-
ge les nouvelles professes et les
nouvelles novices à se preparer
à recevoir de nombreuses grâces
durant leur vie religieuse.
De nombreux parents assis-
taient émus à cette touchante ce-
rémonie, les larmes dans les
yeux, c'est vrai, mais la joie
plein le coeur, heureux qu'ils
etaient tous ces admirables pa-
rents de pouvoir donner au bon
Dieu de telles enfants si riche-
ment généreuses. La T. R. Mère
Générale reçut les voeux des jeu-
nes professes et veilla modeste-
à l'exécution parfaite des
différentes cerémonies en dehors
du sanctuaire
Nouvelles novices
Ont revétu le saint habit: Miles
Rachel Trudeau, de Montréal, di-
te Soeur M.-Georges-Etienne;
Marguerite Hamel, de Lorette,
dite Soeur Marie-de-Fatims; A-
gnés Teevens, de St-Vital, dite
Soeur Ros:-Marie: Madeleine Ro-
bidoux, de St-Pierre, dite Soeur
M.-Ste-Madeleine; Laurenza La-
frenière, de St-Boniface, dite
Soeur M.-Ste-Suzanne; Alice Tru-
deau, de St-Pierre, dite Soeur
M.-Joseph-Sarto; Yvonne Fré-
chette, de St-Pierre, dite Soeur
M.Ste-Françoise,
Professes
Ont prononcé leurs voeux pour
3 ans: Soeur M.-Henri-Bernard
(Claudia Lampron, de Montreal);
Soeur M.Ste-lrène (Irène Palud,
de St-Boniface).
Son Excellence
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| deau, O.M.I., de Le Pas, Man, on-
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taire de l'archevêcheé.
Membres du clergé présents
Etaient aussi présents au
choeur: Mgr J.-C. St-Amant,
P.D.; Mgr J.-A. Beaudry,
le R. P, Ovide Guy, O.M.I. au-
mônier de la Communaute; le
R. P.
secre-
rétrise, parce qu ‘il rend |
Î
tre et a
| se,
es. €
Michel Behr, S.M., prédi- |
| cateur de la retraite: le R. P, A.
Île R. P. Charles Ruest,
| comité,
| des paroissiens,
| core plus
Joyal, O.M.I.,
niorat de la Ste-Famille;
bé Lucien Senez, curé de Loret-
te, M. l'abbé J.-M. Gagné, curé
de St-Claude; M. l'abbe Charles
Vachon, curé de Ste-Amélie; M
l'abbé P.-E., Champagne, curé
d'Elk Point, Alta: M.
l'abbé J.-|
supérieur du Ju-|
M. l’ab- |
J. Desjardins, curé de McCreary:; |
O.M.,
prop de l'Ecole indienne de
|
|
Fort Alexandre; le R. P. Adrien
Hamel, P.B., de St Boniface; M.
l'abbé Pierre Gagné, curé de
Craig Siding; M.
Fréchette, seminariste, frère d'u- |
ne nouvelle novice.
(Communiqué)
L
St-Emile
samedi 27
thé avec vente d'ob-
couture, etc.) à la
559, Chemin Ste-
5 h. de J'après-
Le thé est organisé par les da-
mes de Ste-Anne au profit de
leurs oeuvres, Le pubiic est lar-
gement invite a venir encourager
cette association si méritante.
Demain, février, il
aura un
jets (biscuits,
salle St-Emile,
Anne, de 2 h. à
midi
Précieux-Sang
Partie ue cartes
C'est plaisant de voir les gens
s'empresser de venir à nos par-
|
l'abbé Albert |
| de | Afrique et nous avons vu l'in-
| conditions si étranges à notre mo- |
{ sauront
[re
ties de cartes. Mais ce qui est en- |
édifiant, c'est le dé-
vouement finlassable du vaillant
pour
| succes de plus en plus remarqua-
}
le
La partie de cartes du
vrier dernier témoignait
16 fé-
ce mé-
ainsi que l'empressement |
en faire un|
me enthousiasme, C'est Mme Eu- |
gène Drouin qui en était l'orga-
nisatrice, assistée de Mmes A.
Bilodeau, G. Arpin, A. Gendreau,
L. Mousseau, C,. Préfontaine, L.
Gauthier, C. Johnson, E. George,
D. MeNair, E. Poirier, G. Ivory,
L. Ferland, J.-M. Gagnon, J. Pel-
letier et A. Laurier. Toutes ces
dames firent des dons de prix,
ainsi que Winnipeg Supply &
Fue!, Herba's Paint & Specialty
et le théâtre Plaza.
Les gagnants des prix de 5
mains furent Mmes E. Picard,
L, George et C. Blanchette, MM
J. de Montigny et O. Pelletier.
Les prix des cartes de ia soirée
allèrent à MM. J. de Montigny
et T. Fox, alors que le prix d'en-
trée alla à M. H. Prud’homme
Voici les gagnants des prix de
rafle: Mmes A. Léger, E. Ayot-
E. George, A. Collette, R. Bru-
ni J Bourdon, À Sylvestre, T.
O'Brien, G. Boux et G. Ivory,
Mlles E. Morier, J. Paradis,
Marchessault et O. Desautels, MM.
R. Bilodeau, KR, Saunders, W.
Brenzen et À. Carrière. Le tirage
spécial fut gagné par
Montigny et L. Laurin et
s À O'Brien,
le:
M. Heinz Fronk
au Club Richelieu
“Environ 35,000 personnes d'o-
rigine juive ont émigre au Cana-
da depuis la fin de la guerre.
Voilà ce qu'a déclaré le directeur
du Conseil juif canadien dans
une causerie prononcée le jeudi
18 février, au souper hebdoma-
daire du Club Richelieu
La plupart de ces émigrants”,
ajouta M. Frank, venaient re-
joindre des parents ou des amis
déjà établis au Canada. Par ail-
leurs, un certaïn nombre d'entre
eux n'ont pu érligrer qu'avec
l'aide de la Societe d'Assistance
aux Immigrants Juifs (JIAS)."
Les membres du Club Riche-
lieu ont beaucoup apprécie le
conférencier qui sexprimait en
| un excellent français
M. |
MM. J. de!
Mme !
|chand et eut le plaisir d'applau- |
_LA LIBERTE ET
Ce portrait du Christ le repre-|
sentant tel qu'il dut apparaître au
moment de sa mort sur la croix, |
est l'une des trois oeuvres du!
sculpteur Giuseppe Enrie exécu- |
tées d'aprés les photos qu'il a!
prises du saint suaire CL Turin. |
CWC! |!
|
l
|
Retraites fermées
26-28
ville.
février: Hommes de la |
2-5 mars: Hommes de St-Clau-
de, Fannystelle, Haywood, Tre-
herne et St-Laurent. Prédicateur:
R. P. 1. Desautels, O.M.I
5-7: Chevaliers de Colomb (con-
seil de Norwood) anglais.
9-12: Hommes de St-Jean-Bap-
tiste, Letellier, St-Joseph, Ste-
Elisabeth et Morris.
12-15: Institutrices. Prédicateur:
R. P. P. Piché, O.M.I.,
16-19: Hommes de Ste-Anne,
Lorette, La Broquerie, Thibault-
ville et Ste-Geneviève
“Er
Le carême, qui est à nos por-
tes, appelle lés chrétiens à la pé- |
nitence et à la sanctification. Pas
de meilleur temps pour faire une
retraite fermée: moyen de sanc-
tification très efficace.
Nous espérons qu'un
nombre sauront l'utiliser
te saison si propice.
grand
en cet-
La réforme intérieure, toujours
utile, sinon nécessaire, demande |
du recueillement, une atmosphè-
re de solitude favorable à la priè-
la réflexion,
Ce besoin ou ce souci de sanc- |
tification est le meilleur indica-
teur de la ferveur d'une parois- |
son thermomètre spirituel,
Chevaliers
de Colomb
Conseil Goulet
Nous devons remercier le R.|
P. R. Audette,
ressante causerie, accompagnée |
d'illustrations cinématographi-
ques, donnée lors de notre der-|
nièere réunion. Nous avions pro-|
mis aux membres une surprise |
| et nous avons été fidèles à notre
promesse. |
Nous avons visité avec le R. P.
Conférencier les diverses missions
digène à sa façon primitive, Il
nous a fait plaisir de reconnaître
sur une des photographies le R.
P. Jean Tétrault, natif de La Bro-
querie, Ceci nous rapprochait da- |
vantage de ces vaillants Semeurs
de la parole de l'Evangile dans
un pays lointain et dans des
s1
de de vie. Nous espérons qu'ils
encore nous faire jouir!
de si-précieux moments, car il
se pourrait que cette semence
prenne aussi racine chez certains
des nôtres.
Li
On nous rapporte que le frèe-|
Mathias fit l'acquisitio®æ d'une
fille et le frère Omer, d'un gar-
çon, À ces deux heureux papas,
nos plus sincères félicitations. En
attendant, on veut avertir les
membres que le ‘stock’ de tas-
ses est illimité.
\ *
Ça prend plus qu'un morceau
de plâtre pour assommer le frè-|
re Dupas. Il se laisse égratigner
la figure mais pas plus. Cepen-
dant, à tous ceux qui doutent que
ce soit du plâtre, prière de s'en-|°©
quérir plus amplement ...
LA L
oublié la retraite]
vendredi 26 fé-
Avons-nous
fermée ce soir,
vrier? Allons, frères Chevaliers,
que personne ne manque à l'ap-
pel!
RIGOLETTO
Petites Notes
Mme Sauveur Ferland, de Dry-
den, Ont. était en visite chez sa
mère, Mme B. Poirier, de la rue
Langevin, ainsi que gp sa soeur,
Mme A. Dunlop, de la rue Berry.
Li L2 LA
Naissance
M. et Mme Gérard Boulet sont
heureux de faire part à leurs pa-
rents et amis de la naissance
d'un fils, Albert-Gérard-Joseph, à
l'hôpital St-Boniface, le 19 fé-
vrier.
L2 L2 L2
Mme Louis Fortin, de St-Da-
vid, Lévis, P.Q. qui s'est rendue |
jusqu'a Jasper, fut l'invitée de M.
et Mme Jean Valmont, de Mme|
G. Marchand et de Mlie KR. Mar-
dir le Cercle Molière dans la pié-
ce “La ligne de chance”. Elle
était aussi l'invitée de Milles Léo-
nie et Monique Guyot. En route
pour Québec, elle passera par St-
Paul, Minn, Chicago, Sarnia,
Ont. Niagara Falls, “Toronto et
Montréal
.
Remerciements
La famille Savoie désire re-
mercier tous ceux qui lui ont
temoigne de la sympathie soit
par visites, prières, fleurs ou as-
sistance aux funérailles de Mme
F. Savoie.
L
Mme Victor Dease et sa fa-
mille tiennent à remercier tous
ceux qui leur ont témoigné de la
sympathie, soit par offrandes de
bouquets, messes, visites, soit par
assistance aux funérailles de leur
epoux et pere,
| collège,
| que
LE PATRIOTE
Avis aux contribuables
* de St-Boniface
Le departement de l'évalua-
tion sera ouvert au public
mardi et mercredi soir, 2 et 3
mars, de 7 h:à 9 h. Toutes les
personnes qui désirent se ren-
seigner sur l'évaluation .
leurs propriétés n'auront
se présenter à lHôtel de ville
l'un ou l'autre de ces deux
soirs.
_ Chevaliers
de Colomb
Conseil St-Boniface
La chronique subséquente nous
retrouvera tous profondément en-
räcinés dans nos bonnes et inti-
mes résolutions de Carême. Tenez |
bon! la récompense bien méritée
du repentant sera un jour votre
| partage.
Déjeuner-communion
Le dimanche 14 de ce mois,
groupe imposant de nos membres,
ainsi que plusieurs des conseils |
avoisinants, se groupaient pour
assister à la sainte messe et rece-
| voir la sainte Eucharistie, Le tout !
fut clôturé par un succulent dé- |
jeuner suivi d'une conférence des !
plus goütée de tous. L'heure pour !
| nous n'offrait aucun inconvénient
| mais ceux qui désiraient goûter
davantage aux délices d'un som- |
meil bien mérité seraient sages
de nous en avertir, Du choc des
idées émanera peut-être une solu-
tion convenable à tous.
Conférence
Si, au dire du R. P. F. Beau-
lieu, O.M.I, la conférence dont
il nous gratifiait lors de notre
dernière assemblée n'est qu'un
très bref aperçu de celle qu'il
|se propose de nous donner dans|
un avenir rapproché, il nous se-|
rait certes profitable de ne la
pas manguer.,
Partie de cartes
Les démarches pour notre par-
tie de cartes annuelle du 17 mars
prochain, laquelle aura lieu au
vont bon train, Appor-
tons-y tous notre quote-part d'ef-
forts,
Mardi Gras à l'Union
Nationale Française
C'est mardi prochain, le 2 mars,
l'Union Nationale Françai-
se donnera sa dernière soiré
récréative de la saison hivertie.
En effet, la reunion du mois de |
mars a été remplacée par une
soirée récréative pour marquer
| le jour du Mardi Gras.
Le comité des fêtes de l'Union |
| que cette soirée obtienne un suc-
cès sans précédent. Cette soirée
se tiendra dans la grande salle |
du Club des Canadiens de Nais-|
sance, sur l'avenue Provencher.
Des prix seront distribués pour
les meilleurs déguisements, et |
nous sommes persuadés que tout
le monde s’en donnera à coeur
carnaval,
On nous a garanti une musi-|
que qui saura plaire à tous les
| goûts par sa variété,
Il est inutile de rappeler que
| tout le monde est bienvenu et |
que l'on compte sur une assis-
tance très nombreuse, Un appel
tout spécial s'adresse aux mem-
bres pour qu'ils amènent nom-
bre de leurs amis.
N'oubliez pas mardi soir pro-
chain, le 2 mars; et v
Club des Canadiens de Naissan-
ce où dans le beau décor de cet-|
{te grande salle vous serez sûrs]
d2: passer une soirée des plus a-
gréable, toute remplie de la bon-
ne humeur française qui se don-
nera libre cours en ce jour de
| Mardi Gras.
On pourra se procurer des ra-
fraichissements au bar.
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nez au
Winm peg,
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“Monsieur Leguignon, lampiste”
| Le jeudi 4 mars, on présentera
au théâtre Paris une très jolie
| comédie sentimentale intitulée:
|‘Monsieur Leguignon, lampiste”,
Le film est d'après des sketches
radiophoniques de Pierre Ferrari
elet Robeït Pick. C’est un film gai,
spirituel, dans la tradition de la
comédie française, et rendu avec
| brio par une troupe d'excellents
acteurs,
| Expulsés par
plan d'urbanisme,
Leguignon,
P.B., pour l'inté-|a fait tout en son pouvoir pour | lampiste à la S.N.C.F., et sa fem-
me viennent habiter la masure
| où on les a relogés. Leur arrivée
est mal accueillie par les gosses
du quartier qui avaient fait de
| la bicoque leur repaire, Ils y a-
| vaient caché un trésor que Legui-
| gnon découvre. Tout le quartier
| revendique le magot, Leguignon
parvient à persuader ses voisins,
{joie dans cette atmosphère de | aussi mal logés que lui, à inves-
|tir le trésor dans la construction
| d'un bel immeuble. Mais il s'a-
| dresse à des fripouilles qui subti-
| lisent ses fonds le plus légale-
[ment du monde, Leguignon est
trainé en justice pour escroquerie.
| Un brave garçon qu'il a aidé fait
| éclater son innocence. Et de par-
tout les dons affluent en faveur
de la cité Leguignon.
Le ‘‘lampiste'
L'expression ‘“Lampiste”, quil
désigne le ‘pauvre type” honné:- |
te, sans fortune, victime éternelle
de la fatalité, de l'acharnement |
du mauvais sort, de l'hypocrisie,
| de l’égoïisme, voire de la cupidité
| des classes aisées, devait bien un
{jour apparaitre au cinéma avec
celui qu'elle désigne, C'est au-
jourd'hui chose faite. ‘Monsieur |
| Leguignon, lampiste” fait désor-
La semaine guide
La semaine guide. qu'est-ce |
comme une autre? Ch! non.
elle est bien plus importante que
toute autre puisque les Guides,
les Jeannettes, les Scouts et les
| Louveteaux, qui sont au nombre|
d'environ 2 millions dans le mon-
| de entier, vénèrent Baden Powell,
|le fondateur du guidisme et du
scoutisme.
Durant cette semaine de com- |
mani- |
une fran- |
| chise, une obéissance sans pareils. |
et |
|
mémoration, tous doivent
fester un dévouement,
Le ferons-nous? Espérons-le,
essayons
Guide C. LEVASSEUR
Le Guidisme
Dés que je connus les Guides, |
je remarquai leur gaieté, leur
franchise, leur entrain à l’'ouvra-
ge et leur empressement à rendre
service.
Maintenant que je suis
d'elles, c'est toujours avec un plai-
sir
prenons notre repas du soir, Pour |
commencer nous faisons la prié-|
re, l'inspection et les annonces.
Ensuite vient
lequel on s'amuse franchement. |
On se taquine, on se fâche même
un peu (car les Guides ne sont
pas parfaites) mais tout est vite |
oublié.
Vous me demanderez peut-être |
Eh
uoi le Guidisme?"
e Guidisme a pour but de
“Pour
bien,
l'une |
nouveau que je me rends à!
|mes réunions du jeudi, où nous|
le souper durant|
former des jeunes filles coura-
en même temps gaies, polies,
: | franches, pures, loyales et géné-
| reuses.
j ‘Mais les Guides ne sont pas
meilleures que les autres”, m'ob-
jecterez-vous. Sans doute et per-
|sonne ne vous contredit; mais
| les Guides essayent de tendre à
la perfection, c'est leur idéal!
Toutes celles qui veulent entrer
dans cette organisation sont les!
bienvenues.
Mme D, E. S. Wishart
Savez-vous qui est la cinquié- |
me commissaire en chef des Gui-
des du Canada? C'est Mme D. E.
|S. Wishart.
Elle a déja été commissaire de |
district,
| tario
Outre des décorations guides
canadiennes, elle a reçu le “Pois-
son d'argent” qui est la plus hau-
te décoration guide dans le Com-
monwealth. Sa mêre, Mme Hod-
|gins, avait été commissaire ré-
gionale de Toronto. Sa fille a la |
“Cordilière d'or”,
Mme Wishart est chef de 97,-
{000 Guides canadiennes, En plus
| de tout ce qu'elle a fait pour les
| Guides, elle les a péprésentées aux
conférences mondiales de Co-
loperstown, aux Etats-Unis, et
d'Oxford, en Angleterre,
Guide J. PARISEAU
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Est-ce que
reci pourrait
vous arriver?
Quel a été
leur passé?
{Venez entendre
leurs eveux)
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FASE PARKING Ya BLOCA SOUTH
ANT T IE 7h.05-9h.15
la réalisation d'un|
commissaire régionale et
commissaire provinciale de l'On- |
___APresrour ay théâtre Paris le 4 mars
mais partie de cette galerie de |
personnages célèbres dont s'ho-|
nore le Cinéma français.
Réussite totale
Avec ‘Monsieur
lamipiste”, les producteurs n'ont
pas eu la prétention de boulever-
ser la conception du film comi-
que français, Mais ils ont plus
simplement fait cas des goûts
particuliers du public, et ils ont
ainsi conçu une production saine,
pétillante, d'un esprit typiquement
français, sans oublier que le rire
ne naît pas seulement de la répar-
tie ou du jeu des interprètes, mais
aussi du gag visuel, ce qui impli-
quait donc une grande mise en
scène, Voilà pourquoi ce film
constitue, à tous points de vue,
une réussite totale.
Le sympathique Yves Deniaud,
qui interprète le rôle de “Mon-
sieur Leguignon” et qui, à sa
verve comique étincelante et son
jeu facétieux, joint une sensibi-
lité qui touchera les plus endur-
cis des spectateurs, Le populaire
artiste matérialise, en quelque
sorte, le personnage légendaire
du ‘“lampiste”. Tous les autres
interprètes sont étennants de vé-
rité.
Candidats au poste de
commissaires d'école
Une assemblée importante a-
vait lieu le mardi soir 23 février
à St-Boniface. A cette occasion,
les électeurs du district scolaire |
ont appuyé les candidatures de |
MM. Brunelle Léveillé et Alfred |
Monnin comme commissaires d'é- |
| coles, MM. Monnin et Léveillé se
| présentent en remplacement de|
J.-A. Marion, décédé, et de M.
| Omer Pelletier, démissionnaire,
| Pas même un début
|que cela signifie? Une semaine | geuses, persévérantes, qui soient | de règlement, déclare
‘1 M. Georges Bidault
| PARIS
Berlin n'a pas de permis d'obtenir |
le début d'un reglement des pro-
blèmes issus de ja guerre en Eu- |
rope”, a déclaré M. Georges Bi-
| dault, ministre des Affaires étran- |
gères, en arrivant à la gare du
Nord, à Paris, samedi dernier.
“Nous avons cherché sur quel
terrain il serait possivle de fai-|
[re des progrès, a-t-il poursuivi. |
ui concerne l’Allema- |
gne, ni ‘égard de la sécurité,
nos propositions n'ont été rete-
nues, Celles qu'on nous a faites
| étaient toujours aussi inaccepta-
bles.
{Ni en et
Leguignon, |
“La conférence de!
étage des modes, À la Baie,
Bureau de teléphone
ouvert pour com-
mandes de 9 h. a.m.
à 5 h. 30 p.m.
Invitation aux
maîtresses de maison
Les dames auxiliaires du
collège de St-Boniface donne-
ront une démonstration d'art
culinaire en l'auditorium du
{| collège, le lundi ler mars, à
2 h. de l'après-midi, Toutes
les dames intéressées sont cor-
dialement invitées à y assis-
ter.
3ème partie de cartes
des parents des Scouts
de St-Boniface
Lors. de la 3ème partie de car-
tes de la série organisée par des
parents des Scouts de St-Bonifa-
ce, les prix échouèrent comme
suit: prix des cartes, Mmes B.
Cartier, J.-A. Grégoire et G, A-
vanthay, M. T, O, Brophey, Mme
J. DeCruyenaere, MM. H. Le
{clair, Lucien Maynard, H. Dubé
et Raymond Pelletier: prix d'’en-
trée, M. Robert Pelletier: prix du
“pool”, M. Robert Pelletier.
La rafie spéciale favorisa Mme
J.-J, Tétreault et M. T. O. Bro-
phey et d'autres prix furent ga-
gnés par Mile C, Huot, Mme R
Long (2), Mile Lorraine Fontaine,
[Mme H, Lévêque, Mlle J. Pell
tier, M. J. Dondo (2), Mmes D
| Beaudet, A. Dubé, F, Si-Germain,
E. Gendron, J.-A. Grégoire, E
Proulx, M. Pujo et H. Fontaine,
M. L. Dion, Mme A. Bibeau, M,
| H. Dubé et Mme M.-A, Rousseau.
C'est je ler mars qu'aura lieu
la prochaine partie de cartes des
parents scouts, Bienvenue à tous,
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St-Boniface
Représentation cinématographique pour marquer la
Semaine Scoute et Guide
BOYS"
TOWN
Un film de renommée mondiale
La prenante histoire du Père Flanagan
et de ‘ses gars”
Spencer Tracy
Mickey
Rooney
Le dimanche 28 février
Salle du Cercle Ouvrier
2h.p.m.et 7h. p.m.
Saynètes —
S'adresser aux élèves des écoles.
Billets: 25c
Expositions
Winnipeg, le 26 février 1954
HADIO SAINT-BONIFACE |
Mon oncle et mon curé” présentée par‘: “<2"
LA DERFATÉE ET LEMPATRIOQITE PAGE CINQ
1250 Kiocycies
VENDREDI ” 1 100-Nos nations eu e Catholiques
ro (Juil
| : . Varvon ic Jutts) |
2 bi ve pis Du lundi où vendredi 115—Nos nations eu | fl Le 23 f | l'a
eu 0 1 inclusrement micro (Polonais | 4 ego «
Le tourb #5—Luverture &—Opérs . h ù des RR. SS. ( | Hospice
LR." 4 - 600 LS musique parms | Ur euvre de Jean de la Fri eme acte ’ « elui de Blanche de Pa: | es +9" qe
.:5-#'u4 us jte, : fée par n Der Da le 2ème acte, R e, q vol? Se t-ce qu'on Apt danse ; Dir D'OEUN
42%-L'te de rase «D-—Nos ns Let ta | lac : e ; 3 {
c- 3 mriero , est C à ut q a a i n£ ps € | [e i ire
A Nouveiles | e ; n i tant ph 4
+ = h+. (A v en =, 3eme acte SS à st-B
» . . - cure »mDie tv pie £ L niremis e
CES voiles 9 B pr | ce es l'esp co abi dé
l'heure exquise | &< 1 Social | | t “balle”. C est | 5 &
112? elles ME DS | une sorte de feu d': rtifice ES B |
SAMEDI Nos fut étoiles | traits spirituels mais : Mmpie- on €
t une suc n de sit atior |
06-18 parade des netée | DAS NOR. PAREN plots nc 1
chansnnetits | naturellement imiques ë ef \ dirig
y + mt —“ D 915-—Chron. de France ler acte Agrui
ht - 030 Variétés francaises | - acte iéroule : € 1 ( : {
) wo Nonsveiles 0 00 ve | 1 : \
1028 Potins familiers UD 7 eue | | Mine e La »
1045-Rendez-vous cher 1930-Potins tamilers 10 05—L ure exquise " tainé t w-!q [ ni
Eaton LUNDI | de : a
11.15--Fémina M *
} 120.4 711e des luntes
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. ” 84 Pe Blancs | I « Nou-} qu Pa ie ( d K D
Kent N rdeon ‘ t t! Bla 1 !
2300 " ’ : t d I
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» L jee à façor ag le : COL
1 4 elle pous- | projet s parents, quoil| fjéhouement at x D
l ë € NA t l: ] M 1 Reine et a tante Lenouement que voi des R
1 crtisi #4 bndnd ' ” - onnaître en assistant tri n ( L
; : vo stant ent ,i le Paul de { Qu'ad er rare ed ER à aide n )r 0 en t
Î » f* ë theatr Piayh
+ l j vante (Cécile Le! ira 1e ela? Ce « he SUIS U t t
1 " : Le cence mévreni ul { nt . lo mars, à ü NN )
s15-L'heure @ per ! pa t
Imma ce : - a aturi e | ‘ a € 1 a ” 1 tre and a à '
545--Les sports au + put" do 4 r + P
4 1.30 ran- n 1 jui t t la à o et el | ) 1
baines l ] it ] \ caille da méên ment entat ù
vue des arts tio « p N GS t } } Eux \
es lettres q 1 + so
de l'Etat € 1 I n n' ur o
5 30—Menu à tra- Au i ’ t ) I nna * ense à une heureu ! q
. Loos 545-Un homr t L À nir ) ! \ N . , "
vuve D” x sor péché . 10/0—Concert s;mpho- : mn : N pr EF i e à ve ù ” " ;
148.Lernet Social ces. nique de Montréa Le 4 mars, Mlle Louise Roy, qu: l'on voit ici, sera l'a'tiste N'e te ni g { liplom le | tard oit à l'Enseignement Po tives de {
1230—Le magazine des actualité MERCREDI invitée du Choeur Philharmonique de Winnipeg, lorsqu'il p''esen-! °° S4 e va co ter | Paul de Conprat F scolaire, 138, avenue Provench
PE à MeD * +1 RTL ado 1i tera la “Pastorale” de Bliss, à l'Auditorium. Elle y exécttera aussi J _fermie Fra Sa nat le P St-Boniface, tél.: 20-27 Û \
+ 7 “pts ur À “osspnane quelques solos en frança esse "M 1 est Nc
520-Musique de du s " : "
l'Ukraine 630— Variétés 1954 cient \ mois, notre distinguee compatriote a Mand € ] Yormand
( " r tt _ re yrique pi h de Fr Y La y Et hr 1 )
2-2 'Æ. me 645 CAM be | eu z chargé à remplir. En etfe 15 décembre gas q f ‘
1005-L'heure exquise 105—Carnet Social de , Mlle Roy donnait son dixième concert au | 4EUX langue 0 bouche a
11 00—Nouvelles 7.15-Studic dE Ph “ pi ke. Mgr Léo Blais, évéque de! Vant que & parie crainte ]
7.30-—Studio Age Pr » tour rt ] t AI M
DIMANCHE | 900—Nouvelles JEUDI Quét t de Jol :
855—Ouverture | 1905—L'heure exquise j Parade | x E Lao 06
900—Messe du Collège 1100—Nouvelles à Je les pr
9 55-Nouvelles ee em }— À ntre de j- p leurs concerts entre autres
1000—Concert du 1 39 vu Dr Wales'' de Charlottetown, I.P.-E., à l'Univer
dimanche | 1200—14 titutions }— 1 éma to N - 6 cor artiste invitée de 1
1030-Pour nos malades | poli 16 ar e >. 30—E tiste et # B., et comi os IDVIES Qe:3 nt
1130-—Jardins | anne de Ha fax, dans € », où elle se fit €
plantureux 12.15—Nouve j { 1 poste C BH rar
1145—Nos missions sur | 1220—Nouvell luca e de Prései:tement. elle ‘ to ei
nos ondes 1 1230—L'art dans la v hor ‘ . . L }
PR. rt SE En on dite Mrs te …——… | canadie cours € lle figura er ine e au
Hat, Ca , Dr Moose J Alber U
Entre-temps, elle tenait le rôle-titre de ndot'” de is , comme lit. :
|| cini, au CBC de Toronto; celui de soprano dramatique dans Par contre, Mme de Lavalle,
|| sée” de M:ndelssohn, sous la direction de Sir Ernest McMillan à | tante de Reine, ne partage guère :
|| “CBC Wednesday Night’; le rôle de Marie dans les ‘Mystères | Cet avis. Au contraire, elle trou- Ouvert le vendredi Angle Braemar
| Joyeux’ donné à Radio-Canada la veille de Noël dernier. Ellz don-| ve sa nièce effrontée, mal élevés H ‘à 9h
. a et k jusqu à . p.m. et Marion
q 1e1q ies concerts à Toronto et 1cs environs, et joua L 1rtout ne perd pa OCCasio
Chronique de CKSHB
1250 Kilocycles
= i AUSS
Conseil” de M:notte à la télevision. À deux reprises, elle apparut de la bous Soudair in vio
che ai 2£ ? 4 rie par tiln - ‘ : 2 PI $ le appaï 2 É uaain, un Vi
Dimanche one 28 à fe- | Ste-Ma le, parlera 1 111 tu | ement comme artiste invitée au Théâtre Lyrique Moison de |ient orag éclate, sauve qui
vrier, à l'émission art et la! qu'on present inéma du | Montre . Et +, Paul de Conprat =
)}, surpris pal
, vient cnercher I uge Lé
on. Oh! oh! la présence de | lb
Das TiqUMRU tait battre am on ume, me P dl de C
fait battre
sous la rubrique ‘La musique | médecine psychosomatique An: si pe fréau
parmi nous’, Jean Vallerand a Le vendredi 5 mars, “Ur r'e » + le petit coe 1l de Reine et |
intitulé sa causerie: “La musique | tjen devant t Pau 3h : es | es ê@ n | Foix 6e et pan bo pers he +
À: - à m3 tien devant , à everse également celui de la tan-
“ts tion 4 t te, cette veuve qui veut à tout
| es de Chavag s, 51.00
r L Le
vie”, à 12 h. 30 pmm,., Fernande | coin. À 8 h. 30, “Baptiste et Ma- ,- inimitable RER | "à
et Jean Simard parleront du cé-|rianne”. À 9 h. 30, “Connaissan Ë
lèbre peintre de l'école Floren-| ce de l’homme”, Le Dr Nos communautes religieuses
e: Léonard de Vinci. À 4 h.,! Cloutier nous entretiendre
et l'éducation”. Le soir, à 7 h.,| A 9 h. 30,
| prix se ren
à “L'univers des personnages ,|tre”, N'oubliez pas auss , UNS © é F
Guy Boulizon parlera de Sala-|i l'écoute tous les lundis soir à te les Ages alla, dar HN ADISINE Le S ml sen- fumées (wieners),
vin, de l'oeuvre du mème nom\8 h. 30 pour un épisode de Don! Cette pp dr ; DHEA ET Er paquet de cello
de Georges Duhamel, À nos fu-| Camillo ; 8 ess es Ursu es, ma 4 F d'une Ib
tures étoiles: Phyllis Mailling,| A l'opérs, dimanche prochain, | sabeth: elle se 1 on lu que son Filles d Isabelle du
contralto, et André ONE |‘“Manon’’. de Jules Massenet. Ce | auit Fm? ibbé Fc oeuvre het propri ñ
basse. “Sur toutes les scènes du | brogramme est commandité par | prit ces aspiratior AU SPvan r et se_dé- C | S -B f
monde", à 8 h., RadioCollège | Fe Floctrie. 71 POP ANSE veloppet : de Dieu erce t onitace @
présente: ‘Le maître de Santia- de 2 p jo D y Da et le pi âmes. LME aùs Hlidiéurs stat sl
go’, de Montherlant, | Samedi soir dernier, les émis-|Srêtre admira 1 l‘se sont écoulées sans qu’un comp- : @ la Ib
Le lundi 1er mars, à 11 h. 15 sions de CKSB ont été suspen-| y; lans cette illa donc |te rendu soit publié concernant f ’
am.: “Fémina”. Sous le titre gé-| dues de 8 h. 50 p.m. jusqu'à 9 h. | fille et résolut «
néral ‘Une femme avertie en!30 pm. C'est bien regrettable, | bon volonté a
vaut deux”, il sera question du mais l'annonceur en d'voir ny tir ( est inact À
Pets Départ
danger de signer sans réfléchir.|était pour rien, l'operateu tion au proietait na AU TT emiet o rononcèrent
A 3h. 30 p.m., sous la rubrique | plus et le rédacteur des n el- | aussit ue la tempête serait cal. [125 Voeux de religion € nt Le Po |
“La cité des plantes”, causerie | l:s, encore moins. Res dé-|, M ui à: Fr nom de Fil ÉOPE: LADITE SRE ROL notre si- | Ib
de James Kucyniak intitulée: !luge d'appel téléphoniques. | y t C “à F °8"*|bé Fournet avait I , dar <|lence est ap A Mes ré- $
3 % : I nt €, Mine xertrude Dumas,
lement dire que l'orga-
Pa dactric
“Les plantes canadiennes péneé-| Quelques-uns très courtois, d'au | nt élle entourait sa ve exemples de son sa )n ARTE RAR : j d
trent dans les jardins anglais”.|tres, brusques et autoritaires, les |; ; a sh 23 4e et dans & nédit en ocIo0re JeLner, doit nous e Floride, à chai épi
A 9h. 30 p.m., ‘Choc des idées”. | troisièmes, d'une voix tonitru es ‘map ad à + 1} au du pour IEst, Nous profitons , # Cho blanche, sans pepins,
Il sera question des revenus d'ap-|te, ponctuée d'expressions p ‘ : x FAT 1 et de déve onique pour la TemMETr-
point. ou moins pittoresques, nous ont |} Ë roment,|tiument de notre salut, Il pensait eusement Ge son de:
iu 1 ornemen lor e' pot lonné K voue tenvers 1e ce eet nm
l'adolescent et la santé mentale.| se. Nous aurions _qUne nouvelle rédactrice
A 3h. 45, Claude Francis nous |trer ces poèmes d: basse-cour et} Ou le ance, la 1 er v airement étre élue lors de
put fl rert IE ‘rnière sser lée et le sort
fera connaître une autre femme | les présenter un soir ... it 1 1 ouvet = | la dernière assemblée et le sort
céièbre: Mme Colette. - - — 1 travä
free TES le relèvemer Grotiof 11 ï mi it 4 a ro- | tomba sut Mme Irène Pariseau,
Le mercredi 3 mars, à 11 h. 15 . , Le . vase: COPMARFAUIC Bea coup detection de la cr e- Soirée sociale
a.m,, “Fémina”. Causerie de Election de l'exécutif PNR CE 0 A à es ee C'a CenIS de We, ” uis heureuse de vous an- de tomate “YORK”,
Mme Odette Oligny, ‘Le point LL . be à sd le Ep PAU REMISE NES sénérosités Où | noncer le grand succès qu'a rem boîtes de 20 oz.
de vue de Fido”, et une inter- des Amis de la Line: FEUN TI 6 re | bi ë . } 1 1 a cl arité dé- rté notre veillée sociale du-29 6 pour 73c gi pour e
view de Simone Hudon-Beaulac NET à “ Fe Al rée qui avait o1 shooter idesrges
sur ‘Le Peintre Graveur”. A 3 Bibliothèque Eds
ce ani la présidente «
h. 30, aventure scientifique: | Ê po Ar ï LE : : vitées
ibierre et Marie Curie”. À 8 h. M. Norbert Préfontaine, rédac. | de sa paroisse € lut Nouvelles fondations | Lilliane Hébert
“Le Trio Lyrique”. À 8 h. 30, un|teur en chef den notvelies à |. :S0RVRR RS ONDES GRR 4 Le méme que la congrégation “ahdre ln /soïrée encore 1 à beurre ‘LYNN
sujet d'actualité sera discuté aux| CKSB, a été élu président des| he de deg ge LA Pa bep dei Ke ., Sans prémédila-| vivante les services de M. Mau- VALLEY", 15
“Idées en marche”. À 9 h. 30,| Amis de la Bibliothèque: publi-| "..: a at st pa À 7 Le Fm cnere po c Fr ns Se|rjce Miron, bien connu à St-Bo- ñ oZ., pour
I [e oeuvre à & ‘ )111 Lire] sa a moin > idée a ex
- ete à | 6 pour 59c @e
sociale du cercle, Mme
“Nature du sol”, causerie de Jean |que de St Boniface, lors d'un . tot he F à niface, furent sollicités. Inutile AYTT
| réunion tenue le mercredi 17 fé-| ** de Fe RE + pansion., es Soeur de vous dire qu'il s'acquiesça de
Le mardi 2 mars, à 3 h. 30, | dit ce qu'ils pensaient de CKSB, |, é l € ic 1 )u voit I Ï 1 ny dapé
“De l'adolescence à la maturité”.|en gardant, bien attendu, l'ano- M 4 Poue bel idéal aux âm hoi que | ré a 82 uccès dans “ . 1! ”
» pa ue ui or le « a Ù stiti D 1 in :4 Re es nouvelles entreprises,
e Dr JE. Marcotte parlera de | nymat si cher à une certaine clas-| Dieu lu fiait qu Coeu : 6 : D | d Fl d lb
Le Dr JE gg à | aime enregis- L jue pa fut enfir 1- , rucifié: \ ] n Une nouvelle rédactrice a dù elencia e or! e, s,
vers toutes 165 necessiles
es ac-
la direction off de l'ame ou du corps.
Sarrazin. > r \ ; y B
rri ne » né mer le r 1 a Vi Lie e t ui! quitter (1 s D x 4
Le jeudi 4 mars, à 3 h. 3, vrier en + A nommer le pre-| "7 D HATIR _— fille Ÿ Ma é ds #. L pe bonne grâce cette charge de mai-
ME Fe +" if perman ñ quelques eune fil à Maillé, près de A dre 4 sde
“Chefsd'osuvre de la musique Dix Rey bdie permé der; Te nt ed ps he ù tre de cérémonies. De magnifi-|
A 3 h. 30, “Le cinéma”. Gilles| "Drentl PA NP PME le SERRES ; & n-|ques prix furent tirés pendant e
rganisé l'an rnier en vue : 3 aurauon -|]. irée, tous, dons de nos dé:
mm | 1e > nar ‘da à Fra 1 SOIre 15, ns € nos de 1
— | d per dre k 9 «T « , 100 t Use A voués bienfaiteurs. L'on couron- de choix, 15 0Z., our
et autrement aux bibli 1 tan ré|na cette veillée par une succu-
publiques de St-Boniface e |} : eny Dras de 1 | PC qu < » | lente Fûtte “aus 78 Le bol 4 pour Os Pr » P &
La Librairie Catholique || 2:22? syst june ae ii vormais tout à|ce qui ne put | re de cette entreprise sociale était |
|sous la direction d'un exécutif se à % PRO l'ENA SERRE SENIOR t de venir en aide, quoique modes-
temporaire, L : ‘ LA n aint 1 nie! opere pal )UY ( ÿ 0
TELEPHONE 20-1735 poraire. ts sont: Irecteur, Le curé de Maillé que |ligieuses voulurent aussi bér ix
Les autres officiers élus sont: ‘ 8 t aussi bé
Mme Henry Lene, lère vice-pr2-|10n Ge it déjà so e nom|cier d eur dévouement et
e n thédral Tu A ! tou ls P . , R : à À P
180, avenue Ce dis sidente; Mme H. McKinnon,!®** ot Bon rere lat >] 1e t d ;
: } tait » b c t 1 4 JU un
St-Boniface, Mon. 2ème vice-présidente, Mme Ar-|°2#1441410 bien q 1i- Poito ocations aus Ar
mand LaRivière, secretair®, et paI sv a pliaie üé acco p
fournit Mme G. Reynolds, tresorière & eut|pues pa S ( ] à C T9
| Tous ont été nommés pour une t la te d ( sen 1 .. “ Î l
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a|taient l'adm et at £ , tom de 1a
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mité formé en vue d'étudier une |: VIe T ise, Mais e1/6 te le nouveaux horizons : ne I nd bave
es nons constitution pour l'organisation, | ta de son incapacité a diriger une | insfiiu ° are onsidé:ab Autres activités
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Mn Am Joubert, M. et | bie: ncère met lé
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€ nsé Provencher des Che- F l'affaire 1e a €
ier > Colomb Winnipeg ) € ux )1
À ssue du inquel, grace 4 que nou ivons fre DeGagr
l'init de M. Jos. Laroche, | Motors. Magasin Huot, Pharn
mai cérémonies, il y eutlcie Le c, Mme C ad ]
C re. avalanche de discours, | e Pharmacie Paqauir
f ais t élogieux, pour le | Zelle Mitche DI nt
bilaire et ses paroissiens, fai- | Pâtisse Pelland. Graham Cle
nt ressortir incipalement le | ner f aura Dugua Bre
esp de famille qui règne | Jaer et Wa 1 laviot
Otterburne Prirent la parole Mme A. Hét et M. Isidore
5. Ex Mgr M. Baudoux, le R, P noine, À tou ; »rdia
P. Fafard, M. l'abbé J.-A. Sa Le comité social tient
M. H. Dandenaul éfet ris Lt
palite de Salaberr: Q é é
! A n - 4 Fr 11 2 L « 3 : 8 |
[, À. Joubert, maire de la ville , ent à rendre ; s0 1
+ Pier » l ]
St-I : R } L. Laplan-!hlus : Mentionn p
Ss.R., le R. P. J. Richard, | cijglemen , Gélinea
J., le R. P, Albert Joya!, O.M.I e jeune The € Des dar
et M. G. Carroll. Le jubilaire, en | folk e et d } €
‘ expr 1 sa recon- | furent oût M
envers la divine Provi-|rh. en er , ar it
à l'egard de s supérieurs Un mer tout spécial au cc
’ ésia jues « religieux, de | mité d'organisat q s'est bié
{ frères dans le sacerdoc lé é p p à 1,
nA jer de ses amis | tt sÿ
€ er parer N s vo
D »repa n partie
1 pâ e Pelland et mis n
gr 1 devouement de * .
jues dames de a paroisse line
rvi avec beaucoup de gen-! 1, de Ont it
‘ et d courtoisie par N | soeur, Mn Î Ma st
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\ ombien avez-! ser de certains gestes: les mains je dis la gêne, puisque par mo-
de èces en France”, de-| dans les poches. J'aimerais plus! ments, Monique soulignait avec
Ù r Candide à un con- | d'expression du visage; les yeux | une variété de tons toutes les
ais * cependant étaient mobiles et vifs. nuances de sa pensee. Visage et
Cinq à x repond ! Jacques a mene :on rôle de fakir | regard interessants, extréemement
avec un art indiscutable; les scé- | mobiles et expressifs. Par delà la
È Combien nes où il interrogeait la boule : fumisterie de la voyante, on sen
) mystique du Jendjab paraissaient ! tait vibrer chez Mme Marfa un
Q , rop courtes grand coeur débordant de bonte
Et M D )p d'a Nicole (Marie Bergeron): Grà Le père de Jacques. Entre
! { ce, aisance, fraicheur. Harmo parfaite. Georges-Edouard La
C p euse voix. Il faudrait une arti-!| Flèche joue avec ses mains, ses
culation et ine prononciation | jgmbes. sa tête, toute 1 par-
( te t re plus nettes. La scèn. de l'hypno- 1{j:s de s DS était un pro-
€ ffi- se cataleptique ngranc succès icial | (
1 e d ( I August:, ce personnage ms mide, modeste
a a aune piece. qui tenait presque du fantôn le cabir du
. d e peut tou-| René Chartier lui a donné une |d ï
pr a hefs-d'oeu-| consistance et une xubérance | vit m
Q n se des pie-| bar moments remarquable. Réac. | et de sa démarch
T € nt tions heureuses: je pense à c£tite q marquait
» ui v du ubliable geste de toute sa pe ment ittend i
ar onne quand il apprend que Ni- pose ses avant-bras s s £
t cept le était chez Leon. Son tic 1x
e p ( tic d'une rare espèce — deve Ramirez (Benoit Guyot La
ré éme er inquiétant tant il paraissait prestance, démarche, voix, pre-
f f« d dans le mécanisme buc-|venances millionnaire bre
£ he de f ne devrait pas regarder | silien. L« peut-être étriqu
1 scé re sans raison. donne a-! répétée. Quelquefois très heureux
s d'ima rs l'impression qu'il deser e ge * de Ramirez quand le fa
el le 3 Ce son personnage ; ] dit Les 50,000 francs
a U pre 1d Françoise Jeanne oi $
pectate ."n} Beaucoup d'aisance et laudrail aussi sou
g | fois | 4 son jeu appa- teur Raymond
s e me£ ée à Bin Voix dame blond > (S
= ] 1 a EUuTS ! harmor et <« pronon- e ci
talent L a | de | ciation Il faudrait plus de et du ministi
1 N Sp eur | volume les notes grave Jacquis Ssenez)
eux ] d'évasion, deux heu-! Gestes aisés, un pe iqués par- | L'on devinait beaucoup d'efforts
1 ouD le soi, deux heures | fois, Dès son entrée en scène, on | ttllement de travail que les tra-
a s il n'entend l'fjairait une authentique person- | € mêmes du travail 3 nt
a p s de son foie ou | nalité. Tout s'explique plus tard: | disparu. On atteignait alors à
Ja Var dé t de ses! Françoise est étudiante en mé-|lart veritable s
et p la preu-| decine k Encore une fois, le Cercle Mo-
tte évasion tonifie, c'est Mme Marfa (Monique Guyot lière a prouve sa jeunesse et sa
que l'illusion évanouie, le spec-!| 45ix claire et nette. La gén> ra-| vitalité et son renouvellement.
tateur bien loin de grimacer aux | menait souv ent une intonation: G EORG ES- M ARIE
igaçantes réalites qui l'environ-
1er ] ir sourit et les ut ds
Sam:di d Î à l'issue de M. R. D £: It, d St- front, e ouse
presentation du Cercle Molie- u au e p
re, les spectateurs sortaient
re ne rive et Mile Noëlla Chèvrefils, de St-George
comme purifiee, le coeur allégé. g
Quel contraste avec les visages ST-GEORGES Le jeudi 18, Milles Annette Chévref et
qui sorte des temples du ciné-! février, à 10 h. am. en l'église vine Dufault, soeurs des mariés
J , 8 Lé eints d'une fu- L;; ssiale, Mlle Noëlla Chèvre- Elles étaient vétues de longues
! lifférenc visages enco-|f fille de M. et Mme Zéphir robes de taffetas et dentelle vert
anestnesies par 1nypnose QUI! Chévrefils, unissait sa destinée à | et jaune pectivement, avec
es à saisis dans l'ombre enchan-| ejje de M todolphe Dufauit,! voile de mêmes nuances. Leurs
ee, Visages fermés Y Les refusent fils de M. et Mme Jérémie Du-|bouquets se composaient de bou-
a lumiere et la réal fault, de St-Front, Sask. M. l'ab- | tons de roses blancs et de mu-
La ] de chance” d'Albert} bé Louis Morin leur donna la !guets
Huss avant t une de | bénédiction nuptiale. Les témoins I garço d'hor étaient
s f a héätre moder-!| étaient M. Z. Chi efils pour sa | MM. Daniel D lt € o Ché
F P ne Boutal nous | fille et M. Jake Driedger pour! vrefils, fr ma
pr té une fanta Fantai-! son beau r'é Te van eut lieu chez les
sie déco fantai e jei Durant la cérémonie M parer de la ét vie d'une
x pie B er chanta le ‘Pa \ jirée au Château de Pine Falis
6 à Me 1 1 et la chorale de eco M t Mme D t bliront
ps : Allard, sous la direction des re ] ( St-B
8 gie 6 ta armi les invités d extérieur
D nous | q appropriés | 1" et Mme Jake
1 a decor eton-! Desautels touchait orgue Driede face, Miles
Bi An. Geeur ; QU nargue !es La mariée était ravissante dans Olivine ifauit, de St
FORMES ENS convemtions Un sa longue robe blanche avec dou- | Bonifar Mme Gérard
ds r, pensais-je, di P'INCIPE | Lie jupe de tulle sur satin et cor- | Scott, di M. Daniel
hope. ene SUMUAREE. sage et manches de dentelle or-| Dufault t, Sask., M
tar sd rs In pas Un TÉTOUT liée de pierres du Rhin. Son long | Gabriel Du it, de St-Boniface,
en leux d’cors JUXTAPO= | Voile était retenu par une cou-| MM. et Mmes 3 Adrien
se Ag profonde IT |ronne ornée de paillettes et de | Lussier, Geo évrefi et
scene et qu'is SONT SÉPATÉS | Lierres du Rhin. Elle tenait un! Yvette et Edo , tous
p ; rad er. de SX | bouquet de roses rouges de Lac du Bor Wilfrid
F db liege à 247: ri 3 pig Les fill es d'honneur étaient | Dupont, de Vancouver 3
&1 nn proi 1ge jusqu au pros-
A droit l'antichambre
X 1 s j e-fatigué, ici et la
RER mile Kinguet,
s s. À gauche, le cabi- 7 4
lu méd=2cin. Sur le mur gris-
pâl 1 fond, une immense car-
nie a RE ut nommé proctreut u cewatin
table d'auscultation, le
q es chaises L'ac
se dei tantôt dans l'an- LE PAS — Le R. P. Emile Rin-, l'association de irs de quil-
ambre. tantôt dans le cabinet | guet, O.M.I. qui fut curé de la|les lui fit don serviette et
néde. quelque y s simul paroi sse Notre-Dame du Sacré-|M. Ed. Kennedy, au nom des pa-
tanément da: netl tre en- | Coeur du Pas de 1945 à 1954, vient | roissiens, i offrit une bourse
( d'ê nommé procureur du Kee-}! substantielle
L { watin à Montréal, Le Père Rin- M. R. de Trémaudan 1i pré-
Observations générales guet était au Pas 38 Btiete Dindis prit " parole
1 de la comedie, les | ayant été pendant ire nom du groupe de paroissiens
s À avec beaucoup | à la cathédrale Notre Dame du francaise
lans ces decors plutôt | Sacré-Coeur puis procureur vica- OM.I. donne
‘ Au geste, aucune ial, de 1941 à 1945. avail ac
; x s PFONS me vant Un magnifique banquet parois au co
s naginaire A
à sa EN "iQ i é # 300 de se sc
) s personnages-fi-|, pu eur Er
7 un eur estime et le
8 GIsiray- | as son départ. Le
« P, : de Colomb lui présentèrent un|va
4 Le appareil de radio, la Ligue de +
r + Femmes Catholiques, un sac amé- | un
cg, ts ge Enfants de Marie et la |té
; k ; eunes garçons, un | gar
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{ ges im rl. 44 1 . tatif. En outre, | COUPER RTE
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D 2 1aua P 1DU- Octobre 106, 104» 105.4 141
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“La ligne de chance” au Playhouse
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PATRIOTE
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supérieure de l'institution, et Son Excellence.
S. Exc. Mar Philip F. Pocock, archevêque de Winnipeg, fut invité récemment à donner le pre
s'élèv
la nouvelle extention de l'hôpit al Miséricorde, d'une valeur de
tingue sur la photo: la Rév. Sr St-Maurice, l'echevin Peter Ta-
(Cliche Free Press
8354. 61 réalisés lors
d'une partie de cartes
à St-Eustache
ST-EUSTACHE Le diman
che 14 février eut lieu, dans Île
soubassement de l'école,
tie de cartes et de bingo ot
sée par le club. Le tirage du bil-
de cent dollars et les recettes
la soirée remport
érent un pro-
de $354.61. Le club remer
ceux qui ont assiste à
ree qui ont
contribue
un réel succes
sani-
ga
de
tit net
cre
cette
à en
tous
faire
Retraite
dames de
suivirent les exercices d'i
traite fermée prèchée du 16 au
19 rier par le R, P. I. Desa
tels, O.M.I. Toutes revinrent en-
chantées
St-Eustache
gt
fév
Baptémes
Le 13 février: Marie-Monica-
Jo-Anne, fille de M. et Mme Lu-
cien Rivard, née à l'hôpital St-
Boniface le 2 février. Parrain et
marraine, M. et Mme Glen A
Harrison, oncle et tante de l'en-
fant, remplacés par Lionel et Ir-
ma Rivard
Le 14 février: Joseph-Antoine-
26 tévrier 1954
o Le fameux repas digne de l'excel.
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MARS Doug a Le e, Man. ; pelle un chèque. Jé ai qu'à é
À Ha Var #rù e 10 février 1954, re un montant. Je le donne à la
Parrain, M. Albert
ie” Eve « n 1 le Réd maitresse qui, alor le présen
r'e marraine Mme ! Che 1. le Redacteur,
L 5 de À Mu shell à L D TS DANS “Hi à la banque et on lui doune de
_ Permettez-moi encore une fois | {us Epaté de cette idée ing
—— le : s »rcier d'avoir publié y propo le me lais
» » j>r J. pr | \ tre : : _—.
Adolphe Nantel, décédée ‘° ch Le NM à avoir son livre pour que
À JO il evrier, 16 Lire au n ' h y s
MONTREAL -- M. Adolphe y» e Zenon Par ui se|PUisse m e un caeque, ca
. MO! L à M. A F nonsi de Zenon Park qui se je révais d'une petite auto ma
Nantel, un des journalistes les | dit convaincu je répète, pas av: as de s Grand
+ , » s s : sous \a
mieux connus du Canada, est dé-| pour ce que cette lettre conte- |} 1 A7al re ‘+ "f À n
cédé à l'hôpital St-Luc, où il a édifiant, mais pour le con- | PTE & nan Vodlarec pe Dvir \ pren a
vait été transporte d'urgence. Il qu'elle apportait aux lec re pe à q a # ae deb À
se} 1! . s "* e rve F iait ut 2 1
était âge de 67 ans. Il était mala- ! s de votre bon journal car | °° "217802 aliait, Tout a anora,
de depuis quelques mois ag Fe ds ; |en déposer. Alors, en enfant ne
pui 1 Ê oraisons telles que ce D pouvant comprendre ce système,
dar Pr bu tue Late letire | je me souviens bien d'avoir in
i es marches e sont dignes que d'un journal | Kits. «f] reste encore bien du pa
comme he. s Demain Le pier dans ton livre grand-père,
24 FEVRIER ee ACT AE lett répOn- | écris-moi un chèque, s'il vous
dre e tie “ette le ‘ar , e :
Bouvilions jusqu'à 1,000 liv 2e HER CR cRge; “#1 | plait”. Comique n'est-ce pas, mon
De choix 17.20 20 PAPER NE etre egoiste, | Sjeur? Mais tout de même sem
3 16.0 00 cause d pace trop précieux \
14.00 15.00 FA my on . 'P PIECIEUXR | blable au système monétaire que
es 10.00— 13.00 grade . SORA d vous nous avez exposé dans Vvo-
Bouvillons au-dessus de 1,600 liv L CRETE A où | 27 APPTIS tre lettre.
Be choix $17.50—-$18.00 | Que dans la vie 1l y a deux choses Me AI AR OT PET
Bons 16.00— 17.00! qui vous intéresseraient peut- Croyez-moi, monsieur, il y a au
Moyens 14.00— 15.00 | être. C'est le travail et l'humour. | MOiNS 5 ans que je n'ai pas lu
Ordinaires 10.00— 13.00 P A à du “Vers Demain Pourquoi?
Génisses s00:-2t8 0 |: a en pe entente Uri nue tôt! C'est qu'en autant que je me sou-
soi 1: ns ]Î: ie i ie » 4 #
Le IC al ft sm flx bg See ail pr + viens, comme vous le faites dans
Movennes 1100— 1300 | Sans effort, que le travail ardu | tre Jettre, on y donnait le nom
Obdinaires FA 9.00— 1000 | €t persévérant est la seule cou-| de ‘voleur’ à toute opposition,
Veaux engraissés PR rune du rot Cela est bien | On appelait “voleur, menteur, tri-
De choix $18.00—$18.5 ans le plan de Dieu, car où se-| cheur. idiot”, etc. tous et chacun
Bons 16.00— 17.50 | rijons-nous s'il fallait qu'un jour |; es Ve ;
Moyens 14.00— 15.00 | {ut nous t s Ë , duré it dans le tort et à travers. Regardons au-
vaches SONT Nous ORNE OUR CAT VANS LS GS RSS lecteurs. N'est
nes $10.00—$11.00 | la bouche, sans effort de notre |. pas vrai qu'il faut se méfier
de oyennes 850— 9,50 | part, comme vous semblez le vou-| 3, eu; qui est toujoi à dire
1 : Ê ” € É I
x loir, vous, monsieur de Zenon ù RAA “ue, Mrs +
ea $1100—$1200 | Park, Il appartient aux pares- de son prochain: ‘Voleur, men
Ordinaires 8.00— 10.00 dx Ra. dde P teur, tricheur”, Aux Nations
., : seux seulement de désirer avoir unies. qüi crie “‘agresseur’” Gi
Génisses de boucherie Het A n L &: ffort, C'est 1 s, q ag 5 s Q
Bonnes $ 8.00-—$12,00 | aueique chose sans elloi EST! parle de guerre aux microbes, qui
Ordinaires 7.00 10.00 | al0 ans étre un expert en eco- accuse les autres de mettre des
Veaux de boucherie nomie, que je me permets de vous obstacles à le 2 9 »st.ce Das
‘ , J stacles à la paix? N'est-ce pas
3ons et de choix $24.00—$28 00 de ve x ai ; .
er En et moyens 11.00— 22.00 à ÿ- . 18 grec » PATES les communistes? Et qui sont
Bouvillons de boucherie & a A ee. . x t $25 D 21 pourtant peut-être les plus grands
Bons $13.50—$15.00 | quel tous recevraient $29.00 par | ériminels de l’histoire? C'est bien
tot 0 00 is, est ill » et cons . à
Moyens 8.00 19.00 mois, est illogique et conséquem-| 4, mêmes communistes.
Ordinaires 3 9! ment, faux, Vous avez chanté jlà F
Oeufs une vieille chanson que vous au- Monsieur qui vous disiez con-
vod ! oux 37 À , Op +44 L Le,
A gros, la dou 33 riez bien pu emboîter pour tou- | Vaincu, j'espère que vous me par
Dati 12 Aou 29 | jours donnerez pour avoir “vindicative-
Jetl 18 c u + J ” L
Grade B 31|" Deuxièmement, it faut que dans | MEnt”, comme vous le dites, frap-
Grade C 23| 1); 1 il y ait de l'humour, Car | Pé la politique et le système mo
De FA 50 humour, sous toute forme qu'el- | nétaire, tel qu'ex eo DE Mr et
cremerie . 2 sie c -
soit, est-requise pour reposer | ©°t autre monsieur de Vaudevi
Les obligations esprit et le corps. Vous dites! le: P.Q ] *
que vous trouvez ma premiere Votre tout dévoué,
24 FEVRIER lettre étrange: bien, c'est que vous Guy LEPAGE,.
Dominion du Canada |avez manqué l'humour que j'y
2ème emprunt de la . | mettais, De plus votre lettre m'a
Victoire, 2% $100.05—8101.10! begucoup amusé, surtout le pas reg
3ème emprunt de la | me y =) Di LA
Victoire, 3 100.35— 100.75 | Sage suivant: tout ce qu'il COUVOIR STE-ROSE
PAS ARE GR LR 930. 9970 |» 4 faire C'est d'imprimer de l'ar- || si vous avez l'intention d'acheter
5éme emprunt de ia gent, Car du papier pour faire de || des poussins cette année, n° tardex
Victoire, 3° 97.75 98.50 | la monnaie, y en a tant quon pas à placer votre commande, Le
ET empruñt sl or 9850! 7, veut”. Le passage me rappe- || Couvoir $te-Rose aura des pous-
1ème emprunt de la ait un petit événement bien sim- || sins éclos au cours de la première
Victoire, 3% 971317— 9812] ple que vous comprendrez, j'en | semaine de mars. Alors, comman-
en: ar ie ce ocis mir | 22: 7 Je devais avoir 6 | dez de ces poussias qui seront plus
Victoire, 3% 96.87 1.37 Mots M â Dr ou 4 s
Jéme emprunt de 14 ou 7 ans alors, au temps de Noël, || forts, plus résistants à la maladie
Victoire, 9562 - 9537|en promenade chez mon grand-}| ++ qui vous rapporteront un béné-
Province du Manitoba | père. Je le re gardais da" UN || fice plus satisfaisant à l'automne.
4% 1962 (C') $100.25—$100.25 | Cneque pour 1e salaire e ia Mal à ñ co obtenir
+ mr PT: nine 4 00 Le 4 tresse d'école. (Car il était secré- gets eu 3 PE :
45% 1896 (C) 9450— 94.50! taire.) Curieux comme je l'étais et ae
3% 1968 (C 88.25— 89.25 ,
« *! que je le suis encore, je lui de- LE COUVOIR STE-ROSE
race à de parer" 50 504,50 | Mandai ce q l'il faisait, Tout bon- Ste-Rose du Lac, Man.
3340 {C) 95.00— 96.00 | nement, il expliqua en langage J. Bourbonnière, prop.
32 (©) 92.00— 92.00 | d'enfant: “Ceci est ce qu'on ap-
sur la famille
Quel poste de radio écoutez-vous?
au moins une fois par semaine?
— le jour? (avant 6h. p.m.)
le soir? (apres 6 h. p.m.) he |
| Vous trouverez aussi une série de détails sur les jours et les
| heures où les auditeurs sont aux écoutes
Aux auditeurs de CKSB
Avez-vous reçu
| un questionnaire radiophonique?
Voici un résumé des questions:
Le QUESTIONNAIRE se termine por une série de questions
Si vous recevez un questionnaire de ce genre, ne manquez
pas de le remplir. En donnant crédit à votre poste CKSB, vous
l'aiderez à obtenir des
contrats d'annonce.
M. et Mme Noël Allard célèbrent
leurs noces d'argent a St-Laurent
ar pou
LA LIBERTE ET LE PATRIOT
WIE JET t
Mariage Klawsen-Loiselle bénit par Miami, Floride
M. l'abbé À. -h. Laurin, à Letellier ee Re lun
Le | ; "EL « p nie pa à 4 ue € | 1evr < | : L | p
sise, de mario e Léona Allard 4 à- pd CN p
à - ; Mar i A 1 N « £ <
iesu | M p i 1 \
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re #25 0 L s t & ) x Ed Préf à. 206
… € e , ce glise s pe ana i F nr: 3
ksie : que t Bre ‘ X | Aft sn pa
( l'était ptiale. M. B { M Kliaw nt pa t b
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+ c = : Browi in \ À< au Mex ] : ' &t.p j DO
Ld * n LLe Le L : ter e :
sim . Florid ( q Der s <
pre sance d
à étaie , e, le P.( adressa la parc 1e eu ang R t or
PAT ” es jui remerciérent tous 1 Depart e
ard f : f i 1 : 4 4 , l M 'avid j t{
{ et réit C nercie- « L > CS leme rs to :
] 4 at S nt q s 1 ait
pi par ls du journal *
: 3 x du a jua éta iiadi S À ] t { s le
- - . M Naissance ne de } Ave dépa emp ax ccès à
M. et Mme Fernand Allard sont quet d à ; Trop > ingue n
ureux € part à leurs pa- La d d vi À 1 es an | t lans { ra à «A
re ‘ gieuse ts et à naissance d'un tue d be d 1ffetas te tres estime i qu'ils
’ . G ; a, 1e n. à l'hôpital Miséricorde de sia re ve 1e 1eme ] F CIS dE LA u} ext la vie
de M Mme Allard 1 peg. le 9 février F € E x du t ir en mêm Egl i liocès 14
: « tendait ESTA t 1 bouu 4 nn 1 IX © ta 1 : q ler .
te 41 érat L B:.3 chorale part a Le t le tie gard fid gan
! prises: M. C.-A. Mous a Salle Ro Pgo Letters
A Soirée-surprise en l'honneur
ki trand La première d'une série de trois reuse hosp
bre À 1 ( es 7 pa le carte organisées par | x”
ve d ff g& de la paroisse d M. H £ Renuart, o de
si [aura heu die le Parole 1 e enri isson, e Dunrea. ‘5 2.5"
e | dim r 28 février, à 8 h LU St-Paul, Alta: M. et
1 E ] La ée est préparée par la cor . 1 € P Mme J { tur fil!
t d tion dé Dame le St \r è C e samed = s, À ; Cla { Ravmond
le ge à direct de Mme Lé Chaque année, le 17 février, a iieu au Juniorat la remise de la ‘croix de Juniorist aux 3 e de } nt À Johar et Be de St.B M' de .
! A la élèves qui etudisnt depuis 3 ans dans cette institution. Cette photo, prise à l'occasion de cette ce et d'amis 5€ ent à 1 Ù e nea ? | Mme Ovide rd de St:Gabriel
à n beau oix de f era | monie récente, représente le R. P. Albert Joyal. O.M.I. supérieur, remettant la croix aux eles e de M. W 1F evrier, F visit " de Brand PQ: M. et Mme W
” Ms | é, car en p 1 arte De gauche à droite, ce sont, lère rangée: Fernand Gobeil, d'Otterburne, Louis Ritchot, de S!-Vital e veillée d'ad er ( e, qui est encore s0 Shiteh, de StPaul Ad: M
- à À Le Arthur Dufault, de Somerset, Leon Turenne, de St-Pierre, Louis Jolicoeur, de La Broquerie, Edmond | de M. Her Biss ava a ù 11 St-50 Mn C-Emile C4 : du
2 Re à 4” À Se 0 | pe Paradis, de Dunrea; 2ème rangée: James Craig, de Fort Franc:s, Fernand Letain, de Laurier, Ri-|entiée dar a é des! qu € e, M Lorna “PA M] Mohigue
By d à t Le til |r parmi les! chard Roy, d'Otterburne, Laurent Gélinas, de St-Pierre, et Isaïe Blanchette, de Ste-Anne RR. PP. Oblats à 2 ri, 4 sé Lecanard) Grant et M. Ern st
| M Mme Roland |d s de la UT D dou de! se ne ot cree cetr Emard, tous deux de St-Bonifa-
"a Lis | un Le 17 février, fête des PP. Oblats Codridge |2% hutraionms Hem" d'Byde que | 0
: nedié À À» YA r Î e evrier, e e | 4 A C time ine b € ç q 1 ours dan a pa à
é é 1 i févr a nart d , nt V Un homme qu quatre lan-
tat Montréal, n'a 1 U sero Jour Tor ; : l mpi gues vaut quatre hommes
isieur jame { eut aut qué 10mn
On rec tters « s tr : À 4 N + ‘
KT ANNEES lOn,ne régretiera < me avec solennité au Juniorat s trait PEINE Ro Roy W Forder. dB ÉHARLES QUINT.
e ndresse pa € pa poche da u 1 bra ent goù- | son, L. Légaré, Jos. et Léon Bo
! filles de uré Lorraine | qu pros des La journée du 17 févrie qui | Sylvestre, François Pujo, Mauri- narèrent * inslilet, s nt rendues à la retraite
Mme l irtrand), et un |ressante. Invitation approbet ion des Ré gles!ce Emond, Gérard Glenn, Ray- Yvor t par avoir souhaité à H courage | ée, à St-Boniface
iquet de $25.00 mposé de!bons amis des par e itions des Oblats par|mond Bérard, Robert Audet, An- , Ont., pour y pas- | + Dersévérance dans sa sublime | K à
ses de 25 et de billets d'un | nante F 1826 ïjut célébrée au!dré Gélinas, Camille Piché, Aj- |: € Ê ines chez sa 50€ - x F + Pet T1. ; : Télévision
. ù ' VoCcatio LV n n rom
iv tout éclat quil bert Aimé, Guy Grégoire, E-| Mme Jos, Kervach. Son f R | votre viliage a Son premier ap
enédiction des enfants . + png , pe abc de Papas PRE R
à B à “e e y “a , 2} douard Gagnon, Normand Bois-| ne, l'accompagne pa ele on. M. R. Du
n., à , la bé se fut à 7 h.|! vert, Constant Painchaud, Adrien Mlle Isabelle Degagne, de Wi Le Ù op en a installé un à s AL
t 1] éei n. par le R. i Joyal, | Jubi Pierre Marcon, Mau- |nipeg, a rendu visite à sa s Jo c et se dit très satisfa
% ch € ibse 1T R' rice Hamonic, Robert McDonald, | Mme Albert Lebleu f ons ve des Eta
: , è j pit vage à Tebret | Alfred Gladu et Gérard Van Mile Cécile Charpentier a ren h ( le St
hapele iivie d'une courte oyage à Lebret. DANS AE UD À UD Havane à dia] N: px me #4 Assemblée
allocution par le R. P. A Après la messe, les Pères et Fre- Fr de Winrine Ft Bo Fes ers: ( 1 ar! I r 13 février, un
| à à . nüuvelèrent leuré voeux de : . it de innipeg et St-Bonifa re convers I ute s arre Soir CVIIRS nat
[O.M.I., de ee g" "+ de af mee, À P n Ÿ" a ‘hs Je re Croix de Junioristes R Mme Hudiave Querel a passe |terent a L ; M. « A. DOM: 20. MERS de Gr
qui remplace M. le curé durant ligion à 1 hapell La croix: de junioristes n'est quelques jours en promenade chez | Mme Jos t, les grands-pa- | présents à l'assemblée Fer
| + pn Poe. Le R Ê- predica- Pèlerinage à la grotte accordée qu'aux élèves qui étu-|£es parents, M. et Mme Michel | rents miers U PI idée par M. Shuitz,
eur demanda ensuite aux en- ie - is ns svp L'Age « + à an viait hez 1 ( her ‘1 tenue dans no-
Hate de s’ap ébliér de be Hs Après le diner, une trentaine dient au Juniorat depuis 3 ans | Champagne, de Sioux Lookout, Etaient en visite che M t| de TI r'e her! et tenue dans no
I table avec pré Fra 218 + t si à junioristes se rendaient en|€t qui ont rempli les conditions | Ont. Son fils, Philippe, l'accom- | Mme Jos. Bisson, l dimanche 14|tre e paroissiale
est . es Lie pee 2 APTE, 741- | pèlerinage à la grotte des Pères | demandées, 11 élèves reçurent | Lagnait février: M. et Mm U. Lebeau, de| Ce fut une très intéressante et
ser ne ne u en : Jésu SE 4! Capucins. Il y eut récitation du | Cette croix cette année Fernand Nous souhaitons un prompt ré- | Greenwa:; Mil érèse. de l'h6- | instructive séance et tous 1éé 8:
crèche aque enfant reçut une | Ps F ’ ” | Gobeïl, Loi Jolicoeur, Louis QT pau - UE Aie vP ste-F M Doul:Pmile ants vprofitère srandement
vs er pu Rosaire devant la grotte J0DeI!, LOUIS JOnCoeur, LOUIS | tablissement à M. Alfred Carriè- | pital de Ste tos e, M. Paul-Emile ms rofitèt à Ftge rai
POUR RESOUDRE VOS PROBLEMES image en souvenir. Suivit ensu : : : | Ritchot, Richard Roy, Arthur Du-|,e malade à l'hôpital St-Boni-|Bisson et M Ernest Bouchard, de conse ils du ‘conférencier et
DE ROULEMENT D'HIVER! te la bénédiction du T. S. Sacre- Réception des croix fault, Edmond Paradis, Isaïie|fare | Laurier. auront les mettre en pratique
| ment. .s offices pi AE se Fr A 4 h. 30 pm. avait lieu la!}Blanchette, Laurent Gélinas, Ja- |. - — —-- $ NUE
minérent par la bénédiction des | cérémonie de réception des croix | mes Craig, Léon Turenne et Fer- i î ù
| gorges à l'occasion de la solennité | de junioristes M” l'abbé Pierre | nand Letain. je 4 ri a La population de Gibraltar / d
de la fête de St-Blaise Raymond, curé de la paroisse de | Banquet remiere une serie e rOIS est en majorite catholique
Va-et-vient la Ste-Famille à St-Boniface, a- q à : $ TAN + M ia Lo
M. et Mme Gabriel Bernuy|vait accepté de parler aux élè-|, Le: banquet eut lieu au réfec- GIBRALTAR Gibraltar, qui
nous quittaient le vendredi 12! ves Si vous acceptez d'aimer | toire des élèves, magnifiquement arties ê Car es à -ueorges est devenue un sujet d'actualité TISISTRT TTaRT
| février pour un voyage de six| Jésus, dit-il aux élèves, vous de- décoré pour Ja circonstance Les depuis les protestations espagno-
{semaines en Californie où ils|vez accepter d'aimer ce que Jé- Obiats furent très honorés de la nn A à ns: M 6 contre la prochaine visite du
comptent de nombreux parents et|sus a aimé; or Jésus a aimé les | Présence de deux archevêques à ST-GEORGES HR: PROHUALET COX FAR 6F ne ETS x couple royal britannique, forme
am âmes: Il s'est sacrifié et Il est | Ce souper de famille, S. Exc. Mgr | partie de cartes de l'année à)" |Mme Gérard Bouchard, beau- |; c{iellement avec les villes avoi
M. et Mme Rosario Rochon, ac- | mort pour faire du bien aux âmes. M. Baudoux, archevêque coadju- | eut neue 2 révri “Lee | 1e . ve ts ms rs à R sinantés de La Linea ej de Con 1]
| compagnés de trois de leurs en-| Vous ne serez re vraiment les | teur de St-Boniface, ainsi que S.| dimanche 14 février Dr sf wir à 16 bre 1 NU de ception, une agglomération d'en
fants, de St-Pierre, Man. étaient | disciples de Jésus que si vous dé- | Exc. Mgr P. Pocock, archevêque Vanelia liste dés gagnants aux! L'aues, rod 4 dE da Wil viron 35,000 âmes. Gibraltar mé- je
de passage, le dimanche 14 fé- | veloppez dans votre coeur un es. |de Winnipeg, étaient à la table | cartes: ler prix, Mme Aimé Bou- | ep Go ja PE melda Wil-|;5e comptait en 1948 environ 22,- Cette
vier, chez MM. et Mmes Aurèle | prit d'apostolat sincère pratique d'honneur. Nous remercions Leurs r et M. Léo Chèvrefils Re M Ré mi V + Mr 0 ur rp LE d- 009 Rahhans $
2 - » vel 6 vec une iv rati- ! lation, Mile fils me incent, oncle et tar ‘ : F * Ê
et nest Rochon, et efficace. Recevez donc la croix | EXCellences avec une vive grati p ion, M v " - te de l'enfant . La grande majorité de la popu annonce
mia ialiéesei PRES de comm n £gage de votre amour tude, et M. Roméo B “ D AREA tion civile parle l'espagnol. Dans
mmé un £gag amou * à + at vile parle l'espagn ar ;
fn + £ yne Chévrefi Shower ] 16 t inséré
pour Jésus et pour tout ce que Jé- sei H À : : : 1 ville méme n compte 16,000 est Inseree
; Des femmes de militaires | P°: be ent rl +s:au Récitation du chapelet ment le prix d'ent Les amies de Mlle Noëlla Chè- | éutholiques répartis en quatre
-.? partent pour | Allemagne A 6h. 45 p.m., tous, Pères, Frè- de vaisselle a Pa- ls, dont le mariage a: beroisdés Débuii 1010 GiHaTta par
PNEU D'HIVER Premières croix res et élèves, s'agnouillaient dans | Pineau et ur eule- dolphe Dufa est le siège d un évéché dépen
HALIFAX Un groupe de] tation de leurs pro- | le corridor du premier étage pour | rie en acier 11 J.- février jant directement d'1 Saint-Siège
TOWN E COUNTRY 62 femmes et enfants de militai- ves de première | la récitation du chapelet. S. Exc. | P. Caya el mn 1 Avant occupation anglaise, la
res canadiens stationnés en Al la petite croix de! Mgr Baudoux présida la récita- D'a L er.. Ce : ville dénendait de‘l'évêché de Ca ?
emagne s'embarquera dimanche Ï Ces élèves étaient les|tion du chapelet diffusée direc-|par M. le eu à dix: en 1906. elle fut érigée en
prochain, à Halifax, à bord du its: Benoit Rémillard, André ment du studio du Père Ovide | Richard Vir Mn L cariat apostol que. L'actuel év
Scythia” à destination de | in, Denis M n, Fernand! Guy, au Juniorat. Malheureuse-|et Joseph Dupont, E.-J quie Mgr Richard Fitzger: ain-
rope., Une vingtaine d'officiers |Brisson, Guy Lavallée, Denis Hu-| ment, une difficulté technique} et C. Harbottle, MM. Cyrille Du-! jolis ce s que son prédécesseur Mgr
Caractéristiques nd soldats de la RAF prendront le|pé, Ernest Savard, Gabriel Le-|empêcha l'émission des premiè-| pont et Mathias Fisette ge, fu É Thomson (premier év êque ‘de Gi.
SUPER TRACTION SUR LA GLACE même bateau moine, Léo Blanchette, André res dizaines Cette soiree fut bien réus et | d'honneur lle braltiar). sont nés éh Crahde.Bre.
Bas À NEIGE. LA PLUIE on A PO cd beat FUN CENT « 4 Pa | j nous en remercions ceux qui sont | mercia en termes appro de) yaris à ë WINNIPEG
SRATON AS : ÿ | Séance venus encourager lk organisa La irée se termina n 187 ; PERF OT } 1
@_lLANCS NOIRS QU BLANCS EN | Unité Sanitaire de la rivière Rouge | A 8 h., de nombreux parents | teurs ua merci spécial à nos vi-| délicieux goûter ne 3 los pes 7 Mer GIE da BREWERY
JU l RAR nt * d ts gt ” j ur & £ isce p " nantes 13 ecoles prmalres e &ipra)
| et amis, ainsi que les Pères, Frè- | Siteurs des paroisses avt ante ” de MU te au ,
Voyez ce pneu chez | DATE ENDROIT LIEU HEURE res et élèves, se rendaient à la!qui nous ont encouragés | LL Tous 14 ; établissements d'ins- LIMITED
Mardi 2 mars —Ile-de-Chênes Domicile de salle de récréation pour la séance Cette par de est és {truction sont subsidiés par le
ÈRE FILS Mme d'Auteuil 1.30—3.00 p.m. La fanfare exécuta des morceaux | Premiere d sé tre . | &ouvernement britannique, ca:
+ et Mercredi 3 mars—Steinbach Local de l'Unité 1.30—4.00 p.m.| bien choisis et bien pratiqués. La | Seconde aura lieu le dimar Nous souhaitons prompt ré- FE ed Fe nt mens. sin #, des
À | Jeudi 4 mar iroux Po “horale « Sal 112 rrier ablissemer e | Malte, celui d'une colonie de la
353, avenue Provencher, St-Bonitace | Jeudi 4 mars —Giroux Ecole 3.00--400 p.m.| chorale se fit également applau-|28 février. : tablissement. à e Vitaline| Colonne: CE SUN à 2 LT
| Vendredi 5 mars—St-Malo Jon e de dir dans deux morceaux de cir- Va-et- vers . | Landr sérieu malade | -ouronn 1 de dns #
Téléphone 203 970 Mme Y. Arpin 130-300 p.m | constance. La pièce intitulée “La Mme Casimir Préj t a visité! chez e de à M. Eu- | adeptes et dispose de quatre sy-
Croix du Sentier” était des mieux Mme Alain Péreux durant une gène Neault 1 nagogul \
chofsie pour la fête du 17 février. | Semaine récemmer nt | patient dans un =
Suivit une $aynète qui illustrait M. Wilfrid Dupont, de Vancou- | nipeg
a part jouée par les hommes dans | ver, C.B., est actuellement en pro- M. Frederick
|la rédemption du monde. La piè-| menade chez sa mère, Mme Ro-|retourné à Hez %| Qui sez cet ex uis PAIN AU FROMAGE
ce se terminait par une apothéose | sianne Dupont, petit Siméon 11] | q
de la croix, où les chrétiens de _ Baptèmes MM. et Mmes Anto
toute hiérarchie font triompher} Le 3 janvier: Marie-Monique- ne Ferec et A haeghe | facilement, rapidement, avec la nouvelle
le signe du Christ Noëlla-Thérèse, née le 23 décem- | et Mme Denise 1 ont été s s
Le directeur de la pièce, le R. ! bre 1953, fille de Zéphir Papineau |en ville pour que ours Levure SÈCHE qui lève vitel
P. Jean Soulodre, ainsi que les! et de Lucie Boisjoli, Parrain et Mlle Marcelle e est allée
acteurs et metteurs en scène, mé-! marraine, M. et Mme Raoul Pa- | passer quelques à St-Bon
ritent des félicitations pour cette | pineau, oncle et tante de l'enfant. | face
excellente représentation Le 17 janvier 2rivis-Marie- M. Octave Landry, de St-Vital
Lilliane, née le 11 janvier, fille | a passé quelques jours chez sa
d'Elie Martel et d' Ai igustina Wi - | mère
S. Exc. Mgr Baudoux
La leçon qui se dégage de eette
journée du 17 février, déciara S
| Exec. Mgr Baudoux dans son allo-
cution, est une leçon de discipli-
ne acceptée et vécue loyalement
rageusement, En terminant,
Son Excellence invita les élèves
à accepter d'un coeur sincère le
réglement du Juniorat afin de
preparer leur volonté pour les
grandes causes de l'avenir.
Equipe gagnante
la semaine du 8 au 14 fé-
l'équipe no 3, composée de
Joseph Woiff, Emile DeGagné,
Raymond Trottier, James Craig
Edward Stefanshen et Alfred Gla-
du
Pour
vrier
€ 4 " du, remporta la victoire avec 20
us er ectionnees C'est en 1901 que les ménagères entrevirent points. Maurice Emond aida le
la possibilite de se voir soulagees de ia cor- Plus son équipe avec 7 points
vée des lessives faites à la planche. C'est
e e ÿ cette année-là que parurent sur le marche D ‘ Gouret brie 4
de : 0 , Deux parties jouées de
que jamais. es lessiveuses électriques, et les ménagères puis notre dernier rapport L
de par tout le pays applaudirent à cette a Fort Alexandre, par
at équipe du Père Aubin, le 14 fé-
Brondon rier. La partie fut vivement con-
235. 10 RTE k : tée, mais habileté et l'endu-
232 eme rue des ameiiorations consi- rance des athlètes indiens du Pé
] hebdomadaire, nu même re Ruest l'emport une fois
Portage-la-Prairie te ctrique presque en- de plus, et les tes durent
ove Saskatchewan ' quiert qu'un mirimum d'effort se contenter @ iétaite hono-
ble. Le 59
“ 1e sur 1 pime pas SI : Au Juni Cometes ren
Winni ’ # à
pes iissez de lessives faites à la façon moderne, chez vous. Venez voir ontrèrent iipe de Nor
602, editice Canada * ] wood. Le résultat: 8 à 3 pour le
les lessiveuses mécaniques les plus modernes Westinghouse, Juniorat. Les compteurs: Guy La-
Gainaday, General Electric en montre dans la salle d'exposition vallée (2 Fernand Letain (2
tal LG 06 PROGRESS HYDRO la plus proche de chez 1.
“The Manitoba Power
Your HYDRO ---
Commission
Use IT
1
Lava!
trois fois la |
ire, Man.
Service as |
semaine à Ste-Clai
STE-CIAITRE Il v à une e sar nous permettor
zaine Pt nous avons eu le 'd appeler à tous n | érita
privilège d'avoir le courrier deux |! re
fois par semaine i Ç ? < ;
Den au À e Vous réussirez à merveille pains et
le RL v ce posta tre fc À brioches avec cette Levure Fleischmann
im mardi: le-iéudi et présentée sous une forme noutelle,
soit je '
ere iste Vous n'avez plus à vous inquiéter
au sujet de la levure éventée et
perdant de sa vigueur, car la nouvelle
Levure Sèche Fleischmann garde
Messe annuelle pour les
journalistes à Boston
9 s toute sa vigueur et sa pleine activité
BOSTON E ps de paix | L $ p
1 | dans votre armoire même. Achetez-en
il n'y a probabl pas d'ar
me pl sp sante q e presse t D © uge provision pour un mois,
in Lu [PER T- 4 1 pa 3€ he | L re
’ushin£, |! nitoba a Sask N t
ps ant buries “1er à 4
qui a Sask
t Le no
norant saint 6 a été
patron des journalistes M l
La messe des irnaliste f : n
élébrée par Mgr L éda le ? 1e t
teur de The Pilot, le l'a Mme à, d'Assir
hidiocése, Dans une 1! € pé i } 1
la)e 1mf
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Gratis
rez
7 à l'a des r € t : + râpé
à cz r au ( à z er au double
5-50 min. à
PAGE HUIT
|entretint sur ce sujet, illustrant
par des expériences persongelles
isa conférence fort intéressante.
€. S. B.
|
|son pays, essayant par tous les
| moyens d’arracher à leur foi
| étudiants et le peuple. Mais T'E-
| lise polonaise
| rieuse cette épreuve terrible. Et
|c'est un miracle véritable qu'un
| peuple, ]
; cushoué » a mg ait Rage à conservé &
éans notre équipe et l'entraîneur | tacte cette foi catholique, qui fai
Conventum | (Lucien Guénette) a raison d'é-|la vraie force du pars ve
Si l'on en juge d'après un évé-| tre content de ses joueurs. | Noël DELAQUIS
ment qui se passa récemment| Le CS.B. 1 remporta aussi une | #85
au collège, nos futurs historiens | victoire facile contre une équipe
auront amplement de matériel| de Norwood. Un de nos joueurs, |
pour la rédaction de leurs mé-} Paul Hamel, y perdit malheureu-
moires | sement la courbe de son nez:
Le mercredi 16 janvier eut lieu rien de grave, une simple frac-
pour la première fois au collège | ture |
le dévoilement d'un Conventen, | Et les Atomes furent défaits par |
En présence de plusieurs profes-|jes “Excelsiors”, une équipe de
seurs et de tous les élèves, le Pè-| géants. Mais ce fut une lutte a-
re Recteur dévoila le portrait du | charnée jusqu'aux dernières mi-
Conventum, après une brève ai- | nutes. La partie se termina par
ocution, 11 félicita le président | je pointage de 4 à 3. PL de 1 :
de la Rhétorique, Georges Pélo-| Au ballon-panier, nos joueurs | vd rev 3 him paroles.
quin, de son initiative et expliqua!| “Bantam” furent vaincus dans| Mise eV oirs à aire chaque soir.
brièvement le sens d'un Conven-!|une partie fort contestée au co!- | d nn he ar 120 frimousses
tum, Un commentaire profond sur Liège St-Paul. Le pointage de 31|4€ létude des petits, fouillant
a devise des rhetoriciens, “In! 29 montre que ja lutte fut äâpre. | :
Coelum Convenire”, termina cet- VAR Lucien oies | traduire leur version ou leur thè-
te cérémonie riche en symbole. |nous promet une victoire écra-|M®. ou dessinant des cartes géo-
LES sante à la prochaine joute. graphiques La vie ape cv
Perception Noël RODRIGUE {c est ce travail constant, austere,
br mt - | mais combien formateur, Il for-
Le dimanche de la saint Va- LF.M Îme des hommes capables
.F. M.
| vant
! 1
lentin, les Universitaires et quei- |
Jones lançaient dans! ;], 2 déjà longtemps, la J.F.M. Léhant àbe D maneted orge
exprimait le désir que de temps | Eiômne anorder calmement un pro-
1 107 ,
directions de St-Boni- |
à autres ses membres soient ho- | et le solutionner.
Le Coin du Collège
VOL. XXVII--No 19
La vie au collège
Nous voilà en pleln second se-
|mestre et nos jeunes travaillént
biermement. Il est bien beau de
parler des acivités extra-collé-
£giales, mais il faut bien dire que
ce n'est là que le complément du
scolaire intense. Latin,
| science, histoire, élèves et profes-
| seurs, du matin au soir, font ré-
| sonner les murs du collège des
| travail
ques
toutes es
face pour
| dictionnaires et grammaires, pour |
| |
| Il nous montra comment les Al- |}
| lemands persécitérent l'élite de |
les ||
traverse victo- ||
persécuté depuis tant de |
|
|
€ d'un |
| effort constant, ne cédant pas de- |
sa- }
Caormelle Dumas, Dorothée Lacroix,
$r Anne-Marie, Marie Bergeron,
Chroniqueur?
Chroniqueuse?
Quel est le féminin du substan-
tif chroniqueur? Les uns disent
chroniqueuse, les autres chroni-
queur, Ceux-ci fondent leur af-
firmation sur le fait qu'aucun dic-
tionnaire français sérieux ne don-
ne chroniqueuse. Ceux-là peuvent
référer, à “Harrap's rench-
English Dictionary” 156, éd.
(p.
1953) ou encore à “Le Bon usage”
de Grévisse (p. 170, éd. 1953).
Qui a raison?
Perplexe, nous avons demandé
l'avis d'une autorité en questions
linguistiques, M. René de Chan-
tal, professeur à l'Université d'Ot-
tawa, qui publie chaque jeudi,
dans Le Drtoit, un article sur la
“Défense et illustration de la lan-
gue française”. Il nous a accordé
une réponse d'une colonne et de-
mie dans Le Droit du 28 janvier
dernier, réponse qui s'appuie sur
recueillir les dons en|
norés de la présence d'un invité | ex
faveur de l'Oeuvre des Bourses
d'honneur. Le mardi 9 février, |[f
du Collège, Pour tous, ce fut une |
expérience profitable et une oeu- | désir était enfin réalisé |
vre de dévouement désintéressé, | ©,%°5 d di EE -|
U dial w Père Recteur La routine ordinaire des réu-
hote mener deck 37 co |nions fut vite réglée. Puis, M.
pour s£ encouragements, aux
percepteurs pour leur bonne vo-
lonté et aux souscripteurs pour
leur générosité
. LZ
w
quartier no 3 de St-Boniface, nous [il
parla des municipalités urbaines. ||
Une présentation ne s'imposait |
Sports
Malgré la température peu clé-
mente, les parties de hockey sont
encore nombreuses et intéressan-
un homme connu et comme éche- |
vin et comme gérant du club Ca-
nadien Junior. Cependant, le Pé-
re Guy se fit un plaisir de rappe-
ler à l'auditoire que M. Desjar-
CARNET DE
L'Institut Collégial
Rédactrice: Annette LABOSSIERE
CHRONIQUEUSES
S. Noël, G,. Préfontaine, G. Proteau, S. La Rivière,
N. Poulain, À. Collette, L. Dufresne, J. L'Heureux,
tes. Le samedi 13 février, les Sé-
nateurs du collège prirent leur
revanche sur le “Farm Team” des
Anciens, Ajoutons toutefois que
cette dernière équipe était in-
complète ... La partie se termina
par un pointage de 8 à 2
L'étoile de la partie fut sans
aucun doute le nouveau gardien
des Anciens, Jules Préfontaine.
Non seulement il bloquait les
lancers, mais il étudiait constam-
ment les réactions des spectateurs
pour s'aider à corriger ses dé-
fauts.
Le C.S.B. II remporta une vic-
toire facile contre un club net-
tement trop petit par la taille
pour nos joueurs. Tout de même,
on remarque plus de cohésion
La ‘Croisade du Rosaire”
compte 420,000 membres
en Autriche
VIENNE — Le ler janvier der-
nier, le nombre des membres ins-
crits à la “Croisade du Rosaire”
en Autriche était de 420,000. Le
mouvement a été lancé en 1947
ee un franciscain viennois, le
. P. Pierre.
dins fait partie d'une famille pro-
fondément française et sans cesse
à l'avant-garde pour la défense
des droits du français au Mani-
toba.
Inutile de résumer ici cette
conférence; qu'on nous permette
toutefois de dire, au nom des Jeu-
nes Franco-Manitobains, combien
nous avons apprécié ces paroles
de force, qui augmentèrent notre
conviction et nous redonnèrent
un élan nouveau pour défendre
nos droits. Tout le mérite revient
à notre représentant du comité
d'histoire gouvernementale, Yves
Legal, d'avoir invité un conféren-
cier à la fois compétent et sym-
pathique.
Louis LAURENCELLE
L. M.E.
Nous savons tous quelle fut la
participation de la Pologne dans
la dernière guerre mondiale, Mais
je me demande s'ils sont aussi
nombreux ceux qui ont des con-
naissances justes sur la situation
pénible de cè pays, essentielle-
ment catholique. M. l'abbé J. War-
czak, polonais d'origine et supé-
et le Patriote du 12 février:
cabaret. Voilà le nid qui nous
gagnants
quees plus bas,
Premier prix offert par la
rue Tache, Norwood.
lège de St-Boniface.
Troisième prix offert par
1, Corriger le texte suivant,
patriote du 12 mars.
verti
roma
efféminer?
tions, vous vous etes rendu les
Concours no 13
Deuxième prix offert par le R. P. bibliothécaire du Col-
Conditions du concours
2. Faire parvenir sa copie avant le 6 MARS à:
Les Jeunes Franco-Manitobains
Collège de St-Boniface, St-Boniface, Man.
3. Indiquer fidèlement: nom, adresse, école, grade.
N. B.—Les noms des gagnants ainsi
française seront publies dans ‘’La Liberté et le Pa-
O Favricius! qu'eut pensée votre grande ame si, pour
votre malheur, rappeler à la vie, vous eussiez vue la face
pompeuse de cet Rome sauve par votre bras, et que votre nom
respectable avaient plus illustrés que toutes ces conquètes?
“Dieux! eussiez-vous dis, que sont devenu ces toits de chaume
| et ces foyers rustiques, qu'habitait jadis la modération et la
| 1e? Quelle splendeur funest a succédée a la simplicite
e? quel est ce language étrange? quel sont ces moeurs
que signifient ces statues, ces tableaux, ces édi-
fices? Insensés, qu'avez vous fait? Vous, les maîtres des na-
que vous avez vaincu! Romains, hater-vous de renversés ces
amphitheatres, brisé ces marbres, brulez ces tableaux, chas-
ser ces esclaves qui vous subjuguent.
Concours IF M
Réponses et gagnants du concours no 11
Voici la version corrigée du texte publié dans La Liberté
La résidence de ma famille était une petite maison basse,
massive, surgissant à l'extrémité d'un jardin ombragé de
grands arbres que mon père avait vu planter, Voilà bien la
grande salle que j'ai si souvent entendue résonner sous ses
pas, les chambres où le sommeil a fermé tant de fois mes yeux,
les corridors où nous avons joué et la cuisine où il était rare
qu'on ne vit des paysans attablés, car la nappe y était toujours
mise pour les voyageurs qui s'étaient aventurés dans ces cam-
pagnes éloignées des villes et où l'on ne trouve ni auberge, ni
a abrités tant d'années de la
pluie, du froid, du souffle du monde; le nid où la mort est
venue prendre tour à tour le père et la mère, et d’où les en-
fants se sont successivement envolés, ceux-ci pour un lieux,
ceux-là pour un autre, quelques-uns pour l'éternité.
LAMA
RTINE,.
LES TROIS GAGNANTS
1. Cécile Fortier, Dunres, Man.
2. François Wenski, école du Sacré-Coeur, Winnipeg.
3. Emile Dupas, St-Jean-Raptiste,
Concours IF M
Grand concours de langue française
Nous présentons aujourd'hui le treizième d’une série de
concours sur la langue française. Ce concours est organisé
par les Jeunes Franco-Manitobains du collège de St-Boniface;
seuls les élèves des collèges classiques sont hors concours.
Des prix intéressants seront offerts chaque semaine aux
On demande de bien remplir les conditions indi-
compagnie Norwood Electric,
un bienfaiteur anonymè,
que la bonne version
esclaves des hommes frivoles
|
|
|
|
|
guère, car notre conférencier est |
|
|
l
|
j mes.
| portaient à mettre dans mon rè-
|
| communion du premier vendredi,
{ l'éducation catholique au Manito-
| chrétienne solide, les préparer à
| terre d'abord, muis du ciel.
| ton intelligence, de ta mémoire,
| se
| plaidoyers
| français et de religion dans nos
| hommes?
| déjà reçu la récompense...
D. Labossière, S. Goyle,
—
Un interrogatoire serré
— Je t'ai confié beaucoup de!
talents. Voyons ce que tu en as|
fait... Ta vie d'abord.
…— Seigneur, je l'ai consacrée
tout entière à vous servir et à
vous aimer, S'il y a eu des fai-
blesses, je les ai réparées par
l'usage fréquent des sacrements,
par la prière et des bonnes oeu-
vres, répond modestement M. Ma-
rion.
— Le trésor de ta foi, l'as-tu
simplement gardé ou si tu l'as fait
fructifier?
— Maître, il n'y a guère de
jours dans ma vie d'homme où
je n'ai pas eu l’occasion de la fai-
re rayonner, soit par mon exem-
ple, soit par mes paroles. Et vous
savez que je l'ai défendue, cette
foi, à maintes reprises, en proté-
geant les écoles catholiques du
Manitoba,
— Le don de piété, découlant
de celui de la foi, l'as-tu déve-
loppé?
— Les anges gardiens des di-
verses églises et chapelles de St-
Boniface peuvent témoigner de
mon assistance régulière aux of-
fices divers, de ma fidélité à ma
et à celles, nomhreuses aussi, que
convictions religieuses me
glement de vie. Votre très sain-
te Mère sait aussi comment cha-
que soir, je me rendais à la cha-
pelle de la Présentation pour y
faire ma prière du soir et y dire
mon chapelet en son honneur.
J'y allais habituellement entre
cinq et six heures afin d’être
moins distrait à ce moment-là,
et ne pas risquer d'étre dérangé
ensuite et de devoir les omettre.
— As-tu fait fructifier la ver-
tu d'espérance déposée en ton
âme lors de ton baptême?
— Je n'ai guère pu faire autre- |
ment, Maitre. Vous m'avez placé |
dans une situation où il fallait
batailler ferme, à droite et à gau-
che, presque sans arrêt, Souvent
j'avais à peine le temps de penser:
je répondais simplement à ceux
qui sollicitaient mon secours: “Ça
s'arrangera, vous verrez! Ne crai-
gnez rien!” Et sur qui voulez-
vous que j'aie appuyé cette espé-
rance, Seigneur, sinon sur Vous?
De moi-même qu'aurais-je pu
faire?
— Et la charité, ma vertu pré-
férée, l'as-tu exploitée à fond
dans ta vie?
— Seigneur, permettez-moi de
dire simplement que je n'ai eu
que deux ambitions sur la terre:
servir votre Eglise et la cause de
ba. J'ai cru que c'était là la fa-
çon dont vous vouliez que je vous |
aime, puisque, ainsi, j'aimais mes
frères et que je faisais, à tous
ces petits que vous aimez tant,
tout ce que j'aurais fait pour
vous: leur procurer une éducation
devenir de bons citoyens
de la!
— De ton jugement solide, de
qu'as-tu fait? |
— Je les ai utilisés pour ges!
grandes causes ,.., Que de fois on
m'a demandé mon opinion, on a
eu recours à mes connaissances
de la loi ou de l’histoire pour ré- |
gler un problème, C'est de ha |
| coeur que je me suis donné cha-
que fois qu'on me réclamait.
— Ton don de la parole, à quo
l'as-tu empivyé?
— Je n'ai peut-être pas
1!
|
été un |
|orateur dans le fin sens du mot,
|mais je ne saurais certainement
| pas |
{ni combien \W'heures j'ai parlé à |
vous dire
combien de fois, |
défendant la cau-|
catholique. J'ai!
imenté et gagné mes |
pour avoir plus de
es assemblées
française
+
souvent
écoles
— Que signifient toutes ces dé-
| corations que tu portes? Aurais-
tu travaille pour les louanges des
Dans ce cas tu aurais
hommes les uns
— Parmi les
(JJ. ROUSSEAU)
|la plupart m'ont aimé et ont re-
! connu mes services, Votre vicaire
| lui-même, le Très St-Père, m'a
fait le grand honneur de me créer
Chevalier de l'Ordre de St-Gré-
| goire: en 1939, il m'a fait envoyer
la médaille “Pro Ecclesia et Pon-
Itifice”. Vous jui ”Wemanderez
m'ont critiqué et déprécié, mais |
1
À. Benoist, À. Faucher
an)
pourquoi; pour moi, je sais que
Je ne faisais qu'accomplir mon
devoir, Le roi George VI m'a
aussi honoré d'une manière spé-
ciale en me donnant une médail-
le d'or pour les services que j'a-
vais rendus à l'éducation, Le gou-
vernement et l’Université du Ma-
nitoba ont aussi voulu reconnai-
tre ces services en me donnant
le titre de “Docteur en droit”...
Je n'ai pas sollicité ces marques
de reconnaissance, allez! J'aurais |!
bien aimé mieux parfois qu'on!
me laisse tranquille, mais pour
le prestige de la cause que je
servais, eh bien! je laissais faire.
Colette BELANGER
« « *
Témoignages d'enfants
de l'école Marion
M. Marion était mon grand-
oncle, Il aimait beaucoup le bon
Dieu et la sainte Vierge.
Jacqueline DUSSAULT
J'espère qu'il y aura beaucoup
d'autres hommes qui imiteront le
bon M. Marion et qui défendront
notre langue et notre religion.
Angèle DUBOIS
S'il n'y avait pas eu le bon M.
Marion, nous n'aurions pas eu
notre belle école Marion. Il ai-
mait tant les petits enfants.
Jeannine BEAULIEU
Qui va remplacer M. Marion?
Certainement que nous ne pour-
rons pas trouver un homme com-
me lui.
Dolorès LABOSSIERE
Même pendant sa vieillesse, M.
Marion luttait encore pour le
| français. C'est donc pour ça que
nous lui devons tant,
Jocelyne HEIGET
M. Marion doit être un exem-
ple pour tous les Canadiens fran-
çais.
Rose-Marie SOULODRE
Prière à
Marie, Reine des Coeurs
La reproduction de cette prié-
re a été payée en reconnaissance
de faveurs obtenues.
© Marie, Reine des Coeurs,
avocate des causes desesperees,
Mère si pure, si complaisante,
Mère du divin Amour et pleine
de lumière divine, je mets en-
tre vos mains si tendres les
faveurs que nous attendons
de vous aujourd'hui. Regardez
nos misères, nos coeurs, nos
larmes, nos peines intérieures,
nos souffrance... Vous pouvez
aous exaucer par les mérites
de votre divin Fils, Jésus-
Christ. Nous promettons, si
nous sommes exaucés, de ré-
pandre votre gloire et de vous
faire connaitre sous le titre de
“Marie Reine des Coeurs” et
Reine de l'univers entier.
Exaucez-nous pres de votre
autel, où tous les jours vous
donnez tant de preuves de vo-
tre puissance et amour pour la
guérison de l'âme et du corps.
Nous espérons contre toute
esperance: demandez à Jesus
notre guerison, notre pardon
et notre persévérance finale.
O Marie, Reine des Coeurs.
guerissez-nous. Nous avons
confiance» en vous. (3 fois).
Réciter cette prière neuf jours
consécutifs. s2 confesser et faire
la sainte communion.
645-46P.
+
Directeurs
François Laroche, Isabelle Beaudette.
Rédacteurs
Gabriel Comte, Rolande Plamondon,
Réjeanne George, Olivier Muloin.
| des recherches scientifiques et
historiques. En voici la substance:
Grévisse écrit: ‘Les noms en
“eur” dérivés d'un verbe (on peut
en tirer des participes présents
en changeant “eur” en “ant”) ont
leur féminin en “euse”, Ces noms
sont de formation populaire:
“Menteur, menteuse; buveur, bu-
veuse; danseur, danseuse”.
La solution du problème se
trouve dans les mots: “Les noms
en ‘eur’ dérivés d'un verbe”, Or,
menteur,
dérivés d'un verbe, c'est-à-dire
que ie verbe est venu avant le
nom: du verbe mentir, on a tiré
le nom menteur. Or, pour chro-
niqueur, c'est exactement le con-
traire; chronique est signalé au
XVe siècle, Chroniqueur est un
néologisme. Il ne saurait donc être
| question pour le mot chroniqueur
| d'être dérivé du verbe chroni-
|quer puisqu'il a existé longtemps
| avant, et qu'on peut même se de-
mander si le verbe chroniquer a
dictionnaires aussi sérieux que
le citent aucunement.
Citons les deux derniers para-
graphes de M. de Chantal:
“Chroniqueuse n'a pas l'air très
sérieux. Si l’auteur (on a vu l'au-
toresse!) de St-Buniface estime
que sa chrorique peut soutenir
la comparaison avec celles de ses
confrères masculins, comme
n'en doute pas, qu'elle n'hésite
pas alors à dire qu'elle est, si-
non un écrivain, ou une femme
écrivain, tout au moins un litté-
rateur, un amateur des lettres,
un chroniqueur, enfin ”
Convenons-en, ces formes sont
lourdes et inélégantes; sauf quel-
ques rares exceptions, comme
avocate, candidate, la langue
française na pas encore rattrapé
l'avance prise par ‘nos compa-
gnons dans leur foudroyante of-
fensive sur les ‘professions exer-
cées ordinairement par les hom-
mes”,
BON PARLER
La *
e
+
Savoir...
Un incident (pas des plus gra-
ves) vient de nous faire rire un
peu... et nous “surprendre” en
même temps. Saviez-vous que
Mlle Beaudette est un véritable
cyclone quand elle se fâche? Oh,
la la! ce n'est pas bien, ça, Isa-
belle! Que voulez-vous, on a cha-
cun son tempérament,
Voici pourquoi, Personne n'i-
gnore qu'Isabelle est l'âme mu-
sicale du groupe canadien-fran-
= Alors, elle est sollicitée par-
tout. Comme les Filles de la Pré-
sentation devaient enregistrer
quelques cantiques à CKSB pour
l'‘“Heure de l'Immaculée”, c'est
Isabelle qui devait accompagner.
IL'heure du rendez-vous était
fixée,
Lorsque Mile Beaudette arriva
au poste, deux de ses amies, vou-
lant lui jouer un ‘bon tour”, lui
dirent qu'elles n'avaient pas be-
soin d'elle: qu'une autre accom-
pagnerart! Sans autre préambu-
le, celle-ci sortit et s'en alla, Tête
des autres,
Il parait qu'Agnès na jamais
couru si fort que lorsqu'elle cou-
rut pour retrouver Isabelle! D'u-
ne place à l’autre, elle vint à la
rejoindre par téléphone. Miséri-
corde! si vous aviez seulement vu
le pauvre appareil quand Mlle la
directrice a répondu, C'est alors
que je remerciai Dieu de n'être
pas un fil téléphonique!
Depuis ce jour, Agnès s'est a-
perçue qu'il ne faut jamais jouer
avec le feu. Une ‘“étincelle”, ..
ça flambe vite!
G. RIT
Rencontre ... fortuite!
C'est le mardi soir 16 février,
à 8 h., que les filles de l'Ecole
Normale rencontrèrent les gar-
çons les plus habiles... à perdre
leur équilibre sur la glace! Ce fut
une joute qui sera longtemps mé-
morable, Même le président de
la Constitution s'ébattait.., et
s'abattait encore plus souvent!
Parfois, comme il voulait tourner
à gauche, son pied droit le tirait
aussi à droite. Alors, il n'avait
que le choix de tomber sur son...
ce qu'il fit avec une rare habitude.
11 y eut quelques pénitences:
une trentaine en tout! Soit deux
minutes pour tomber trop sou-|
vent, ou pour ne pas accrocher
son adversaire (dans une belle
occasion), ou pour avoir frap-
pé... la rondelle, de son gou-
ret, ce qui arriva moins souvent!
En tout cas, les nouvelles règles
ont sorti ce soir-là, Même qu'il y
eut une bataille vers la fin de la
partie entre un gars et une fille!
La comédie était bien jouée.
Savez-vous que les filles gagnè-
rent par 2 à 1? Oui. Et la partie
n'était pas trop rude, Aucun gou-
ret de brisé et personne ne s'est
démantibulé un membre quel-
conque! Il est vrai que plus d'un
ou d'une ne pouvait que difficile-
ment marcher le lendemain ma-
tin.
Ceux qui étaient présents ne |
jouirent jamais d’une partie aus-
si comique. Les joueurs, partici-
pants de la patinoire, agirent en
bons sportifs en acceptant de
montrer .., leur maladresse sur
les patins
Les filles étaient contentes de);
gagner sur le sexe “fort”, mais
les garçons jurèrent une revan-
che. Attention, il est difficile pour
vous, jeunes gens, de gagner
quand un admirateur des demoi-
selles est l'arbitre!
C. TEFOU
Remerciements
Arceptez l'expression de nos
remerciements sincères Pour vo-
tre témoignage de cordiale sym-
pathie, ï
Les familles Marion
et Bélanger
buveur, danseur sont!
XIIIe siècle, puis chroniqueur au|
une existence solide puisque des |
ceux de Dauzat et de Quillet ne |
| LÉ Loir à L Patriste ‘Î
| présente |
| René ARTHUR
|
animateur de ‘MATCH
à Radio-Canada
|
| 1.—Quel est le nom géographi-
he canadien qui a l'air d'une
exagération numérique, mais qui
|est bien en-dessous de la vérité,
| en fait dans une proportion de 2?
2--De queile façon décisive le
gouvernement de Guillaume Il,
en Allemagne, favorisa-t-il en
| 1917 la révolution bolchévique en
Russie?
3.—Si, en exécutant une chan- |
| son, vous voyez le terme Da Capo
écrit sur la feuille, qu'est-ce que |
| vous allez faire? |
| 4.-—Quel est le titre officiel du
| Ministre de la Marine en Grande- |
Bretagne?
*5.—Quel est le premier Lord
| de l'Amirauté qui, lors de la Pre- |
mière Guerre’ Mondiale, a dit de
l'Amiral Jellicoe: “C'est le seul
| homme, du côté de l'ennemi com-
me du nôtre, qui pourrait perdre |
la guerre en une seule après-
Winnipeg, le 26 février 1954
Vol. 5 no 19
Grades 8 à 12
Au fil de ma plume...
Le mardi 9 février, les élèves
se consolaient de ne pouvoir pa-
tiner en assistant à un film qui
représentait l'Inde et ses habi-
tants. C'était touchant de réalité! |
Nous voyions un peuple entouré
de difficultés qui, malgré tout, |
conserve l'espoir d'atteindre un
jour le stage de la civilisation!
moderne. ;
Le même jour, durant l'étude
de huit heures, nous primes un
| midi”? instant congé de nos livres pour
6—Dans sa première édition | écouter à CKSB le R. P. Léo La-
des “Fleurs du mal’, Charles | frenière, OM, louer les mérites
| Baudelaire avait commis une fau-|de M. J.-A. Marion.
Îte qu'il corrigea par la suite: “A | De douce, la température est!
maître ès! devenue froide et glaciale, On
| Théophile Gauthier,
| langue française”, Pourquoi l'em-
| ploi de “ès” suivi d'un mot sin-
| gulier est-il une faute?
| 7.—Quelle est la ville que Jé-
| sus habita ... qui est située sur
le lac de Tibériade... et dont}
|le nom qui signifie Ville de la!
Consolation, a pris, au figuré, le
sens de “lieu encombré d'objets
disparates disposés d'une façon
désordonnée'?
6. Quel animal fabuleux y a-
t-il dans les armes de l'Angleter-
1
!
{
|
re? |
|
|
9—Que signifie l'expression
“18 — 2” en parlant du jeu de |
billard?
10.—Quel est le poète canadien,
né à Yamachiche, qui est l'au-
teur de “Patrie intime’?
(Voir réponses ailleurs
sur cette page)
Vient de paraître
chez Fides
L'éducation au foyer
par Louise BECK
C'est l'histoire toute simple
d'une famille heureuse. Le char-
me de ce petit roman éducatif|
repose sur le naturel des situa-
tions décrites, l'ambiance chaude-
ment familiale et le style émaillé
de réminiscences poétiques avec
lequel l’auteur a su habiller les
plus petits incidents.
La force de conviction se dé-
gageant de ces pages de vie quo-
tidienne tient surtout à cette ma-
gnifique réalisation: mener à bien,
avec l’aide unique de principes
foncièrement chrétiens, la tâche
d'élever une famille exemplaire
dans le siècle troublé où elle se
situe.
Les jeunes filles désireuses de
fonder un foyer, et les jeunes ma-
mans apprendront, à la lecture
de ce livre, comment orienter la
ferveur, l'enthousiasme, l’exubé-
rance des jeunes, Plus loin, le
chapitre de ‘“l’aiguillage# affron-
te la problème de l'adulte qui a
choisi sa voie mais qui n’en soup- |
çonne pas encore tous les dan-
gers, C'est une mise en garde in-
telligente et affectueuse. Enfin,
c'est la suprême leçon du sacri-
fice, parfois héroïque des parents,
qui, leur tâche terminée, voient
leurs “chers grands” les quitter
et s'embarquer pour le grand
veyage de la vie,
Un volume de 125 pages. Prix:
$1.00 (par ia poste $L.10),
Des “comics” sains
publiés en Australie
SYDNEY, Australie — La pre-
mière édition de nouveaux illus-
trés (“comics”) spécialement des-
tinés aux jeunes catholiques vient
de paraître en Austrälie et en
Nouvelle-Zélande,
Visant à contrecarrer l'influen-
ce des illustrés immoraux, ils
paraïîtront toutes les deux semai-
nes, par les soins de l’Hebdoma-
daire catholique, organe officiel
de l'archevêché de Sydney: Le
titre en sera Topix, On s'attend
que 40,000 copies de ces illustrés
s'écouleront régulièrement dans]
les kiosques à journaux d’Austra-
lie et de Nouvelle-Zélande.
La nouvelle publicàätion se mo-
dèle sur le populaire mensuel des |
catholiques américains Topix, pu-
blié par la Société éducative de
catéchistique, de St-Paul (Minn.),
avec laquelle.on a conclu des ar-
rangements pour l'édition austra-
lienne.
Réponses
(RENE ARTHUR)
1._—Les Milles Iles sont au nom-
bre de 1,700.
2—Lénine fut autorisé à tra-
verser l'Allemagne dans un wa-
gon de l'Etat Mäjor Allemand,
afin d'aller organiser la révolu-
tion russe.
3—Da Capo est une locution
italienne signifiant “à partir de
la tête”, et que l'on emploie en
musique pour indiquer qu'à un
certain endroit d'un morceau il
| faut reprendre depuis le début.
l'Ami- |
4—Premier Lord de
rauté,
5—Winston Churchill.
6.—Parce que “ès” est la con-
traction de “en les”. Il fallait —
et c'est ce que Baudelaire fit
plus tard — écrire: ès
françaises.
7.—Capharnaüm.
8—La Licorne,
9.—A 18 pouces de chaque ban-
| de, une ligne parallèle à cette
bande est tracée sur le tapis. Ce |
réseau forme 5 auadrilatéres à
l'intérieur desquels (sauf le rec-!
tangle central) il est interdit de
| faire plus de deux points sans|
qu'au moins une des trois billes
| sorte du carré ou du rectangle
| en question. “18 — 2” veut donc |
| dire 18 pouces de la bande, 2!
| pointe au maximun. |
10.— Nérée Bcauchemin. Ï
lettres
ne craint plus maintenant de se
dépeigner en recouvrant la che-
L
velure d'une casquette. Il n'y a
que Camille qui fait le faraud
les oreilles à l'air!
Le vendredi 12 février, nous
avions le plaisir d'assister à une
soirée organisée par quelques
| Normaliens en la salle paroissiale |
d'Otterburne. Ils présentèrent |
trois pièces qui furent très ap-
plaudies des spectateurs. |
Ceux qui avaient droit à leur |
congé nebdomadaire ont pu as-|
sister à une &utre séance de ciné-
ma. On déroula quelques docu- |
mentaires sur différents artistes |
let leurs oeuvres, et on nous pré- |
|
Î
| senta les chanteurs acadiens dans
| quelques pièces de leur réper-|
| toire,
Le mardi 23 février,
| grande fête à la paroisse. Tous
les groupes, toutes les
{bref, tous les coeurs s'unissaient
{pour célébrer les noces d'argent
|
AN AE
c'était
a
sacerdotales du R. P, Denis
C.S.V. curé. Nous en reparle-|
rons.
* * *
Le cinéma éducatif
|
au collège |
| Depuis le retour des vacances |
de Noël, une série de films édu- |
catifs nous fut présentée, Ils rem-
plaçaient les “shows de cowboy”
dont nous étions rassasiés, Je
crois que ces vues éducatives sont
de plus en plus appréciées des
élèves, parce que ces derniers se
rendent compte, en vieillissant,
de la nullité des représentations
cinématographiques remplies d'a-
ventures et de faits invraisem-
blables.
Qu'y a-t-il de formateur et
d'instructif dans une histoire où
l'on ne voit que des chevaliers
qui courent et qui courent à tra-
Pos des pampas interminables?
Au contraire, les vues éducatives,
simples et naturelles, calquées
sur la réalité, nous en apprennent
beaucoup. Quelquefois, c'est tou-
te une étude de la vie d'un peu-
ple qu'on nous présente; ou en-
core une exposition de paysages
aux couleurs riches et suggesti-
ves,
Un soir, on nous présenta un
film sur les hahitants de Terre-
Neuve, Ce film nous impression-
na beaucoup. Nous étions tous
remplis d’admiration pour ces
hommes vaillants et courageux
qui accomplissent chaque jour
leur dur métier de pêcheurs. Plu-
sieurs y ont vu une lecon appli-
cable à eux-mêmes. L'énergie de
ces braves marins les a stimulés|
et ils ont pensé qu'eux non plus ne |
devra‘ent pas s'arrêter devant les
difficultés qui peuvent se pré-
senter. Un autre rouleau nous
transportait dans un décor en-
chanteut et poétique: sur les hau-
teurs des montagnes Rocheuses
où tout respire la paix ef la tran- |
auillité, La solitude, le vent qui
souffle, nul autre bruit que ceux
de la nature, voilà la vraie paix,
le vrai repos! Nous avons besoin,
après ure semaine remplie d'ac-
tivités de toutes sortes, d'oublier
un instant les tracas habituels et
de goûter la douce paix de la
nature et des montagnes ‘soli-
taires,
Les films éducatifs contiennent
quantité de belles choses. Ils ne
|manquent jamais d'intérêt parce
| que l'intelligence peut toujours
y puiser. En regardant ces docu-
mentaires, nous constatons que
nous connaissons assez peu ce qui
nous entoure: hotre pays et le
monde entier.
Léonide ALARIE (XI)
. LL L
Petit examen
Quoi de plus attrayant qu'un
français bien parlé! Oui, il faut
regretter qu'aujourd'hui une
grande majorité de nos Canadiens
français ne soignent pas assez
leur langage. D'autres encore s'i-
maginent qu'il faut parler com-
me un livre; ce n’est pas du tout |
la question, Il faut garder un
juste milieu. Comme le style é-
{crit et le style prié diffèrent,
nous devons employer dans no-
tre langage courant des phrases
complètes et simples, mais con-
| tenant le mot juste, Cela nous
habituera peu à peu à faire des
1°
La Maison Saint-Joseph
OTTERBURNE, MAN.
Pensionnat - Ecole Supérieure
| dirigés par les Cleres de St-Viateur
COURS GENERAL (High Schoot)
Directeur de la chronique: Leonide ALARIE
REDACTEURS
Louis Courcelles, Albert Morin, Georges Beliveau, Guy
Chartrand, Gerard Dupuis et Lucien Lussier
26-2-54
inclusivement
phrases exactes, s
pleines d'un bon s que nous
ajouterons peu à peu à nos com-
positions,
On ne
comme
mai ]
aujourd'hui
Corneille,
même res-
parle pas
temps de
tout de
au
faut
pe la gram ire, Ce n'est pas
seulement en rlant qu'on la
biesse, mais c'est surtout dans nos
dictées, nos compositions et nos
devoirs de chaque jour qu'on la
maltraite. Le juste emploi des
féminins, des pluriels, des con-
jugaisons et des verbes irrégu-
Lers fait partie du système par
lequel on reconnait un esprit bien
|cuitive, Alors, le premier pas à
faire pour l'amélioration de sa
composition est de prendre la
bonne habitude d'écrire correcte-
ment, avec des phrases bien em-
ployées
Si nous mettons en pratique
|ces quelques conseils, nous pou-
vons être assurés que nous se-
rons auprès des gens, des étu-
diants fiers.
G. C. (XI)
Ditos=-mot . . .
“Dites-moi...” est une ru-
brique d'orientation. Elle veut
aider les jeunes; elle peut ins-
pirer les parents. ‘“Dites-moi'
se limite aux problèmes des
étudiants en face du présent
et de l'avenir,
Q.—J'ai vécu dans plusieurs
pensionnats et j'ai connu bien
des types de professeurs, Par-
tout où je suis allé, des profes-
seurs avaient toujours quelques
“préférés”, Ceux-ci n'étaient
jamais disputés et tout ce qu'ils
faisaient était approuvé. Moi,
je n'ai jamais compris cela et
je me demande encore la raison
de ces amitiés entre professeurs
et élèves, Veuillez, s'il vous
plait, éclairer ce mystère pour
moi, — “COEUR SENSIBLE"
R.—Rappelons que le maître
doit traiter ses élèves avec justi-
ce, s'intéressant au succès de cha-
cun également, En général, les
professeurs sont fidèles à cette
consigne; les cas d'exception sont
toujours regrettables.
Pour être complet, il faut a-
jouter maintenant que le maître
doit avoir pour chaque élève un
traitement spécial, Des situations
particulières existent; l'âge, le
tempérament, l'éducation de fa-
mille, les cas d’ennui, les problè-
mes d'adaptation et d’autres plus
personnels; il faut en tenir comp-
te pour chacun, Les élèves ne se
forment pas en série; ils ne sont
pas tous au même point de leur
développement, même s'ils sont
dans la mème classe, Par un tra-
vail consciencieux de compréhen-
sion personnelle, le vrai maitre
exercera son action bienfaisante
auprès de chacun de ses élèves
plutôt qu'au profit du groupe des
élèves en tant que groupe, Il do-
sera ses exigences. Il pensera à
tous et à chacun, A l'occasion, il
pourra se montrer plus indulgent
pour certains. Mais son ambition
restera la même à l'égard de tous:
en faire des hommes.
Ce travail est délicat à appré-
cier; c'est le travail de l'éduca-
teur, un travail nuancé qu'il ac-
complit avec prudence et juge-
ment, Admettons que l'élève n’est
pas en mesure de juger la portée
de ce travail, 11 verra bien l’éga-
lité si elle est mathématique, Mais
pour lui, toute concession, tout
compromis passager, c'est de la
préférence, Pourtant, une répri-
mande gagne parfois à être diffé-
rée, un reproche peut se faire en
particulier, etc.
En définitive, l'élève doit faire
confiance à son maître, Qu'il mar-
che à sa suite avec une grande do-
cilité de coeur et d'esprit, Ces
dispositions sont la recette du
succès en classe et dans la vie.
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TELEPHONE 92-6042
2ème étage, édifice Stobart, 290,
avenue Pertage, Winnipeg, Man.
le 26 février 1954
pe
La Journée : de l'Association
d'Education du Manitoba
t 200: M bbe Marchiidon. | blay, Noël Dauphinais, Fernand
AUBIGNY 200 RA ss de la Présentation | St-Laurent, Mes Jean Prefontai-
Percepteurs: P.-A. Robert, ) de Marie, M t Roland Blais. | ne, Wilfrid Rivard
Louis-F. Palud, Louis Guillou 100: M toland Bélar- L30: G.-A. Bourgeois
Henri: St-Onge ser, M. l'abbé Charles Désorcy | 100: Mme Kenneth McGibneys,
51000: M. l'abbé Normand Total: $67:.10 pen Qu — re Jo-
curé, Noël Chartier £ |sepn Sinnot, Mme (G. urenne,
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200: Andrew Blatta, Albini Ro- ST Lions NES ATÉRuEé ” ‘|renne, Joseph Boux, Mme Gra-
bert, Odias Robert, L-F. Palud,!# LÆUenne 5... \tia Fortin, Mme Mathilda Sabou-
Mar , 500: Mme Berthide Poirier,| if Ejiéar St-Laurent, M. Gigué-
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100: Benoit Saurette, Ed. Mc- À _—_. Daudr Yolande | !** Roger Masserey, Honoré
Donaid, Octave Roy, J. Touchelle, | on Mme Léona Corriveau. | Maui, Arsène Millier, Raoul Ré-
need Riichot, Hector St-On:| 400: François Mahé lard. Lucien Emond, Maurice Des:
é!ar itcho eclor 5SruUn ; , vandladés lundis iard, L &.. 2 1C es-
se, Léonard Chartier, Claude Ro 3.00: Constan pe 5102.00 | 1985. Joseph Tardif, Roméo Dési-
bert, Florent Chartier, Romé , - ets, Napoléon Gaudreau, A. St-
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60: Ulvase St-Jacque 50: Marcien Dr he 15: M. Vepdale.
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Liste supplémentaire: $12.00 4.00: R. Trudea! ir Ha ct MI 6r8 td perle
: $123.0 3.00: Mile Vé Joval,! Eva Lavoie, L. Labelle, Gustave
THIBAULTVILLE 3 si Mme Georgiana ud, Ar-| pr) le pe cs ni eee
thur Guay, George Burke, Mile | man may, Mme Anna Vou-
Liste supplémentaire M.-J. Bérubé, Zacharie Robert,! riot, Mlle Irène Marion, Euclide
83.65: L.-H. Picard, J.-M. Lan-| Mile A, Robert | Asselin, Clément Bazin, B. Koeh-
sard 200: Mile Fabienne Poirier, | 1er, Jean-G. Gratton, Hermas As-
1.00: Jos. Faucher, Jean Hupé,| Arthur d'Eschambault, Jean Bé-|selin, Raymond Leannel, Oscar
Geo, Therrien, Alex. Wellman,!rubé Mme H. Poirier, Mlle J | Desrochers, Adélard Duhamel, J,
Ant. Grégoire, Delphis Champa- | Poirier, Mlle G. Poirier, Rodolphe | Hérie, Mme Wilfrid Lévèque, M.
gne Bessette, G.-E. Lacroix, A. Ca-|et Mme Joseph Saurette, Yves|
50: Désiré Plessis Mme Jos.! dieux. Lapierre, Miles R. et E. Tellier,
Belisie, Ed. Grégoire, Eugène Go- 1.00: Raoul Mager, Armand Ri- FA ue gr Ge re
dard, Raphaël Vincent. | card, Joseph Moquin, Mlie Anita! Clovis Jeanson, ert Michon,
Total: $50.05 | Hébert, Mlle Céline Gauthier, Lu- | Louis-A. LakRivière, E. Proulx,
|cien Painchaud, Mme C. Bourque,| Norbert Bleau, Henri Boisselie,
ST-BONIFACE Mile Claire Guay, Adélard Meu- | Albert Lavoie, Paul Dorge, Ro-
Total: 82.573.227 | nier, Albert Lafrenière, Mme Au- | muald Lussier, Bruce Jones,
Total: 52,573.27 7 8 Ricard Mme Jéhn Conrad. | Mme E. Rochon, Albert Trudeau,
ror Ica " 0 a | he
Liste des sociétés qui ont fait|ifjj; Marguerite Gabriel, Mile | Louis Lévêque, Mme Ernest Mar-
la perception dans St-Boniface:! Brigitte Deshayes, Antoine Lafre- | chand, Mme Aimé-H. Hébert, J.
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10.00: Mgr J.-C. St-Amant, P.D..| J. Fisette te Nr ANSSAR D: PAR, ANS
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L.-A. Fortin | 3.00: Mile Madeleine Painchaud, | Carbonneau, à Auguste Beaudry,
ARE) F7 À Eggs dr port fe EE !:!Mlle R. Lévêque, Frank Walsh,
8.10: Séminaristes William Ducharme, Normand Du
: à ge App k A. Bellerive, Jean-Paul Trudeau,
5.00: M. l'abbé U, Lafond, M.) charme, Paul Bergeron Yves Cant Julés Purbnne
l'abbé Paul Carrier, Mgr Joseph 200: Fortunat Hébert, Agnès Fiola 4
Robert, M. l'abbé Bernard Bélan- | Gagnon, Charles Daoust, Alexan- .
ger, RR. SS. Chanoinesses, Filles! dre LaRivière, Emile Pe Hand, | NES ne ee Sr À Fo.
de la Croix, RR. SS. du Précieux-| Mlle Bibiane Lemoine, Mlle Thé- not Co PUIS À Rav “he
» Forti r l 3 'rem-!8 ’ . 1 su s
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Laplante, Léon Laplante, F, La-|
plante, A. Decuvpere, M. Lan-
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Lagimodière, Maurice Beaudet,
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50: Mme Vailder, Mme Joseph
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Alphonse Laplante, A. Touchette.
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Rose Lohr, R.-J. Doiron, Mme M.
Clément, Jules Joanis, R. Magnas-
| son, J. Arpin, Mme I
Roy, A. Roy, M. Létourneau, P.
| Bretecher, F. Appelmans, M. Ver-
| mette, F. Marshall, E. Faucher,
Auguste Poirier
15: J.-R. Piché
50: Mme Emile Ducharme,
$1.00 , Mme Gerard Faucher,
D . 4 2 Le
Ou sont-ils passes ? Même sans ce petit à # Godard.
“’glouton'’ dans la maison, ce matin, plus de familles | 40: E. Vandal.
Total: 52,90
se sont trouvées à court de Corn Flakes Kellogg que de |
toute autre céréale. Ceci se produit tous les jours parce | Rue Grandin
qu'ils sembient naturellement meilleurs à plus de gens. $1.00: M. Lacroix, M. Patry
Il en a toujours été ainsi. Il en sera toujours ainsi. Total: 52.00
Il n'est donc pas étonnant de voir les ménagères prendre Rue St-Joseph
une boîte supplémentaire de Corn Flakes Kellogg 85.00: Henri Locerte
chaque fois qu'elles passent à l'épicerie. 2e, Mme Emmanuel Cham-
perian
25: Mme Yvonne Joya
LA LIBERTE LA. LE PATRIOTE
Rue Taché
$400: Mime Lydia Fluet
200: Jean Bonneteau, bien-
faiteur
1.19: Mme Desmarais
100: Daniel Dumas, À Gen
dron. A. Hearn, Mme Ruest, !
Lussier, M. Vandale, L-P. Pei-
letier, Alphonse LakRivière, Ro-
land Lemoine, L. Tétrault, Ar-
mand Lévèêque, Jean Le Hoavec,
Auguste Pépin.
50: H. Choquette, A. Bérard
Mme F. Purchase, P.-E Moran
25: N. Beaulieu.
Total:
Rue Hébert
5300: R. Bilodeau
200: Camille Phaneuf.
1.00: W. Hébert
50: W. Gervais, J. Jolicoeur.
30: C. Morin
25: M. Chavotte.
Total: 57.50
Rue Hamel
$1000: Pierre Raimbault, R
Corbeil
5.00: Camille Fournier, W. Bar
nabé, Joseph Chaput, Lucien
Daoust
4.00: Lucien Chaput
3.00: Georges Blanchette et fa
mille, Marcien Pelletier, Leon
DeCruvenaere
2.00: Jean Bruneteau
1.00: Emile Savoie, F.-X, Paili-
lé, Lucien Aquin, C. Chevalier
Mme V. André, Marcel André,
Mlle S. Paradis
50: H. Groleau.
Achille Moreau
Total: $63.50
Rue Jeanne d'Arc
$500: C.-A. Pelletier
2.00: Georges Gauthier
1.00: Benoit Ragot, Mlle
ne Ragot, Mile Gabrielle Ragot,
Mlle Odile Ragot, Georges Bé-
dard, Mme Eva Audette, Ildège
Sabourin, F. Lachance, S. Cou-
ture, T. Benjamin, Georges He-
bert
.50 Jean Deleurme
Total:
Jean-
$18.50
Rue Louis Riel
$3.00: J.-M. Patry.
3.00: Adrien Bourrier, Amédée
Préfontaine, J.-B. Poitras
2.50: Léon Bruyère
2.00: Conrad Sicotte, Osias Du-
clos
1.28: Mlle Jeannine Bruyere
1.00: Roger Gagnon, Albert
Bouvier, Laurent Marcoux, O-
mer Marcoux, Mme Eloria Mar-
coux, C. Davis, Mile Alma Sau-
rette, Mlle Dorothy Coll, Mlle
Irène Moquin.
.50: Anonyme, Célestin
Total:
Rue Valade
$3.00: Dr Paul L'Heureux.
2.00: Mme Henri d'Escham-
bault.
1.00: Mme Eugène
Mme J.-A. Bourque, Mme A. La-
Allarie
$31.75
rocque, Mme B. Langevin, Cle-
ment Viel
40: Mme Joseph Gagnon
Total: $10.40 bhège Perron,
| David Taylor,
Rue Despins
$10.00: E. Dussault,
5.00: T. Gauthier.
3.00: Alex. Allaire.
2.00: Joseph Normandeau, J.-
M. Emard.
524.44 Müioin
|
Lemieux, !
Rue Berry
$375 Mme Pennober
300: Mme Philippe Ethier, Mme
AJ. Simard
200: Paul Auger, N
Mlle T. Bourvhard
1.50: Mme Zaffaroni
1009: Alex Desrosiers,
Ouellette, Albert Lévéque, Mlle
Rita Desrochers, Mme David Pa-
rent, Mme P. Vinette, Frank Mc-
Carthy, A. Desrochers, Réal Bou-
chard, J.-A. Painchaud, Luc Sou-
odre, Mile G. Savoie, Mme J.
Fraser, Mme Brétécher, Mme.S
M. Provost, Laurence
Poitras, Gustave Miron, Théophi-
e Fillion
50: Henri Sohetet. Mile Filo-
ra Desrochers, Mme Charles
chambault, Mme G. Jacques, Mlle
M. Marchessault, Mme Jeanne
MeCarthy, Georges Penin.
25: Mme D. Lavallée, C. Val-
ey, Albert Gobeil.
Bouchard,
Alphée
Total: $41.50
Rue Aulneau
$25 00: Roland Couture
10.00: Dr H. Guyot, F. J. Ton
5.00: M. et Mme A. Vincent,
M. ct Mme R. Cormier, Emile
Couture, St Boniface Hardware,
Mme Dussauit, Mme L. Bougard,
J.-A. Couture, Dr R. Jacques, A.-
Paquin
4.00: Léon Car
200: Alphon
Boulet
2.00: Mme Gabriel Tri
et Mme D: Allard, Jos
laire, Mile E. Dubuc, M. et Mme
L. Roussin, M. et Mme Pierre
Quenelle, Mme A. Préfontaine, E
Plamondon, Dr M.-E. Ritchie,
Mme Julien Belot, Léo et Alice
Loiselle, J.-B, Lalonde, Mme M
André, Léopold 2e re
1.35: Mme H. Protea
100: Mlle Hélène Lodethiou #
Alp. Phaneuf, Mme Antoine Pa-
rent. Jean Heiget, Mme Paul Ra-
jotte, Mme M.-R. Lavailée, M. et
Mme H, Durand, M. et Mme Fran
çois Cheramv, Mile M. Bélanger,
Mile G. Bélanger, Mme trs
Roussin, Georges Cartier, Mlle N
G. Kelly, Antonio Lemoine, John
Warbeck, Julien Bourgouin, Al
bert Pelland, Mme Olivine Co-
meault, Mme Edouard Gauthier,
Georges Levacque, Mme G. Drew-
rvy, Magloire Lacroix, G. Nipoti,
M. Charrière, Mlle Thérèse Char-
lesworth, Mme A. Trudeau
55: Gustave Avanthay.
50: Henri Beaulieu, Arthur
Goveart, Mme Camille Guénette
25: G. Gratton, G. Lanthier,
Henri Savoie
.10: Victor Decloux
Total:
icade
e Lois Félix
ideau, M
E. St-Hi
S160.25
Rue Langevin
$10.00: Dr Jean-Marie Huot,
Louis Deniset, Charles Dufault.
5.00: Philippe Perron, Jos.-E.
DeGagné, John M. Gordon, An-
tonio Lanthier, Dr C, Lavoie, Guy
Morier.
4.00: Donat Asselin,
3.00: Albert
Gratton,
2.00:
Nap. Boily.
Muller, Georges
Mlle El-
Lorette Gagné,
Georges
A. Despins, G. Gosselin, Mme J.
Frédette.
1.50: Avila Lacroix.
1.00: Léo-Paul
Arnaud, A. Vandekerkhove, Nor-
bert Decloux, William Goebel,
1.50: Mile Louise Bilodeau, Mlle | Philippe Guay, Cyprien Gauthier,
Georgette Bilodeau
| riviere,
100: Eugène Bilodeau, M. V.
.50; Geo, Verhaeghe.
Total: 827,50
Boulevard Dollard
$5.00: Clément Benjamin, L.
Desjardins, W. Tétrauit, Albert!
Carrière
| Fernand Feuillâtre, Etienne Sou- |
lodre, Frédéric Langevin, Joseph
Robert, Bruno Brisebois, F. Che-
ramy, Mme E. Venault, G, La-
Louis Desmarais, Mlle
Antonia Mousseau, Adélard Cou-
ture, Jean Lafrenière, Mme S
Jacques, B. Gaudette, À. Gauthier,
| Mlie Evelyne Carrière, I. Laurin, |
Bibeau, |
Désiré Bélanger, |
Asselin, Gaston |
turv, Jean Prince, Paul
Lavallée,
Roméo Marion
100: Ben. Cyr. Mile Rita Cyr
Mile Régina Paquin, Adélard
Landry, Aimé Guichon, Mercien |
Bergeron, Norbert Bourbonnière,
Henri Laplume, Mme. Léa Clé-
ment, H. Dubé, Adélard Vermet-
te, Alfred Gélineau, John Shum-
ski, Eugène Fontaine, A. Mous-
seau, Edmond Lévêque, lL.-P
Fluet, Victor Gray, Mme Alice
Druwé, Patrick Bonin, André Sé-
nécal, Mme Lénora Bouchard,
Nazaire Bernier, Mille Céline Ber-
nier, N.-S. Ferland, C. Hickerson
Louis Marius, Paul Brunet, G.-R
Brunet, Arthur Château, Mlle Cé-
cile Boulanger, Mlie Lucille Bou-
langer, Alphonse Savard, Joseph
Dacquay, Mile Lucienne Dacquay,
R. Decuyper, F. Voeller, Gérard
Champagne, Janvier Norman-
deau, Albert Filteau, A. Roy,
Pierre Lemay, J. Bouchard, L
Frédette, L. Séguin, F. Guilbeauit,
François Bourrier, Philippe Spé
nard, Frank Boisselle, Joseph
Mouard, André Martel, Victor Ro-
bitaille, Mile Yvette Robitaille
50: Jos. Vigier, Joseph Saui-
nier, R. Destôteaux, Mme A. Bé-
langer, Mme O. Villarboito, Mme
Marie Baillargeon, J.-O, Lambert,
Mme Maurice Chabidon, Frank
Adolphe, Victor Gosselin
25: M. Desauir
Renai
ers, Mme R
1d
Total: 8157.15
Rue de la Morénie
E
$5.00 nest
Beaulieu, Louis
3.00: Omer Lemarbre, Emile
rnier, Georges-J, Ste-Marie
200: André Guay, Gecrges Fo
rest, Albert Rémillard, Magloire
Rémillard, Mme M. Trudeau, Ju
les DeCruyeneare, Georges Guti-
bault, Philippe Ayotte, Gérard
St-Onge, Donat Bilodeau, Augus-
te Calvez, J.-P, Guay, O. Voyer,
John MacKenzie
1.50: Mme A. Dupont
1.00: N. Bruneau, Mme Joseph
Fontaine, Li
Hébert
icien
B
Rémillard, Paul Huot, Jos. Rit-
chot, Joseph Banviile, Denis
Bohémier, Mme A. Toupin, Mlle
Dorothée Toupin, Mlle Flore Tou-
pin, Léon Chénier, Paul St-Onge,
Joseph Desautels, Joseph Bélan-
ger, Roméo Richard, Mme Agnès
Lavoie, Mile Laure KRocan, Mije
Denise Rocan, Mme Solas
taine, Gabriel St-Onge,
Ouellette, Lorraine Hudon, Mi-
chael Volk, Mlle Germaine Du-
bois, Pacifique Collette, F. Lau-
rin
50: Arcadius Prescott, Philip-
pe Cardinal, Joseph Joyal, Mme
Fon-|
Ernest |
Arthur Paul, Sébastien Tascona,
J.-A, Blanchette
Total: $81.50
Rue des Meurons
$5.00; À. Neyron, Gabriel Sou-
lodre.
4,00: J.+E. Beaulieu, Henri Lé-
tourneau.
3.00: T.-N. Legros
2.00: E.-A. Poulain, Jean Lau-
rin, À. Dufault, F, Constant, Mlle
Thérèsé Bourdon, Mme Mac-|
Coshas, Mlle T. Ramaekers, Mlle
Agnès Bélanger, Mlle Bernadette
Bélanger, Mme M.-Jeanne Bour-
rier,
100: Mme Emma Deslauriers,
G. Toupin, L. Beaudry, Henry
Duyvejonck, Mlle Pauline Dubois,
G. Pantei, Mme Mercier, C, Gi-
|rouard, Julien Philippot,
Bourdon, F. Morier, A. Carrière,
Mile Gary, Adélard Bélanger.
.50: P. DeGagné, M. Lévesque,
Gilbert Fourneaux, Octave Lan-
| drv, A. St-Godard, René Char-
pentier, Mme Tessier, M. Philippe.
25: J. Bélanger,
.1; Paul Dumas.
Total: 558.82
Rue Desautels
$2.00: Svlvio Genest, F.-Xavier
Courteau, Gérard Courteau, Pier-
re-A. Jarry, Léo Rocan, Mlle Ro-
se-Marie Marion, Denis Morier.
1.00: Mile
3.00: Charles Gosselin, Zoël Hé- | Mme Eva Plourde, Mme Ben, Ar-
bert, Mme Laura Desaulniers, Si-! h31 Mile M.-L. Guyot, Mme À,
|méon Gault, Mlle Alice Plante,| Dubé, E. Lavigne, T. Grouette, |
Jean Daneault, Michel Soulodre, | Bol and Hudon, Alfred Choquette,
François Muller, Léopold Ver-! A, Jacques.
reault. .50: Auguste Decloux, William
2.00: Pierre dy nr Georges | Mailtez. Dorilla Beaudet. Charles
Desrochers, Emile Auger, Joseph |Guénette, L, Roy, Mlle Dora Du-
Desjardins, Mme Frédéric Sava- | reauit.
ge, Ernest Gagnon.
1.00: Laurent Legros,
Mme Georges Roy,
W. Adam,
| Dufault, Mme Emma Land, Mme
René! Joseph Mousseau,
bossière, Donat Robideau, Roméo |
Arpin, G.|
Mlle Jacqueline Tétrault. | Eliane Vouriot, Georges Salignat,
Vincent Rinella, Claude Cloutier,
Arsène Soulier,
François Mahé, François Mahé, jr,
Mile Madelei-|
Léandre Gauit,
Jean-Léon Pro-|
ne Comeault,
Geo. Chavanne,
vençal, Mlle Irène Aquin, D. Pha-|
neuf, Roland Plante, Mile Simo- |
ne Bérard, J.-O. Brodeur, B.-B.
Proteau, M. Cormier,
gue, Ed. Brunel, M. Lanthier, M.
Deicher, Antoine Mahé, Léon
Laurence, Alphonse Brunet, A.
Taillefer.
50: Mile Louise
Viau, M. Prouix.
Aquin, M.
Total: 594.00
Rue Bertrand
$5.00: Henri Desrosiers.
3.00: Jean Alarie, C, Levasseur,
E. Dufauit | Robert Péreux, P. Mireault, LL.
. RE Pujo. Wilfrid La- | Lussier, M. HAE CHAT,
DS Le L *, {Mlle E, Chartier, E. Pelletier, Ar-
vallée, Eugène Ragot, T. Brophy, | L
Marcel Asselin, Joseph | vo 4 thur Dupuis, E. Gourbil, Mme «4
150: A. Pelland, F Lamonta- | À Charbonneau, R. Saurette, KR.
gne. Dre Are Le Madec, Mme L. Lemoine, F
Achet, M. Achet, E. Marcoux, Mile |
1.00: Maurice Hébert, O. cat < |
I. Lansard, Mlle C. Samson, L. Fe Marchand, Y. prteÿy Le
Boily, Mlle C. Boily, Mme J. Pre- | Doiron, M. Doiron, Mile si
fontaine. W. Doro. y Pell e. | lets, N. Senez, Maurice Desché-
Des Vitae Pomail Me Ma, 6. Mlle Laura Guénette, Mlle
rie Grégoire et Mlle À. Grégoire, | Yvette Jodoin, Mme Jacques Ga-
- gnon, Claude Gagné, Georges
F. Sanche,
Gauthier, Jos.
Chaput, Joseph Préjet, Paul Bou-
let, Gérard Bédard, Alec Gau-
dry, Maurice Schaubroeck, Alp.
Doiron, Avila Levacque, L. Ver-
rier, L. Lapiume, R
Brodeur, B. Loiselle, Mme M.-A
Rousseau, G.-A. Comeau, Alphon-
Hector Paul,
Mme M. Pion, E. Desrochers, Mme y
A. Harrison, Mlle Rose Gauthier. | %° Cing-Mars, Mme Edouard La-
Total: $46.25 | frenière, Arthur Lemoine, Mlle
| Florence Lemoine
Rue Aubert 50: Y. Fortier, Doria Ruel, Mme
| E. Bourrier, Roland Tellier, Mau-
|
100: Roger Sicotte, Roland
Gautron, Alphonse Hince, Ed
RAI 6 Gardner |
| 50: Frédéric Sicotte, Mme Ali-
| da Sicotte
pure Total: 512.25 |
rice Ragot, A. Decock, Mlle Deni-
se Brisson, Mme Jean Arnal
25: F, Phaneuf, Raymond Ma-
sionier,
Total: 567.50
Avenue Cothedrale
$5.00: Mme Pauline
Mlle Suzanne Tremblay,
André
200: Denis Belair
1.00: Aimé Tanguay, E. Godard,
G. Fréchette, Maxime Rocan, Al-
bert Leblanc, Aimée Saraillon,
Léandre Laurin, Gustave Four-
nier, Léo Neault, Armand Fontai-
ne, Mile Alida Landry, Mlle An-
toinette Baril, Milie M.-J, Baril
.50: Alexandre Moreau, Joseph
Tanguay.
René
Mme Amélie |
Edmond Laurin, |
Emile Ho-|
.35: À. Ruambilla.
25: Camille Monney
Total: 5131.10
Rue Ritchot
$10.00: G.-L, Magnan.
5.00: R, Dubreuii, B. Léveillé.
4.00: À. Mahé.
3.00: A. Smith, J. Châtelain,|
| Mlle U. Muller, F. Robert.
2.00: A.-M. Bourque, Lucien
Chénier, Mile. B. Paillé, Jean
Mahé, L. Thibault, A. Chénier,
A. Lavallée, R.
Râteau, M. Rivard, Edouard Lam-
bert, J, Valmont, E. Fortin, Gil-
les Guyot, Herménégilde Guénet-
Îte, Mlle A. Dandenault, Mme E-
| tienne Joyal.
1.00: D. Gingras, E. Dufresne,
| M. Ouellette, Damien Pelland, E-
| cie Brodeur,
Henri |
Lavallée, Georges |
Lejeune, R
Boutal, |
| ture,
| Mlle Monique Guyot, |
Total: 8531.00 ; ture, Jean Prince, Paui Lavallée. |
mile Chabidon, Allan
| Mlle Patricia Brodeur,
Paul de
Mathurin Péreux,
Lagassé,
Mme Lu-
{Jean Rheault,
Lambert, Rosaire Fontaine, Mme
G.-D. Timmerman,
thier, Mlle Eva
Thérèse Barnabé,
Mme F. Savard
55: W. Pelland
.50: H. Pelletier, René Lapoin-
te, Mme G. Jodoin, Albert
gné, Roger Sabourin
.25: M. Brunet, Jean
Total:
Barnabé,
M. Beaulieu,
Ga
Penin.
Rue St-Jean-Baptiste
$15.00: Armand Boulanger
10.00: Louis Bétournay.
5.00: J.-B.-O. Leclerc, J.-A. Fer-
land
400: Lucien Phaneuf, Denis
Prénovauit
3.65: L.-P, Côté
3.00: Jos. Van Belleghem, Gé-
rard Prénovault, Paul Morier,
Ravmond Roy
2.00: F. J. Deegan, Mme Michel
Normandeau, Mlle Marcelle Cou-
Mme Eugénie
Georges Petit, Maurice Gérard,
Joseph Boux,
rt Pierre Chabalier, Albert Syi
estre, G.-C. Dusseigne, Firmin
ps ot A Henri Orieux,
Laplume, Mile Léonie Guyot,
Denis Cou-
Lavallée, Mme L. |
Montigny, |
Roland Gau- |
Mie |
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Pain au Lait de Beurre et aux Noix.
Manger et tamiser deux fois, puis tamisersdans un
bol, 214 tasses farine à pâtisserie (ou 214 farine
à toutes fins) tamisée une fois, 2 c. à thé Poudre à Pâte
‘Magic’, 4 ec. à thé soda à pâte, 114 c. à thé sel, 4 €. À
thé macis moulu. Y incorporer 4 tasse cassonade peu
tassée, 14 tasse avoine roulée et 1 tasse noix brisées
Amalgamer 1 œuf bien battu, 1 tasse lait de beurre
c. à thé zeste d'arange râpé, 1 c
vanille et 5 c. à table shortening, fondu.
Former une fontaine au milieu des ingré-
dients secs et ajouter les liquides: mélanger
légèrement. Verser dans un moule à pain
(414 x 814") graissé et garni d'un papier
graissé. Cuire au four plutôt lent, 3267,
environ l heure. Servir froid, en tranches
minces légèrement beurrées.
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dredi 12 février, à la salle parois- | jihor avec n ST
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et.le communisme. Le conféren-!,,,, hili à di $ site : fer
cier a été présenté et remercié | Léns é-. fu far
par le R. P. Z. Bélanger, S.SsS,. Coct, ane: nn Le T ei
curé de la paroisse. Le R. P. Ou missaire provincial noi romet
roussoff est un Russe converti, raser jour l'ét M LT red
né à Moscou, mais exilé depuis Don Cabot. trésitent r Com
de longues années, Ïl se tient cons-|,;ision scolaire coniointe - des
tamment en contact avec ses COM- | Goux paroisées, président du Cer-
DA IG NA ETATS PESRRTS LA len- | cle Canadien-Français de Notre
ter un jour ou l'autre en Rusie | Dame de Lourdes et directeur à
E la Caisse Populaire de Maillard
ames ville, était également present au
Pour la future ecole diner. Son nom a été présente
Les dame: Auxiliaires dont comme futur syndic apostolique
l'inlassable dévouement a pris or At pr D ru ve Francis-
comme principal objectif cette! AN PRE ee
année l'aménagement du futur Mariage
couvent des Soeurs de notre éco - Le jeudi 18 février, e K. P,
le, ont organisé avec grand suc-|Curé bénissait le mariage de M
cès, le samedi 20 février, ün sou- | J0seph-Edouard Po ,, fils de
per à la dinde avec menu des plus M. et Mme Eustache Poirier, de
appétissant. Au dire des gour-|la paroisse Notre-Dame de Fat
mets, nos dames se sont surpas- | Ma, avec Mlle Marie Lucie Au-
sées. Le service de table était as- | bin, » adoptive de M. et Mme
suré pas, un groupe de jeunes Adrien Aubin, de cette paroisse,
de l'AJC à la messe de 10 h, Les deux té
L'AJ.C moins me M. Georges D
RE meau, frère de la mariée, et Mlle
Les jeunes gens et jeunes filles! Denise Poirier, soeur du marié.
de notre groupe d'AJ.C. ont été, Deux autres garçons d'honneur
accueillis, le dimanche 14 février, !et filles d'honneur, frères et
jour de la St-Valentin, par leurs!|soeurs du marié, excepté Mlle
collègues de Maillardville, Tous Clément Bouchard, accompa-
passèrent une agréable soirée, gnaient les mariés
DRE PE CÉNIR 7 EANOSCAES Mme Donat Paré, organis-
|te, touchait l'orgue et Mme Ro-
Maillardville | sario Bellerose chanta plusieurs
| cantiques appropriés. M. le curé
(N.-D. DE LOURDES) bénit la table au diner servi à
Le dimanche 14 février, notre ur Russell de New Westmins
nouveau choeur de chant, formé Las
Baptèmes
en octobre dernier, sous l'habile | Le dimanche 7 février, le R,
[éiection de M Joseph Paucher. | p. Vicairs baptisait Barré Jon
Hop MR ASS PUS “ET | né le 6 janvier, fils de Wilfred-
né gui ing en haleine un audi | Joseph Thomas et. de Thérèse.
Sn | Marie Jacquiard. Les parrain €
ia g: Gsrvr deux heures. | marraine furent Maynard Tho-
CN DA ve mas et Marguerite Jacquiard.
| d'autres en solo comme ‘“Vaya | Le dimanche 21 février, le R,
| nd mA st" 7 P, Vicaire baptisait Michael, né
| con Dios”, “Cécile et Colin”, “No-|}, 13 février. fils de Joseph Kil-
{tre-Dame du Canada”, “A Wo-!,.,,. TT SE
LM “T HS A AN dt Pit martin et d'Olive Penn. Les par-
rs aber lmhete Ac rain et marraine étaient Maurice
rÇ ) at's A- + :
| va 2 et Cécile Larocque.
| more”, “Si mon moine voulait q autos
a nter “AU rt ue] ges 24 ss Nos gymnastes ;
1e A A “ °q 4 ° "#71 Grâce à M. Don Cunnings, ins-
| Hart ÉD pa vos |tructeur qualifié en culture Pa.
cet TR ‘|sique, notre équipe mixte d'a-
| par MM. J. Faucher, E. Chabot thiètes prit part encore cette an-
Marie-Rose Beaulieu, {tion, par M. Joseph Lecomte, âgé
et Sylvio Chabot; de l'accordéon,
née, le vendredi 19 février, A8 h
jar le jsune Mavris PAUNRON TR à la démonstration généra-
armes NU NE détaie. Je d'activités physiques ge l'Uni-
versité de la Colombie Britanni-
que, Ils parurent dans plusieurs
de 75 ans, notre fidèle chantre aux
| Auguste Pichette, Conrad Genest, | é pis | numéros au programme: les sauts
|Mme M.-A. Prud'homme, Joseph| MEsses sur Se y Fes même| d'acrobates, les sauts sur le che
Vincent, Philippe Prince, Mile | quelques gigues, par M. Sylvio val-arçons et sur le tremplin et
Laurence Marion, Mme Paul Ma- abot | . | dans les pyramides. Ils se signa-
|rion, Dollard Brodeur, Joseph! Comme toujours, Mme Sylvio}]lérent par la propreté de leur
Baril, Noël Dicnne, Isidore Dan- | Chabot était l'accompagnatrice | costume attrayant, rouge et blanc,
deneau, Pierre Gaudry, C. Bar-| émérite au piano, excepté pour par leur agilité et leur habileté
nabhé, Paul Prince. quelques pièces accompagnées par |en tout, mais surtout par leurs
.50: Joseph Monchalin. {Mme Rosario Bellerose, MM. EF | pyramides Félicitations à nos jeu
Total: 829.50 | mire Chabot et Raoul Faucher et\nes qui nous font honneur et à
Rue d'Eschombault
| Mme Brunelle, | M. Cunnings qui se dévoue d'une
| ! | Les RR. FF, Guy St-Pierre et! façon bénévole en faveur de nos
$5.00: Frédéric St-Germain, E.| Mawrice Dignard étaient pré-| jeunes depuis cinq ans.
Gallant. > sents, ainsi que le R. P. Curé qui | Tragédie
3.00: Mlle Alberta Bernier, | remercia et félicita M. J. Chabot Le samedi soir 20 février, M. et
2.00: André Boisjoli, Olivier Té-|et tous les membres du choeur! Mme Lionel Lambert, de la pa-
|treault, C. Laflamme, Mme G.|de chant pour leur soirée déli- | roisse, furent grandement éprou
| Dupas. cieuse, leur grand dévouement et vés lorsqu'un incendie se décla-
| 1.00: Wilfrid Turgeon, Siméon ja belle leçon d'harmonie qu'ils! ra à leur foyer en leur absence
| Rémillard, Mme L. Savoie, L, Pel-! font voir et entendre a la parois- | et réclama la vie de leur ainé, Ri
| letier, Mile M. Laflamme. se, L'opinion de tous sur le con- chard, âgé de 16 ans, invalide de
| ,60: D. Brisson. cert: “Si ça pouvait toujours du-| puis toujours. Toutes nos sym-
| .25: Emile Carriere. rer ...”, Le voeu de tous: “Reve-| pathies à M. et Mme Lambert
| Total: $26.85 nez’! dans cette nouvelle épreuve,
| Rue Masson | - - -
| $5.00: Paul Paquin . .
| 2,00 lle Carmel Bérard
1.00: C. Dussault, J. Slobada, OoUS sen ezZ-VOUS mis ra e
Mlle Noëlla Chévrefils, M. Lévé- 1
Fi par suite de
50: Mlle Thérèse Gagnon | 2 , do:
Total: 51150 | maux te tête . manque d'appétit
ne | troubles d'estomac . nervosité
= Aubigny | indigestion . perte de sommeil
| flatuosité (gas intestinaux)
Remerciements |
PET CAUSÉS PAR
La famille Robert, d'Aubigny, |
désire remercier sincèrement tous |
les parents et amis qui lui ont|
témoigné de la sympathie, “de |
quelque façon que ce soit, lors
du décès de Mme Joséphine Ro-|
| bert.
MILWAUKEE — La police de
Milwaukee annonce qu'elle n'a!
pu placer ou recevoir d'appels |
téléphoniques à son quartier ge-
: né:1a! du bas de la ville, entre mi-
{nuit et une heure du malin, le
| dimanche 14 février. C'est que |
des centaines, des milliers peut- |
|être, de citoÿens locaux tenaient
‘les lignes occupées à cause d'une |
{sorte de bingo organisé par un
local de télévision. Or, le
|
{
| poste de police et le poste de té-|
lévision font partie du même é-
| change
Une Vive Demangeaison
. « + Me Rendait Fou! |
Dès le premier usage, la Prescription D.D.D..
gr r>Â adcucssant et rairalchissant. soulage
camper causées par l'ecréma. les
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} ” t St-Ba ia ? Pieds nus dans l'aube 250 lettre. Continuez votre beau rer âge de raison 655—Quverture 1
, me Es "ts ; " = : . 4 ‘ 1 vs " : 8 — jio-journ : pe. L
Er tire M 7 dog A L'émission “Au gre de la fan- | travail. L'Oncle Benoît vous pro- Pen 1.00—Radio-journai S
t ( . l'Edr Alta: 2 s0€e ondes : met de faire tout son possibl I . ET 4 .
ss Marid \ Hi. Seemar de 4 v t d'é- ! pour garder son pr e in inbe
« PT Mae »d C« € M: Le teressant , va ap
tes Marcel P de Nokor Sask eurt rendre à chante
i £ était la 6 du R P EF Pied Voici le texte d lettre r« e
be F Oo M décédé « 236 xie est de cue cette semaine dor iners
vel P. Her De « ealisa de a nos | urs une bonne: idée , »
‘ i t OM! tit evé d orps je du ge s ettre que reçoit LUNDI
cdi 191 à 71 Sp >ncle Benoi
iu à 31 19 fevrier, à 7 1 Ra : “Talents de nos |: rhone lo 4 x init
depa £] à Chapeiie qu couve es Notre gérant M mont Le M eg 1 4 : a
dance! Marie de Graveibourg eller o- Co irvai, Sask \ C
‘ tuné té raté pr | ñ le 15 février 1954 à 9° ne
“ en wi a $ digues a-| Cher mon oricle Benoit »
' thédrale st & { r 1 dtritr ti : ,
. ” : € s S Une autre pe e e a 8 s
: eu d'u 1 sses ä | ans et en grade " pe - A 11.30—Reve El
mn Lotus À en . ar dernier, |! dire bonjour . °
‘ toute droit rement de cc prem ère fois abs
S 105 F P de ‘ ses dl spi x L MARDI
: : . - coup. Veux-tu r a A
1 rave ) t de € of S r } . ‘ > À , e
à à L 2. 1 )! pas, çn x, udi mon petit minou ça c'etait Ps
; , \ ’ se, évêc de à tes ” Lt |
14 Decosse éque € coutes le di-| bien drôle parce que les pe du
SH pr : sodir 1
sravelbour£ aÿj au a 9 h., pour | tites filles aiment tous les petits = i
1 O emarqu # 1a 4 s de nos pa d 1S 15—Radio S-C
À _ ve : - “d minou: | 2 30— Laflèche e ù *
: H il Te ny, barviendr , up + - ®
y Art : G L à 7” ra ol Garde donc la chanson du Pè 400—Raui | résente
.. J aveiDourg : : DE _— Radio +
PP Oblate et d lélégatio s , re Noël pour Noël”, dit mon pe 410—Une t é
File Oncle Benoit tit frère, Raymond. Chante-la Propos lé « te
a x r 11 . à " à ke 1C mais l: lue 1 : 4:30—Chansonne et +
o Coderre " ñ village de la côte bretonne, connaît à chaqu: 15 L'Oncie Benoït des mer : Ages” Ha: fais ve pius 1ongue variéts di
oia et ] ( ] inde animation, C'est le “Pardon” traditionnel de No- ! cier ses 1! neveux et!la chanson du petit minou 500—Notre inçais ps
‘ bh A de Dame d Joie. La st de la Vierge est portée procession | t es ses petites nièces pour Mon b:au petit ou blanc 15 Fiesta L
ti4 D à par des Br nes en costumes. t charmantes lettres de la s'est fait tué par un auto. Si tu : de | £
: ‘ ée de la ca s dernière, Oui, mes pe-! en trouve un écarté, dis-le mt MERCREDI
| 1 funébre f t s, vous avez vraiment bri- : j'irai le cherc her sc . :
PROC É E tous | correspon Une petite nièce qui vous a 1 mg:
g 1 n à Ù [va Intre i
LL are 5 Séance donnée à Willow-Bunch :::. tin | ET |
{ Be ta semaine Clarisse C ROTE AU. t petits
p déntrne . mntorates mntres ns mamannen e ‘edi so en ; 45—-Con y
1 »+ ] a katchewa 6 00—Ca: ve : de 1
i " 1 8 30— Musique e 6.05—D te N
Ê par e collège de Grave nr Se au | HR
| € L DIMANCHE 4
“onique de CF VS |
st-B f iépo ” 10.55—Ouve € . l
: y s re WILLOW-BI NC +, : Le di Armand SF 1p ar o! e à 10.59—Signa raire
x Fu éd sand - . 21 fevri ine t aine paroisse, et ra 1100—Le quart d'heure JEUDI
L 3 1 [ H vit n: = n * s A 1
» P LA , d'ék d llege d “Gravel. usieurs personn dr — con. | memes )170 Kilocycies de Ste Anne LUS) -
2 15€ equipe f C ( uses de Ji \ s à des RR. PP res avbiéinants vin fer À —Radio-journal 415—M ie Sud-A
4 ba de P s p : | ) f t es # res avoisinants Vi assister + f à F * )=Intermède musica 9» 00— Pot 00 Cre
M 1 1 et d { D s. A. Lacerte et C. à cette séanc qui fu n réus- \ uhaito beaucoup de Le 28 fevrier, nou 30— Boston Pops | » 30 Le a re Bapt t
! : 1 à q €s paren D O.M.I. se rendirent à sie ci à ! id Bouras a qui ns à St-Louis enregistrer la istitutions .00— Tale ‘ laria
1 { a ( e dé ( l'avrée au t à ‘ Éis est 4} P J prochaine émises " N tte cé. 1e paroi 3 ;
Fe) ” + - = W \-B \ où ils présenté- Un cordial merci à tous, pa 1 au, déput vi 7 Pr PERLE. CRIS de as Àe ins ati t 4004 mus ] € L
4 14 L ) vi 0 | ) ve athie n . 1 1: d'aftfai- $ rapDr ne u'i aut à à L Je hs l u 3 à L
préd t ans |” . e 1 alle des Che valiers licipants et assistant He € lrcaite j Nou Les, + d'os te 11 Iaul 2 art dans la vie parmi ‘ mime
h 7? c ( omt i omedie en 3 ac des a trouve ter e nompre de concurrents 1.00 Béatific tion de la 430—Les p 9.00— Au Caf Conc
De J ; . int | Ma femme tient le qu irs bien 20 ou moins et que plus il y a LES DL tente | re _Sisques UE | 930—L'album de RCA
“ay eme rimnce- ert \ I Will B h bea: mble con- concurrents, moins les mor-| _: se LAPS ta mr 4
{ ’ d M. L Ilondor souhaits 8 ow- unc y katoon. Eu-!1 ique où s char- +
"> Soiree paroissiale * s teur 1 ( 1€ t être longs. Deux mi- L 1 [| D10 LI 11 [| [LITE
1VO l UX Visileurs à at 1j : Ne F evraient suffire nour dor 4 4 “hr
| ; : L FAR 01 # à La ton du Collègé, sous la Ca et la 78 £ 6 s de vraient suffire pour dot Ë
À 4 “ . A d R P. À Lacerte F Rodr je | deu n rtains que |1 une bonne idés du talent de 1170 Kilocycles
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1 à ] 1 ‘ , * " " . te > C ) cn 1Ci1 NOL nnerons maintenai 1ë a autre lusivement Doc à at
] 1 d ( \ ie Colo Con À a soirée, 1 RP IE, a k priorité aux lettres de demandes | 430—Cordes qui DAME SE Ad he et Mondes
à A nal I \ D H. Desr( O.M.I., prononça | Il V 1 NI, 1e à n spéciales qui seront accompagnées chantent |: SAN 30—Ciel var-de
i ême. Outre!r { + . ] Fer 1 Ducharme \ a maine de |°* : LES PRE me TE 1.00—Pro lemand 655—0 Canada ; te
* Ï ) personne i e À , j Ft ; a Lucnal Pre D: de quelques mots mentionnant les| 33%0-L'âge de raison horaire es toit
' » { t= omis es VeE 1 de vin ndr ‘ ie s= + C4 de aiso ? n t tadio-Co q
£ 1 Rév.ita ‘ : , COR, AOVes QUES 2 Mérqpie Aa [ÉRARAR jap see suivants: Canada! 8.15—Carretout | J4U—Radia-Journal PME RE
M. P e Legau argea , prit irt à la comedie: Raoul , à M. le curé, ie uai 18 fevrier, l nencera | Packers surance du gouver-| 830—Initiation à 2: sa" "7 t | étoiles
le e de re ito ï 1 ‘arrière, André ain 1 $ ent £ de conférer sv I stre compatriotes
Montmartre le la £ le « $ 4 L- LS arri Ai dre ainsi qu'a ses parents et ami nl ae nement € % le discours de l'hon.| 990 A4° N conscte 145-Frière du matin he ler Late ie g
oms de 1 gi ler'G 1 ip IS M abbé F, Blanchard, de La Hhe te à R A6 Fines au sujet de l’assurance-au- | 9.30—Récital A AS er D Leliies à Ve
da di %S A francais de tadio- | 1. 2,1: à p : 0--N el L 0—Interméde 0 t 1 o
Soiree d'amateurs Gob 2 LA. ‘+ ve » ‘ rs 10 févr as Nous ous en annonce- tomobile, Autant ps po sibl \ té dos Menton _ | 8.15—Bonjour ARTS LS " SERRE
l he 21 fe ava - i presbytère, le v 19 fevrier hés GANT rl NOUR EDNER d'une feuille sépa- g | compatriote 10.00 SH es et fin
tmart l’a. 14 S M. et Mme Marcotte, de A se TT pére af. “ée T i » ; | 845—"“Je vous ai tant des émission
artre une soirée d’a- | Fès: Wo seley 1e PE ve Re co te Le _n : semaine prochaine, et peur Rennes que VOUS SAMEDI N 5 LR 0e Ke
nateurs organisée s0 a + y Ë re ob ige A MR 1, 16 nces auront lieu le|4v€z entendu la pu licité des com-| 655—O Canada ».00— Nouvelles 4 ;
p de Radio-Gravelbourg par ! 4 Partie de cartes dimanche 1 ievrier, en visite comme l'an dernier manditaires mentionnés ci-haut. 7.00—Radio-Journal | 9.05—Chantez en 10.15—Fémin:
0 éalisateur, M. Rao 36 L } chez M. et Mme Léo Rondeau et “ Fu APE PET TP Souscription 1.05—-Bonjout | travaillant 12.35—D'une paroisse
: AS ce age N partie de car- avant attie de Vi smarais a choisi de| 7 0 tiotes 9.30—L'orgue populaire à l'autre
s \O 1 ième partie de cai arents amis dé low. - s remerc s sincèrement SAAPaRHON B pop ù
1 ) a présidence d'hor 4e 2$ Le DE R Pa , le Willow cette année de Lour- Nous remercions sincerement| 745-Prière du matin | 945—aArtistes lyriques | 450— Cordes qui
eur de M. l'abbé J.-A. Fo ( Pi de , re lieu de pélerina. 1° Personnes qui nous ont fait} #uwv—Nouvelles 1000— Au fil de l'heure chantent
é d paroisse. Ni avio L pRRSIReS de M. Lou R. P. C. Deshaye O.M.I ME dr 5 “| parvenir une partie de leur sous-| 8-1!—Intermède | 10.30—Quatre dans un | LR Améri atine
J HS hé dre D idé de imilles Emi- VUE agde : , F'Hef El ‘4 % dis L À 8.15—Bonjour, | 10.59—Sjgnal horaire RE DL
p 1avo parn D) 146 Pi V le a sa Mme R, C1 iption de puis q uelques jours. compatriutes! 1100—Musique à trois | !-“Ù— Don Camillo
i à cette occasior M. Du 1 chu ‘au M Serre an février, Û Mais plusieurs n'ont pas encor 9.00— Nouvelles | temps | 8.15—Carrefou
Lepa p t senera \ verdiere et Laurent 1 t visite N pensé à leur part et nous répé-| 9405—Visite a la | 11.15—Radiu-Journa) | 9.30—Le choc des idee
i AC " “doué No: in F Perras MM # wW. ; tons notre appel de la semaine | discothèque 1125—Interméde 9.00 Au pays les gita
l'A ( du po W à A ire Hébert et 4 : À a l sgh AP ee ter DD ppei a SEMAINE g39— L'école du ‘Bush | 11.30—Réveil rurai | #30— Programme
CFRG, M. Rolar onneault ; jé | VAE Tr IOWe d ; dernière, Si l'argent de la sous- | iuvu—Concert pupuiarne | 1200— Nouvelles sport Hoi) ukrainien
lent d C il ] \ puq Mlle Simon M es. ' I ind étaient réellement cription était payé en entier, la | 10.40—Père Paris | 1210—Rapport des FAP >Fhaié le AE
* 249 » à 4 Le furent 1e 1 "| bic t { d 1 pr P annièÈ LE A é 10.45—La bonne chanson | routes Ï des emissions
ju ingue française , de le R« , derniè- | pi pa et leur émission a] situation Lo de CE se- | 1100—Piano popuiatré 12.15— Nouvelles dant)
1 provir M. Degagneé igt Le prix d'entrée échoua à M mi avo ji € l ce rait assurée, 1 1115—Radio-Journal! | -Communiques et 12 D
D CE ! nl dt r - PRESSE PORN ss ï 9 * à : v 2.3 uné aroiss
immercial ste CFRG, et! Robe Frumier, de Domrém L F a Ÿ Val grave 10 Ji € en bonne + ) AE pda o D 4 À FA ue «
\ } | + \ Mar — >] rural 12.35— nc aroiss #4 EUR
I ’ellerin, opt te au poste Noto que la plupart des pi F 1 Le [ Marc vo on. | 12 30—Demi-heure de 7 l'autre HER: Fran. ia 9
f érent »$ DS i ’T le « tte et Doreen Down A A | ini n | Amérique latine
ouvrit, par quel. |liérent à des paroisiens des vi | Souchotls el Mile de adne marne ven L'année 1953 en fut une de gains #2 lime,
, ts da bis : ) É M inan 2ème M. Eu Laverdière et | ssaiome ; A 1 Ré é # | 100—Demi-heure de Prince-Albert | A votre sante
| no 1 \ 1 1 ‘ ; 11 ‘ : egaiemeé a £ de ginä | Léoville 2.00— Boulevards | Revue des arts
n PR à t r \ In nile on: S x « ‘ ‘ 4
lo t. Les 1 i1rs nou t rvi par M Ÿ. : 48 “to ANA gi x Mme E, Fontain e rendit à 130—Un peu de tout parisiens | 8.15—Carrefour
86 probléme di . Neider 66 leur file CRE RER PRISES OR LG beurR jeudi 18 sevrIer accrus our e overei n e :3U—Radiu S-C 3u— Radio Sacre-Coeur 840—A trave le
at eure 1 poste CE assisté de Mlle, Aimé Duquette: prix d'entrée, M chercher Mm A! k 5— Accordéon 45—Piano populaire ÿ emp
Pi 1 P Stanle Cieckie rie de LS ti PHET AE Ta ot Lafre- D à 3.00—Bienvenue, Sask 100 Aux malades l'A MU AENTE men
We € it que le lire | DÉDR _. Ni k U'\nière qui éta patiente à l'hôpi- | . Le rapport anni pour 1953 aux détenteurs de polices et aux 4.00—Radio-Journal | 330—Bienvenue | 10.00— Nouvelles et fin
Gt Host frûnes s ou e pi se , MM. Paul Bairné René |{:1 de Gravelhou depui 1el- de la Sovereign > 4 ‘ance bénéficiaires s'élèvent à $1,395.- FD me che d'Hawaii | À éashatopemen | pe Sr de ES il
t au O e to t at n frer ) 1116 o d iotte 16$ m St 3 PoETy AN à. any ’anad:£ i araî 5 i 177 266 , lus J0— Petit concert 00—Radio-College À À
t satisfai ju qu u re € ao + & Hu À PE | que main Son état d ant : ÿ of Canada, qui pa ait 39, soit $1 17,366 de plus qu S Ode Notre francais 415—Radio-Collége fs Mae
{ ad il de € id Fou 1 4 4 pes 5 est satisfaisan dans c? Jour ‘nal, montre | l'année précédente. | 515—L'orgue populaire | (Jeudi: orchestre 12#5— D'une paroisse
artie dé i D ice pourro v . : PAUL otte el Leo M La t OP ; Compagnie, ces dernières Le total de l'actif de la Com-! 530--Les dix succés | David Rose) is vT
Li e , r " r .Y lc 1 n n : pa 1e 1 " . 2 2e
pt é de CFR a-et-vient Ù L Doi Down, a réalise des gains con-| pagnie est maintenant de $25,-| 6-00—Musique à 3 temps | 445—Un homme et 430—Cordes qui
) | t t M Ime Gérard P t''R de B bien « \érest a, 0 ab ( »] I ac- | 965.022, avant a { 1 .| S1o—Nouvelie | son péché | chantent
Q jues 2 ) ( rire 52 Em al Page P robe # SC | traite c els sont ac- 965, 22, ayant augmente de $1,-| 625—Intermède | 5U00—Revue de 14 RCE ne
ensuite part au programme d'a- Pa amedi soir dernier pou Earl vice de M s nouvelles as-| 969,239 durant l'année ecoulée.!| 6.30—Le chaptiet | l'actualite 3 15—Diver
ma M René Giro e Un voyage ux semaines dans | Y M. Bill cf s, qui se chiffrent à $20,-| Le taux moyen d'intérêt prélevé! {-U—Radio-Journa) | 515—Yvan l'Intrepide 830—Nature du soi
s E € Unis. 1 étaient Ion SÉRIE le ty pot ’ l'actif i pe TRES i A4 7.1 Opéi et opérette | 530—Pour les hambi ) Vu Le peupies et
À pre e, les ève de : : Uni " nt Cd et. lf ; CET onstituent le montant ; sur acti investi est maintenant! ;39-Nouveautes | 6.00—Une étoile de ch pra Lee
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1] { € ever pa es E ! « Ep gs ne ° : ur en jeu r sans : le te : le plus élevé de is 1946 place chapelet des émissions
i o t : , Ï a lin ch dernier. le quelques jo à Ré a a se: |°4 vigucur — San: e taux 1e DILS CICVE ACPUIS 1340, 830—Magazine des érénade f
i bution des du concours À ne > de M. et |bersonr ivantes furent dé maine derniè “4 OI nu annuel immé- L:s réclamations pour décès sports 8.40—Radio-Journal 12,25 Varie D EH
1e ais ‘ l er and Trudeau, de Prir gné L lélégué s PR res "in 1 à jé ève mainten: à PE PURÉE JA : Fab 4 Ke 300—Musique moderne 10.06— Nouvelles et fin |, lens V'AFIET
YF d | Ê ag de pions l'E co déléguées au con- Mme F, Rodrigue a é quel- | 331 7 ve maintenant à |faites à la Compagnie en 1953! 930—Chansonnette - et des émissions | 430—Grands pianistes
M. l'abbé J.-A ôtura la qu RE gres d : L. Sa- ques jours chez sor Emile. |: °191,745 furent plus nombreuses qu'en Variété | 100—Amérique latine
) q ] mots appri Û s paren et an dar en ‘Du- | de Wévbur SFA de revenus 1952. Les réserves détenues spé- 1000—Nouvelles et tin T0 La Line chanson | 130 Baplinie ste
) : a le. Quépe Gédéon \ Moose F x cialement pour le bénéfice d:s DIMANCHE | (Talents de chez | Marianne
bx Mn J Go t est « Dr'OM I à tés ‘2 ’ “ Le t( du revenu comptant | détenteurs de polices s'élèvent nous) | 815--Carrefour
1 < } r a * a Ses pa-|4 r ] nnée ‘oulée 6 18 0% rade 4 1100—Chant religieux 1.30—Quelques valises | 6.%0—Connaissance de
itric ) dade à Be e, ch sé I æ = au cours de l’année écoulée fut |; © , e quelqu 1 anc
n 1 k ps ve L j % ÿe à NH ? Fran- w-Bunch de $4,739,820, : t montre que le e $22,466,851, et comprennent | 1130—Mère Marie- vu— Doctrine catho! | l'homme
JS pal { beau pro-! Mme Felix Pelletie tte + € < nire q 4 environ 86.5% du total du pas- Léonie 30—L'heure polonaise | 900-Café-concert
gran air qu'a to s Mme R. P. Dawson, de W ñ " 3 Couesièn pl oil ARE excédeé les débourses | sif de la Compagnie. >, 12.00—Radio-Collése 3.00—Conférence mis- 9.30 Concerto
cu A ( : et à cé M pe À s Fr. 1. Les, paiements 12.15—Jardins plant sionnaire 1000—Nouvelles et tin
ul ‘de à CRN é hr 8 € ve nue L Le ( ä Î nt M. et Mme id 1e r dun EN DOTE ES LM 5 LA AE va + —Radio-Collège 315—A Ja console des émissions
_éties ‘|! me Mme L.-G. Carrie mala tenée Cou 1 Broativier di- | voyage en Co B annique . Pres menues re réa mpeeen
Nos malades | üpital Ste-Fan t ne lc ( au cours dugué visit frè- ISieuX ° !
“ 2 et tant M, et J.-S M Mn Auréle Legrand et ! res et soeurs et des ami Mile Gérald Prétontai | Mandement sur le
hôpital durant li de la se- | Casgra 34 * Mile Géraldine Préfontaine, é- le de cartes : pe
t Mme )h Brun 1e 1: . 1
na 1 J. Siymka et Ro Mme Carrier doit sortir d \ 3 qui FT “h ai + Nyls “ lève du couvent de Gravelbourg, devoir du chrétien
+ u 1, n ue ] : ai “hez iete
F { iud D pita ol Nous lui s Emile es FA ip à C on a passé une fin de semaine chez bien au £ | dans notre societe
aito pro rétab mé M LD AS +0 eue, | re ssie |
samedi 20 | CE CE
+ p ie lese #1) M. et Mme Marcel Brülé, de!, . | TOULOUSE — Dans un man-
Robert-E, Gobeil, B. Com. * mn : au monastère Calgary, Alta, pooanpagne de à Val Marie ÉarEnt. de pRr D jh same-
(e) ) apprend d'Edmonto M Mlle Rose-Anna Frank, ont passé i dernier dans ‘La Semaine re
( nptable Agréé Alts, que M. et Mme André-A Sénat di quelques jours avec M. et Mme VAL MARIE — Notre premiè- | ligieuse de Toulouse consacré
Pagé (r . re t ni CU ” s Chrétien la me £ S EF. le car
à ée Claire Lex à a Rév. Mère Arthur Chrétien. 1 re partie de are de j'année a | 44 problème soc, à E. le ca
321, Zleme rue est s heu ) nts Î ) de Jésus et Une réunion de famille a eulouy lieu le dimanche 24 janvier dinal Saliège, archevêque de Tou
itf ( T7 lie he at > Gustave Ce Lo, | louse,, définit air la position du
SASKATOON, SASK C a le 4 A Te : lieu chez M et Mme Gus tave | dans la salle des Chevaliers de | par Dong it ainsi la po )n
ss ie re Pc) Po Tessier, Tous les parents y assis-} Colomb, Le 1er prix de whist | © “On oubli
mis est le et Mr Né “ ce Te taient. , r les da »s f ? ; À ‘On oublie, on ne voit pas, o1
_ — sp + 1 € end V PSS RUE k M Se pour les ames fut gagne par " plie * j
Dr E.-J. GAUDET Donna A e Ë tonio , de FR cr Fe 4 Jou- | Mme Pierre Cornet et celui des | n€ ue pa qu'il y a des ger
nn L ar es > goure a ASsiIniDOIa lhommees #f ns 41 p D pe mai oges, ae gen mäi nourt
ls a été ac hommi ut gagné par M. Pros- ë
Clinique medicale et dentaire fre. le i: me M. G.-A. Brülé se rendit à Ré- | her Pine! M Autos AL Mon- | des salaires insuffisants, qu'il y a
ë Ü a r 1r affairec cemmetr Re pl ” . Î né pr ntier (Cr "
60 - 2ème rue est de santé e .… pour pes , récemment tigny, de Whitewater, Mont. rem- | dé Put c nlers qui soufirent de
da e. vus B Il d Mme Arthur Chrétien se ren- | porta le prix pour le bridge MER VE N'ES: DAS CHEOUON Ge
, e egar e hondit ‘A6 dit à Moose Je tutti be Il à : me penser, à plus forte raison de d
eurs dredi du 4 00 Jaw pour visite] ] eut bingo et rafle et un , €
Ne in. <.. Téléphone 4202 p AR L É Ne d: mois j a aura ure sa soeur, Mme Eugène Babiuk délicieux goûter fut servi par les | TE: Cest leur laule,.,
a \ stat FA ty Cécil \ j Wols c » messe à 7 natin, a qu'une M. et Mme Walter Gibbs se sont dames en charge, soit Celles dont “Longtemp n chrétien a ét
. a s ‘ so <a 34 : ” ë m 9 30 rendus en auto à Régina pour les noms commencent par les | reconnu à ce € aimait
Pharmacie Duncan a e, Elle de rt M E condui petite fille, Lynn, | lettres À, B et C. Ce fut un très | et "(ART ait re en qui
Avenue Centrele | n fover et la fan Mons E chez l’ be au succès, Merci à tous. voyait Jésu e pauvre pa
PRINCE-ALBERT SASK € et € a prière du Régi 8 rendit [ : Çà et là 5 excellence, le ait pas ur
de à statu \ l r- lei funé A l'assemblée annuelle des com- | pierre o reposer sa tête
* . P | 1e 21 ! B } e de la Rév. re St-Basile, de! Missaires d'écoles, M. Jean Cor- “Un régime économique qu
bont et pin assemblé de F s Mevronne. net fut réélu par acclamation. | fabrique des pauvres en série, de
Téléphone: 2155 M. He Francisco de Luis, l'un des! Mlle Simone Lamontagne, ac- Les commissaires sont: MM. L.|sans-toit en série s ayant-fain
s 419 éside et M. l'at ] dans journalistes catholiques les plus compagnée de M. Claude Lizée, | Jacob, W Douville et J. Cornet. |en 56 tout chrétien se doit de
LIVRONS taire, Un on ‘arias ‘ de l'Espagne et éditeur | visita M et Mme Paul Lamonta- | Mme Jean Cornet est la secrétai- | le combattre et de le remplac
ie pa ns y ass L'1 M de l'Editorial Catolica, est actuel- | gne re 10Ccaie “Là encc il ne faut pas se
H.-J. Coutu, GR se pose de fan sà M lement de passage aux Etats-U-| M. et Mme René Beauregard et Etaient de passage à Swift Cur- | re illusion, le chrétien qui veut
de 692 âmes. MM. Rc À Wi s, l'invite du departe_.ent d'E-| famille, de Willow-Bunch, étaient | ! la semaine dernière: MM.\| faire son devoi: est contredit par
A VOCAT JOTAIRE M André Sylvest ( y l tat. M. de Luis pou l'étu- | de passage chez M. et Mme Geor- | : et Fernand Nadeau et leur | d'autres chrétiens qui ne con
a Poirier f t réélus synd \! de des relations entre 1 sse, | ges Sabourin, Mme Bea ard et Mme E. Nadeau, ainsi que | prennent pas, qui n acceptent p:
Suite 5. édifice Imperial Bank MM. A Aimé € Al-| de Rég la ct la television aux E-, M. et Mme Arthur Chrétier MS Jean nie co Be doctrine de l'Evangile et 4
M t les eal : P tats s, (NCWC) Lux s "+ DER Ds MEL Monique, Mme onstant | papes, et par beauco up d'athnée
PRINCE-ALBERT, SASK d emplacar M. He » * 2 . Pa rI Mme Lou > Ron rod wi : Un! Wan! et M. et Mme Victor conservateurs qui sont pour l'or
cg sis — qui se dévoua penda ( I E LT be PA, 8 L B sin JE si: lgus ibaal “ei dre établi"
d x , van. ne ; ) arnsnaw et \1plac par M eot unch :
Agences J.-A. Fournier :7: aux ivités a Mme, Henri Oudot, | certe et Mme Ge McC M. Robert Smith est reve ;
" ances «budgerondm pr nt +. L \enade à Regi $ es d'un voyage en Colombie
P ete D. BRBA E e .. Ë ? Malade tannique .
x 3 I Mi R t Long-an “ A k + R M. et Mme 1 re-
a partie de cartes du 14 février | jeu tie, Gantie ee eLo"Sa | Yurent hospita … Gâchent votreRepos 1,2: un oupie protection
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MM dre M ja ut A! H à qu né r Ron avoir une ne nuit de repos. s se L 50 à enr is » amis À à à à
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CE-ALBERT, Sask * t N. Oud iv, de Scout MM. Emile tournent et se retournent—blément leurs fants P a double but — assure une protection
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: nf - " ».. TM reposez pas bien. prenez des Pilules Dodd's Mle Cordelia Bouvier, étudian- DONC céEppet 221
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1107 ave Central, Prince-Albert rères € U t Mme € D le W ux et vous ez Mieux, 1 4. € ime } enri Bouvier se GRAIN Ex f 0 à
ee = M R RERO : ; tr A sounues |rendirent à Gravelbourg pour y | : LRU
À AL Tr, pro ? u rn i me l'en Fe / d
— later MR nt». Pilules Dodd PE LE RS ! DAMES
RER (U — 5, vendredi di er.i]l S ‘tente à l'hôpital de Gravelbourg u es 5 REINS ia j hôpital. Es :
Winnipeg, le 26 février 1954
Les soirées du Club c.-f. de
Prince-Albert sont populaires
quelques jours à Verwood,
LA LIBERTE ET LE PATRIOTE
Assemblée annuelle des Fermiers |
Unis tenue à St-Hubert le 17 fév.
t-Hubert, est
garde-malade graduée et fut sta-
AGE ONZE
« hronique du
Collège de Gravelbourg
ST HU BER L'assernblée | gasin coopératif di
annuelle de ta section Echo des | à Saskatoon pour deux semaines.
INCE-ALBE trai-! é nt Fermiers Unis s'est tenue dans M. Albert Beaujot est à Régi-
: q = non- ment pou l'école de St-Hubert le 17 fevrier; |! na pour me
inad ais | Alphonse G 21 membres étaient présents la céremo- Saskatchewan
\ e à r Je pique « Mme Paul Jordens donna son rap- se et d'infir- . : .
, a P d : I P a
À d'habitude |gne, Mlle R port pee ngrès des. Fersniers nil e Bertha Directeur: André Gervais
‘ "r M. J-B 1e de co Unis tenu à Régine en décembre de Han ru ge Rédacteurs: André Blondeou - Lucien Bose
‘ ‘ ha Por ere À dernier. Elle y avait assisté, avec | garde-malade à l'hôpital des Chroniqueur: Paul Juneeu
Ù . emoi | Mme E. Henschel, à titre de dé- i
- k heure. ce f | léguée tin € allé à Bel
à quo Donc, a: | M. W. Reichel fut nomme pre- | le € er, pour assis-
ty } ertu | rom ‘ a | sident: Mme P. Jordens, rice- | ter à as t de C ecteurs
M. Ga € 1x pre de | présidente, et M. Louis Poncelet, | du Conseil Canadien de la Co-
r érent le ‘ F 22 nos agréables soirées | secrétaire, our l'année 1954. opération, section sud-est de la
t 1 4 : P K é - * ,
: Mile € en { tte et|d Canadien Français et | La prochaine réunion aura lieu | Saskatchewan. Le KR. P. J. Bor-
M I ; b 18 urnerez Chez vous plu le i2 avril dans ie même local det l'y a conduit
je M. Beaud Mr ; et le coeur plus ga | Ça et là Mile A. Bonin a fait une cour-
é Mile l Gau ar, grè M. et Mme E. Bour | L'assemblée annuelle des con-|te visite à des is de Wauchope
et inde Neid 1M. Re- | gauit à toujours queiqu tribuables de l'arrondissement M. Jean Descelles, de Solsgirth, cd’ . à dre )
é Brad { and'se d'o al et de fort amusant scolaire de St-Hubert s'est tenue | Man., a fait une courte visite ici, | aujourd'hui : “ is” ne +
< : l'écal 1! pue riciens Que voulez-vous e|da 1V es qu À assu
prix d ée: Mr ay a p \aine, dor |à l'école le samedi 13 février. Il1|la semaine dernière PT | sible de l'ar-|ré par l'a en du de
derme y eut une bonne assistance. M. M. et Mme Paul Raiwet ont|'®mps passe, sn dope: PS que nous aura tracé
d ' ! te ape de cartes |Rémi Praud a été réélu syndic! rendu visite à M. et Mme BE. de d à aitice ui: | Toutoui ave +
. ° de t Théri autre partie de cartes eut |pour une période de 3 ans. Jeannot, de Tentallon, il y a quel- der cg - og ee 1954 ‘ant more ”
h ; É ofe C di > | M.E. Henschel, gérant du ma- que temps ves , de netorique, de 10e on d'étoile:
A . . A + 4 arrete — — ——- | songe a perpétuer 1e souvenir de E ne :
P tr presid bie cet événement mémorable de leur Eee
L | Î vie. Leurs photos apparaitront se |
«A 1 |: .
ques, à la ré Le 14 février fut une journée lien détachant sur un fond magnifi- Souvenirs de Rome
À lbert uement dessiné par le R. P. Pa-|
Grande parade \ibert Page li C Ilé S Th M | qu |
1 z radis, O.M.I, artiste bien con On se rappe voyage du KR
r ? 1 lie e7 = : , , ») P 1 4
4 à dé M C able remp Ie au 0 ege t omas ore |nu. En visite ici à l’occasion du |P. Recteur à la Vi Eter:
i r V r G ". : k éacre à ss À 1 ngce, le n 195: ! " t rever a!
t gauit ant alla à Mme R. Léveil SASKATOON — Le déjeuner-, Ogle et Eleanor Eherneski et|Sacre ee 2e Aimé Len eq QE ee ce ge Vastrn
” 1 ation ecnoua à communion après la messe de Sunstrom et B. Stein. M Père aradis, qevane à Be-|tant ave ea » dé
. M J Gaud ler prix pou 10 h. attire toujours les étudiants. | Douglas Schmeiser exécuta un so- | FEnS Riv F,, à en, JON gere À
Ponteix 1. T. Bri st 2 Le dimanche 14 février, notre|lo de saxophone. Ensuite, le dis à. gent Per le cos !
M Bre M. J orateur invité fut le R. P. Basil | C.Y.O. de l'église St-Georges in- UE be me rie her ù .
Le din 14 fe es el A. Vier igna l'article en p} A d'u d'à adi men Sullivan, principal du collège.|terpréta une danse ukrainienne, | !OUS 1€ PTrions q asrent mn
. 5e BIre 1 1 afle | POST UTP D re np ver ff delà sp Pa [Mlle L. Carrière, d'Assiniboia, | M. Charles Gerwing nous rendit | SINCÉTES Tremer ements ne ait-1l,p
. e ! £ er de 45 000 000 de livres A D Don DE ge signitle pp gs étudiante en première année, pré- | deux chansons, Le programme se “ e, por rait n'est qu'un sigrelde cha tou
' 7 = 1 e a|par Mmes Albert et Gérard as” t put ae Ne CP er au pays pendant ce | ta notre recteur à l'assistance. termina par un morceau d'opé- | extérieur du Conventum; ce qu'il! jour
éd laps de temps. Toutefois, le consommateur canadien jouit d'une | Céjii.ci nous entretint sur la rette exécuté par les étudiants en | faut surtout considérer, c'est l'es Eure
F ‘ “à le x PP" protection appréciable pour ce qui est du thé importé: aucune car- L 20 DATES en de abit "Ar ielaues tours de!prit qui le régit. Tous ses mem "R
LA gaison ne sera livrée sur le marché canadien avant que M. Cecil | tuation des catholiques en parti-! droit. Après quelques toi de'F R A cadémie
Ù lire De mas Brovne dégu hp officiel de thé pour le TRS ét à C culier et du catholicisme en géné- | da un délicieux goûter ter-|Dres savent que cest pour eux|
| ) ).M.I adi ‘ait À n« 2 = bat P d 8 ment QU C&-|L2] par rapport aux affaires mon- | mina la soirée, l'année où ils doivent se fixer| Le 10 février eut li ine
{ le Ja ' Cà et là nadà, n'ait donne son approbation au produit, apres epreuve. les, T1 Me Dei OU TER un idéal; le temps propice pour ES oies. À -
1 1 Ph Malak, diales. 11 nous donna nombre de | dr ce de l'académie anglaise, Not
{ Ck 1 Douv l irdi 9 févrie ( TAPER, AE 2 ds alak, Ottawa) | preuves que la meilleure littéra- cimenter leur amitié, leur désir | eùmes l'occasion d'entendre de
à Est dep iple D urent leur ture de nos jours a des auteurs ” Marcelin de RS re eur Comme l'in. | diseours des sujets variés et
de : isuelle, On y com- | catholiques, 11 nous conseilla for- _ - [ai € qu * À ar : car gr pan | très int nts donnés par Her-
Mme I F ( rs de ‘“Make-Up”, éunion es irecteurs e | région |tement de lire les journaux ca-|} Mme Julien Mercereau est al-| 4 gr ages devis 3 l'amour re vra | vé Douv Guy Tourigny et
ent pital d te on de la Rév. Sr | tholiques tels que l'Ensign, re-|1ée, ee rod de son 2 gar-| tu e principe de leur activite Georges Beauregard, Des décla
e nm. : 1 iatoaite ss . » le l 3 r. | con, Robert, passer quelque temps | re. m£ . re écitées ar u-
p ] ] i Bernard de Clairvaux. ( fut | connu comme le meilleur jour-}çon, t, p q mp à F ia | Mations furent récitées par Lu
pi 1 ambula pita lée intéressante pour tous. | FO u onsei e la opération |nal de l'Amérique du Nord. I1|chez sa mère, Mme Arthur Gré-| Jetant un regard en arrière, | cien Roy, Gabriel Coquet et Ré
de tt t ercredi 17 LA ndredi 12 février, le per- e nous quitta en appuyant sur le zaud, üe North Battleford. |les Rhétoriciens reconnaissent ce | ,;: Dion. Notre directeur, le R. P.
‘ nar 4 1evTier I pr! "(AT " © : * 2 ‘ » + 11 - x ce & r eux ’ 2
té nt F1 À la Rév. Sr . BELLEGARDE —, Le diman- Canseil de la Coopération |point qu'il n'y a pas assez de, M. Simon Ouellette a mis sa} que le collège a fait pour eux. | Desrochers, nous donna des con-
Ume © in Bédard « à l'hé Be , principale \e 14 février avait lieu à Belle- Au nom du président absent, | catholiques qui tiennent des po- | maison à la disposition de la fa-| Aussi, c'est de tout :S0eur qu LS | seils très appropriés sur l'art de
pital de 1 1 pou mé- | &t hétioë ” de L sk. une réunion très] M. Joseph Joubert, de Montmar- | sitions stratégiques dans le mon-| mille W. Craig, qui a perdu la|expriment leur vive gratitude |}; parole publique. La séance se
ë tu tri 1 ; Â r s à à r 3 n A ë ä :€ DE {
i n des directeurs de la tre, M. l'abbé Dugas présenta le | de et que le seul moyen d'obtenir | sienne dans un incendie, dernié- | aux Pères Oblats à qui ils sont | te rmina par une prière à la sain
4 re D Le région no 2 du Conseil de la Co- premier chèque de $200.00 au nou- | ces positions, C’est une diligen- | rement redevables de leur formation. Ils | : Vierge
| Î 1 s ération pour l'élection de leur | veau président régional. | ce soutenue. Mme W. Craig est revenue de | — ———— nannnnnens LR
ht exécutif et aussi pour! Comme le conseil no 1 formé| M, André Leblanc, de Gravel-| l'hôpital. | à Gouret
1 O. Riffels ,P B d'u onstitution ré- l'an dernier dans le sud-ouest de | bourg, remercia le R. P. Sullivan, Mile Thérèse Grenier est reve- | Frenchville ea le $ :
ate { C |la Saskatchewan, le conseil no 2|au nom de tous, pour son magni-|nue de son voyage en Colombie | Juvéniles du collège contre les
La M le a!ford Ibert Mahin présida la|tracera son propre programme et | fique discours. | Britannique | M. Lucien Goddu travailla à he son de Laflèche, 10 à 0 pour
tra A la St-V r lame OÙ JUSQU AR NOIRS ne aura son budget distinct du con-| Programme français —— Es Climax, charroyant du grain aux|'®s NOTES...
tr A et M. Jean George en fut |seil provincial, Le nouveau con-| Ca mis difianene ès-midi | Etats-Unis. A
fit d L'assistance rétaire, L directeurs À en ge 0 ml ge Pense Po. | Miies Lorraine Latour, Laureine Sedley Mlle Corinne Lasanté, de! Voyage en perspective
2 ants y a taient: MM. Lucien | rante instituer des Caisses Po- mn Pod À 5 L3 PRE ; Creigh s ë ë ]
s 1 1breuse, Le prix c En + 1pa ] . lav. C1 reighton, est maintenant retour-|
FE gippnet erE v HE » Alphonse Aimé, Georges | pulaires scolaires à Radville et à Carrière, Hélène Tremblay, Cla Incendie Pe7 ex + s assé| On consulte encyclopédies, car-
f igné par Mme D. La : risse, Lorraine et Louis Gouëf- née chez elle après avoir passé | 3 (
: D. Gilbert Mahin et Jean| Bellegarde, afin d'initier les éco- | F/S$e,, /0Traine M Mauri e Pa. | Le 27 janvier dernier, vers 3 h.| Quelques semaines à l'emploi de | tes géographiques. On discute, on
re pige Phu pour Bellegarde: MM.|liers à la coopération. fic, ainsi que MM, Maurice Pa-| qe l'après-midi, un incendie d’o- » G # ère | veut savoir où sont les Bermu-
elouin, et le prix de conso- X h P uet et Jacques Bénarzet, direc- P : | Mme G. Laverdière, | T 1
N Dés Mio D Hials Craeyveldt et Jules De- * + + |q et Jacques Bénarzet, qi |rigine inconnue se déclara au M. et Mme Guy Ghelle ont pas-| des. La réponse qu'on pourrait
’undi 18 En pour Radville; le R. P.| Sur l'invitati de M. l'abbé! teur, Présentèrent le conte “Cinq | soubassement de la demeure de| ,"9° Fos € 007 P2S- | donner à ce Philo inquisiteur qui
undi 15 février, MM... mile G Dr 2IDAMUNOR 0e a9b€! petits lapins” par M. Félix Le-| ] |sé quelques jours chez leurs pa- y -
tendant et ! nmissaires |: t et M. Emile Gatin pour |E-A, Yandeau, de Radville, M.|P Pine PRE X 2€" |M, Oscar Labelle, dans le village |" A "vu. À s | veut se rendre à cet endroit pour
endant et les commissaires | G M. Jean Carriè : ,. à de À _* clerc, au poste CFNS. M. Roland | de Sedley. Ne ssédant s d'or-|rents, à Val Marie. | les g .e
ité scolaire de Lloydmins- ? Î ean arrière pOUT | l'abbé D. Dugas précha aux mes- | Bo let fbt 18 commentidieur e sediey. Ne posseaant pas or E les grandes vacances, c'est que ce
En cotte Année maiiale , , , sisnt notre école "St , Représentaient le|ses du dimanche 14 février sur | nvaier x + ganisation pour combattre les in- M. et Mme Jean Entem ont|hays doit étre voisin de celui
(Re Lunel los ie Conseil provincial: MM. les abbés | je thème: “La charité dans les Soirée de la St-Valentin |cendies, on a dù avoir recours|rendu visite à leurs soeurs et| Connu sous le nom d'Utopie!
Jeunes gens qui désirez v | upéri it V4 : vor Arthur Marchildon, secrétaire, et | 5euvres ‘paroissiales coopérati- | _Le programme du soir pour la | aux pompiers de Régina. Ces der- beaux-frères de Ponteix Re ie
9 q cz vous | ne TARA North Don > Dugas, secrétaire rem- | yes". | fête de St-Valentin fut organisé |niers arrivèrent en moins d'une! M. Léon Ruest et Léonel ont P :
dévouer au service de : 7 Hp és "| plaçañt FA PAL EP AR PER ON At |par les étudiants en droit. Une |demi-heure mais entre-temps on | fait un voyage de quelques jours ronostics
| GE TES PPT Les directeurs élurent l'exécu- courte pièce fut présentée par |avait réussi à maîtriser les flam- | à Régina pour affaires. | en
g Per à Éd ÿn ie, 34 sd n pes tif: président, Alphonse Aimé, ferland Miles Mary Ellen Moran, Hé! ene|mes avec des extincteurs chimi- Le bébé Noëlla Goddu a dû | £, sa récente M + és Pr 4 eur A
MARIE IMMACULEE ] d'nb erèe open à de Bell sr cer président, M. ET AA EN ERC CRE | ques, ainsi que de la neige et de|f l'hô l de P ait apparaitre les boules de nei-
| Colombie i I ins = | ; : . aire un séjour à Ôôpital de Pon- . ,
| x 3ritannique, ainsi que | Maurice Craeyveldt, de Radville:| M. et Mme Aristide Fournier | |l'eau. Les pompiers s'assurèrent | + ge qu'on lance un peu partout.
M. et Mme W. Lafrance pese er L à 1 , #2 2 s re nn eix, | Âfi , Lite le Le ’ À
et Mme W. Lafrance. secrétaire-trésorier, M. Jean|sont partis en avion visiter leur | Victoire néanmoins que le feu était com- à = | Afin d'empêcher le bris d'un trop
P |, Mile Claire Lacoursière passa . le Bellegarde; direct Fe rs pad | biète t éteint. Les à Le jeune Laurent Entem fut|grand nombre de fenêtres, il se-
Enrôlez-vous dans la | la fin de semaine chez ses parents. FE Pa 9 [ri A rap | Sù "& R. v. Se N S M. l'abbé Al nr ag îes fisnmmes A SU traité pour brûlures à Shaunavon, | rait avantageux d'organiser aus
A S d y SAT ART PTS À, € aq ; OTr-| O.M.I, à -Norbert, Man. e otre curé, M. l'abbé exan- |: era y ” bé i svrier | itA ver + A
Congrégation des MM. et Mmes Albert Côté et| ganjsateur pour la région, M.ljeur fille, Rita, à bec, Ils vi- F D as A | tout par la fumée furent heureu- le mercredi 10 février. | sitôt que possible les tournois de
q Matoal. T'Haundine. de ÆUDaul MTS u ; ir fille, Rita, à Québe s vi-|dre Paradis, est revenu dans sa|° k HAVE TT IR MR -H fra loyé | billard, de ping-pong, etc, Lors-
at étaiont'austt dtplssies chat | rthur Nogue, de Weyburn. {siteront aussi leurs parents à! paroisse après un séjour de qua- | Sement couverts par les assuran-| ! A oger Hamel es employé | ue le printemps arrivera si les
Fil d M i | lé DU D D ce passage Chez || Cette division de la province | Montréal, Detroit et Windsor. tre semaines à l'hôpital Ste-Fa-|Ces. ah de. 4 pou Tibet Un | je ’Ux lnlériours son en marche,
Is ce Marie iImmacuiee ||! f à am > régions réalise un voeu| M. et Mme Fernand Guy et|mille de Prince-Albert. Nous lui | Çà et là PRIS ONQUIS Je De" 06 Ar pour le mieux
AT R EEE dernier Es a 1953 | leur fillette, Gisèle, sont partis | souhaitons une prompte et com-| Mme Thérèse Desautels, sa fil« M: (tenté: s'édntiatiqin mis) ÉrRa e
Oeuvres: Petits séminaires A M. et Mn Be rnard Blais, a. Ceci us de + e pour-| pour Maple Creek, Sask., où M.| plète guérison et espérons le |le, Florence, et son fils, Armand, de t SU. UT AMC a. | Pré
! [l'un fils, le 5 févr su avec plus de succés et! Guy est employé. voir exercer son ministère en-|et Mme Turenne, de Régina, niè- d ul He RPTARe 09 1e et ; ae revoyance
missiont::prédicetion A M. et Mme Den is Douvitle, | PO dépenses le travail d'é-| Mme Léo Fauchon et son fils, | core longtemps parmi nous. |ce de Mme Desautels, sont allés déc oi LE es de y PR :
in f e 7 févrie ducation populaire coopérative du | Jean, de Gravelbourg, ont passé| Les paroissiens se préparent à | dernièrement faire un voyage d'u- | ©ÊE itrisé, & Tald, " pu! are re de: de, c à eur a
Pour tout rense nent, L | le dimanche chez M. et Mme René | l'électrification de leurs demeu-|ne couple de semaines à St-Bo- Ep Fe st F: e des voisins. | été pere cause Le age + peus
; É tai bbitiése ; rt L Pell ti Fauchon, J res, Si tout va bien, nos gens au- | niface. | , DRE est w A F En pe que un “. se LT : inonda-
s'adresse Sont hospitalisés à l'hôpital No- ac elIetier | M. et Mme Emile Labbé et |ront l'électricité au début de l'été.| M. Adam Wormsbecker, del, cdd de M Gu Ch Île Éy-= 8 ile LL ses “dés 1 VER BFAVS DS
il DS ds di tre-Dame de North Battleford: M. C Mes ie Ernest Dion, de Winnipeg, étaient | — . | Sediey, est allé à la clinique Ball | tem et de M. Guy Chele ont aus-|villonnisie a déja transporté ses
P | Mme Noé Lessard, Mlle Madelei- M. Ciéophas Métivier a passé | de passage chez M. et Mme Raoul | |d'Excelsior Spring, EU. pour | Si éc happé de près au feu. pénates en haut lieu. La salle d'é-
des Fils de Marie Immaculée ne Ayotte, M. F 3ernier, | Auelques jours à l'hôpital de Van- | Morin. | | Alida {traitements contre l’arthritisme M. Jean Facette, de Val Ma-|tude au premier étage du collè-
ST-HUEERT, SASK M Gab e Le ière, Rita | &uard pour soins médicaux Sont allés à Régina pour affai- MM. et Mmes Léon Desautels, | rie, visita sa soeur, Mme Guy|ge lui a paru un lieu plus sûr.
Lacoursière et Hélène Blais M. et Mme Albert Létourneau | res: M. Noé Chabot, Mmes Louis | Va-et-vient | de Riceton, Adrien Ouellette, de | Chelle, pendant quelques jours. | Est-ce bien vrai, Paui?
de vs à +: rs “rl es Fournier et Avila Chabot, quil M. James Wilson, d'Indiana-|Lajord, et H. Sobie, de Béchard, | == mn ee
V ( st à 7 " : ! PILE |
de P sf É.« S a Le 3 Dore 41! visitèrent leurs filles à Régina, | polis, Ind., est venu par avion!passent d’agréables vacances à
onteix. Nous lui souhaitons | de même que Mme Antonio Cha- | passer quelques semaines en pro-| Santa Cruz, Floride. |
prompt rétablissement 4 _ | |
+, et Mme À Ibert A Din | bot | menade chez M. et Mme Elmer| Mille Jeannette Parent, lieute-;
ni pari dés le! ph. M. et Mme Alex. Laberge sont | Belmore. Il est aussi retourné par | nant de section dans le C.A.R.C. !
a Murs dans la paroisse Partis en avion pour Seattle, | avion. fille de M. le Dr et Mme Pa-
1 MTR 0 A1 AY E res | Wash. où ils assisteront au ma:| M. et Mme Nestor Blanchard, | rent, était de passage à Sedley,
a 10 st allé pas-|riage de leur fille, Carmen, avec| de Fannystelle, ainsi que leur|récemment, Mlle Parent est une |
HOUS auss
1l y a du “nouveau”!
Les jeunes mamans seront aussi heureuses que nous
de l'arrivée de ces quatre nouveaux produits de la
fameuse série des aliments Heinz pour bébés.
\ujourd'hui les médecins recommandent d'in:
clure dans le régime des enfants normaux ces
purées de viande faciles à digérer et riches en
protéines, Queile joie pour vous d'avoir sous la
à réchauffer et à servir, l'aliment
bébé.
Nous vous en présenterons bientôt d’autres,
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e PURÉE DE COEUR DE BOEUF
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cho da LA me De MAces | M. P. Jensen. Ils visiteront M. le |fils, Maurice, rendaient visite à
(M) et VAT ‘OI + à CR | Dr et Mme Léon Beaudoing à|la famille Elmer Belmore. Mme
bantalé et on me re De New Westminster, C.B. Blanchard est la soeur de Mme
chez leurs fille et gendre, M. et M. et Mme Rosaire Chabot et Belmore.
Mme R Ginet. | famille ge — allés Eten es per L à |
LR à Rég rents à Ponteix, dim - | Lima, ains > M. s Wilso
er SO RATS Dee | Le anene RE! rendirent visite à M. l'abbé A.
cette dernière est obligée de pas- | MM. Jos. et Raoul Morin sont Ferland, curé de Storthoaks, et
s ielque temps à l'hôpital de |4llés à Régina pour affaires, der- | à M. et Mme Pete Longphee, ain-
Su Current avant de revenir | nièrement,. t si qu'a Mme Denis Belmore, mè-
chez elie M. et Mme Gérard Desharnais | re de M. Belmore.
Dumas
Ça et là
1ande Blaise est allée
ez M Mme ‘Jules
Elle prendra char-
et
ital de Mme J. Ne-
ui doit subir une opé-
it )
M Boulet, de Mont-
nartre, Î ine courte visite a ses
» Baudu et son
ur de l'hôpital
de |
id Rollin est l'hô-
semaine
lin, ainsi
sont
C}
une
que
de
Z €
Naissance
Mme Gilhert Dodds
16 ies
Diane, née
ôpital de Wa-
(née
Reunion familiale
nion familiale
Mme Alphonse
lorsque leurs enfants
4 réunirent pour
s et grands-pa-
it leur 58ème
eut jiieu
Pi age
M. et Lamontagne se
nar février 1896 à
st Ils résidèrent
nt 5 ans, puis
Baie St-Paul
r alors
ison pendant le sé-
bébé
heureux |
La- !
Mme M. L. Arthur, MM. et
Mmes Ken Arthur et Elmer Bel-
more étaient à Redvers pour af-
se rendirent à Ponteix pour la
fin de semaine,
M. R. Desautels est revenu chez
lui après un séjour prolongé à faires, la semaine dernière.
l'hôpital de Régina. {| MM. Wilfrid, Marcel et Jos.
| rt trrtmmmemmemenge + | IOMNOTE FONGGIONÉ Visite à M. et
| Mme F. Hess, dernièrement
Nos malades
M. U. Bégin est de retour
près un séjour à l'hôpital de Red-
vers.
M. Edouard Laurent fut con-
duit en auto par ses filles, Mmes
| Vawn
Le 10 février avait lieu dans la |
salle de Vawn une soirée d'ama- |
teurs qui fut radiodiffusée. Tant
| d'efforts faits pour aider l’huma-
nité souffrante méritent d'être |E. Robillard et Maurice Laval, à
loués. En effet, de toutes parts af- | l'hôpital des Soeurs Grises de Ré-
fluaient les offrandes qui for-|gina.
| mèrent un montant assez consi- Mme A. Lemieux est aussi à
dérable, l'hôpital.
| Mais ceux qui méritent les plus Mme Ken Arthur a aussi été
| chaleureuses félicitations sont nos | hospitalisée à l'hôpital de Red-
| jeunes filles qui, malgré une am-
| biance anglaise, n'ont pas craint , un prompt et compiet
de nous faire res de jolies | ssement.
{chansons français Naissance
| Bravo! jeunes bise nnes!| M. et Mme Ferdinand Bégin
Continuez à chanter toujours la| sont les heureux parents d'unel|u
belle langue française fille née à l'hôpital de Redvers. |
Neuvaine mensuelle régulière
a
Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus
ler au 9 mars
Sanctuaire de la Petite Fleur
WAKAW, SASK.
Faites-nous connaître maintenant vos
intentions à recommander
Feuillets de la neuvaine donnés sur demande |
.
a- |
tionnée à Vancouver, Edmonton
et autres endroits de l'Ouest, puis
elle fut transférée dans l'Est, à
Chicoutimi, Lac St-Jean, etc.|
Maintenant, elle est stationnée |
à St-Hubert et était de retour),
d'un voyage d'inspection à Van-
couver et autres endroits dans
la Colombie Britannique. Ses |
nombreux amis de Sedley étaient
heureux de la voir et de la féli-
citer de ses succès.
Le lundi 15 février, plusieurs
des gens de Sedley se rendirent |
à Régina pour assister à un con- |
cert donné par Mile Louise Roy,
soprano dramatique, au Darke |
Hall, sous les auspices du “Regina |
Women's Musical Club”, Elle sut |
nous charmer tous. Mlle Roy est
la nièce de M. L.-Laurent Bé- |
chard et de Mme Omer Lussier,
de Sedley |
Nos malades |
Plusieurs de nos paroissiens fu-
rent frappés par la maladie: Mme |
G. er, de Sedley, et M. Vic- |
tor Gervais, de Lajord, qui a subi |
une opération à l'hôpital des
Soeurs Grises; Mme L. Lear fit |
un court séjour à LAAgAS Géné- !
ral: la fillette de et Mme L.
3aker, à l'hôpital re Soeurs Gri-
M. Adélard Béchard, qui cultiva
ne ferme près de Sedley durant
longues années et qui est main-
retiré et.demeure à Ré-|
t hospitalisé.
Aimé Leduc, qui
ré de longues années sur sa fer-
, près de Sedley, et qui, depuis
eurs années, demgure à Ré-
pouse,
a demeu-
avec son est à l'hô-
des Soeurs Grises
Prompt rétablissement à tous
Assemblée mensuelle
mercredi 17 février eut lieu
assemblée mensuelle de la Li-
des Femmes Catholiques
local, au soubassement
se, On régla plusieurs fac-
s dont la balance due sur le
Les changements et amé-
ons à la cuisine décidés à
eynière assemblée seront faits
Le
ä
de
bonne heure ce printemps.
fut aussi décidé d'avoir une
artie de cartes le dimanche ler
Le groupe 4 aura la charge
de cette partie de cartes. L'assis-
t était plus nombreuse que
“és un goûter fut servi,
prochaine assemblée aura
3ème megcredi de mars. Î
lieu le
LIFE ASSURANCE
COMPANY OF CANADA
DU RAPPORT ANNUEL
de la Compagnie pour 1953
Aperçu général des principales transactions
(Pour l'année se terminant le 31 décembre 1953)
Prime et revenu annuel $ 3,256,827
Intérêt, dividendes et rentes 1,049,065
Total du revenu comptant 4,739,820
Paiements aux détenteurs de
bénéficiaires
Réserves pour détenteurs de
Total de l'actif
Nouvelles assurances
Assurances en vigueur
polices et aux
1,395,559
22,466,851
25,965,022
20,585,947
131,745,817
polices
emises
Développement de la Sovereign Life
au cours des 10 dernières années
1943
$ 2,045,714
8,277,630
46,658,100
8,539,515
10,193,673
193,990
1953
$ 4,739,820
20,585,947
131,745,817
22,466,851
25,965,022
646,575
Argent comptant reçu
Nouvelles assurances
Assurances en vigueur
Réserves sur polices
Total de l'actif
Surplus non affectes
WILLIAM WHYTE
Président
H. M. MEIKLEJOHN
Directeur gérant
Comité des Directeurs
WILLIAM WHYTÉE, président: PETER D. CURRY, vice-président; M
GRANT, JOHN W. HORN, ROY W. MILNER, C D GRAYSON, ‘CR,
STANLEY N. JONES; CLARENCE D. SHEPARD, CR;
H. M. MEIKLEJOHN, directeur gérant.
D
Un rapport complet pour 1953 sera _… sur demande.
THE SOVEREIGN Lire ASSURANCE Co.
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WINNIPEG, CANADA
J.-0. BRODEUR
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La Confrérie de la Doctrine
chrétienne de la paroisse du Sa-
creCoeur de Winnipeg proceda
« Ilation de son nouveau
président, M. L-A. Régnier, k
lundi 22 février, À l'occasion de
la réeumon mensuelle de son exe-
c f. Etalent presents les mem
bres actuels du conseil de la Con
frérie à savoir, Mme Claire
Gauthier, secrétaire, M. Gerard
Emond, trésorier, Mlle Cécile Bé.
nard, présidente de l'équipe des
recruteurs, Mme Germain Roy,
presidente de l'equipe des insti-
tutrices, Mme E. K. Yost, prési-
dente de l'equipe des aides, Mme
M. Gauthier, membre de l'équi-
pe des recruteurs, et le R. P. C
Lafrenière, O.ML., directeur. M
Louis Tétreault, vidæwrésident
était absent, retenu en raison
de son travail
Dés le commencement de la
réunion R. P. directeur pre-
senta le nouveau président à l'as-
semblée et lui exprima toute sa
gratitude pour avoir accepte de
mettre sa personne et ses talents
au service de la Confrérie, en
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Sacré Coeur
| assumant la charge de la presi-
dence
Comme on be sait, M. Régnier
est un avocat, dans sa vie privée,
et malgré ses nombreuses occu-
pations, il est prêt à donner ge-
néreusement de son temps et à
son énergie pour le succes de la
CDC ce qui démontre la
place que l'apostolat laïe occupe
dans ses convictions religieuses
et le qualifie bien pour la res-
ponsabilite qu'il vient d'assu-
mer
M. Régnier devient donc 1
deuxième président de l'unite
locale de la Confrérie dans la pa-
roisse du Sacré-Coeur. Il succè-
| de à M. J. Pallard, président-fon-
dateur, qui s'est vu contraint de
présenter sa démission en raison
de son travail
Tous les membres de la Con-
frérie sont reconnaissants à M.
Pallard pour ses nombreux
vices et pour son dévouement
inlassable à l'etablissement, sur
une base solide, de Ja CDC
dans la paroisse du Sacre-Cosur.
La première étape est mainte
nant franchie, et les progrès de
l'avenir diront combien cet elan
initial, dû grandement à la di-
rection de M. ?allard, aura con-
tribue au succès et à l'influence
de la Confrerie dans la paroisse
Il serait trop long d2 donner
in compte rendu detaillé de ce
que la Confrérie a réalisé jus-
qu'ici. D'ailleurs, il est plus im-
portant de considérer !
l'avenir et
de continuer à développer et à
ser-
faire valoir davantage le travail
ébauché: ce à quoi s'est voué le
nouveau président en collabora-
tion avec son exécutif. Aussi,
a-t-il été décidé à cette réunion
que l'exécutif placerait au pre
mier rang l'organisation des
cruteurs selon les plans tracés,
puisque, selon l'opinion de tous
les membres, une Confrérie puis-
sante et efficace dépend princi-
palement du fonctionnement de
son équipe de recruteurs,
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Jubile paroissial
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comment s'y prend ‘-on? Et à
quelle date sera-t-il préferable
de tenir ces démonstrations?
Voilà des questions qui de-
vraient intéresser tous les Cana-|
diens français de la ville de Win- |
nipeg, jeunes et vieux, anciens |
ct nouveaux. Cette question sera
tranchée lors d'une grande as-
semblée paroissiale qui doit a-
voir lieu sous peu. Les parois-
siens feraient bien de lire atten-|
tivement le Bulletin paroissial
pour se renseigner à ce sujet.
L4 LI L
Pelerinage à Notre-Dame du Cap
Les Dames de Ste-Anne ont
annoncé, il y a quelques semai-
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Manitoba vous conduiront forcé-
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vencher pour la grande soirée
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ouvrirons toutes grandes nos sal-
pour ce grand événement.
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sages. Il ne reste plus que 4
jours. Soignez bien la jument
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pour la belle partie de plaisir de
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Laurent, que vous ne le regret-
terez pas. Fête luiméme, der-
niérement,
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chain, donc!
Recrutement
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quand? Le dernier “News” indi-
que que la juridiction manito-
baine n'a atteint que 50 p: 100 de
son quota de recrutement. La
Saskatchewan, avec 864 nou-
veaux membres, en est rendu à
173 p. 100 de son quota. Serait-
ce résultats attendus de ce
grand défricheur, le Frère Albert
Forci Evidemment, la semen-
ce était de bonne qualite
“in bien préparé!
Question
En face d'une paroisse dont la
piete est plutôt tiède, le cure de-
vrait-il raccourcir un peu pour
attirer les tièdes ou allonger
pour raffermir les fervents?
Question pour la hiérarchie peut-
être. On ne prend pas notre agile
chapelain à court. Il vous en di-
ra quelque chos
Franco #
Un mien espion me rapporte
que certains Français sont fort
marris de mes commentaires au
A mardi soir
pro-
les
et le
sujet de la belle France. Je leur
aurais souhaité un Franco ‘
Quelle horreur! Si mon choix
nco, c'est qu'il
s'est arrêté sur Fra
est contemporain. Sans aller à|
l'étranger, j'aurais pu parler
d'un Napoléon. Quoique Corse,
il se connaissait dans l’ordre et
sut le rétablir, Pourquoi pas une |
Jeanne d'Arc, un Charlemagne |
encore? La France a eu une plé-
iade de ces balayeurs du désor-|
dre et elle en aura d'autres. Mais |
allons plus loin en arrière, s'il!
le faut Pourquoi ne pas op-|
ter pour un Charles Martel? Sauf |
les Rouges et les ‘‘rosâtres”, les
amis de la France reconnaissent |
qu'il lui faudra un homme fort. |
Et comme ami de la France, je}
crois sincérement que cet hom-|
me surgira de son sein.
Et ceci, mes amis français, re-
présente mes opinions bien per-
sonnelles.
BISTOU RI.
Le bonspiel de
N.-D. de Lourdes |
couronné.de succès
N.-D. DE LOURDES -— Le pre-
mier bonspiel des dames se tint
à Notre-Dame de Lourdes les 10
et 11 février derniers. Des équi-|
pes d'Altamont, Cardinal, So-
merset et Lourdes y participè-
rent. La température fut très fa-|
vorabl
Le ‘emier jour, à 7 h. pm,
un magnifique banquet était servi |
dans la sal manÿer de l'hôtel, |
Les rést des compétitions
furent comme suit:
lere competition
ler prix: Mme Bint, d'Altamont.
2eme pr Mme Scott, d'Alta-
mont,
3ème prix: Mme Crites, de Car-
dinal,
le à
itats
2eme compétition
ler prix: Mme Isabelle Roch,
Notre-Dame de Lourdes.
2ème prix: Mme Jeanne Des-
[hayes, de Notre-Dame de Lourdes. |
3ème prix: Mile Jeannette La-|
frenière, de Somerset, |
3ème compétition
ler prix: Mme Céline Boulic,
Notre-Dame de Lourdes.
2ème prix: Mme Eva Lafreniè- |
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collège
Rome.
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